Derrière les sourires et l’ambiance légère des tournages de Léo Mattéï se cache une réalité bien plus forte : pour la 10e saison, Jean-Luc Reichmann s’entoure d’une équipe 100 % féminine qui bouleverse totalement l’équilibre de la série. Qui sont ces femmes engagées, venues prêter main forte à la Brigade des Mineurs ? Quel est le lien secret qu’elles partagent avec la vraie vie de l’acteur ? Un tournant inattendu et chargé d’émotion dans une série que vous pensiez déjà connaître par cœur… cliquez sur le lien pour en savoir plus.

Dix ans déjà que Léo Mattéï veille sur les plus vulnérables à la télévision française. Dix ans que Jean-Luc Reichmann incarne avec humanité cet ancien flic devenu défenseur acharné de l’enfance en danger. Pour cette saison anniversaire, l’émotion, l’action et les causes sociétales se mêlent plus que jamais. Mais cette année, une nouveauté vient enrichir la série : une brigade féminine soudée et puissante vient prêter main forte au personnage principal. Un vent de fraîcheur, de force et de solidarité souffle sur la Brigade des Mineurs.

Ce que l’on sait déjà, c’est que cette 10e saison se veut encore plus engagée, plus poignante. Et ce n’est pas un hasard. Derrière les caméras, Jean-Luc Reichmann continue de mettre en avant des sujets sensibles comme la maltraitance, le harcèlement, les abus de pouvoir, ou encore la fugue des adolescents. Et devant la caméra, une équipe féminine vient donner une nouvelle dynamique à la série, en apportant nuance, empathie et puissance dramatique.

Parmi celles qui forment cette nouvelle bande de filles, le public reconnaîtra avec plaisir des visages familiers. À commencer par Lorie Pester, déjà bien connue du public de TF1 pour ses nombreux rôles dans des fictions populaires. Elle incarne une enquêtrice aussi redoutable qu’attentive, forte mais profondément humaine, capable de se confronter à la violence tout en restant à l’écoute des enfants.

Autre ajout de taille : Lola Dubini. Connue d’abord comme humoriste et chanteuse, elle se révèle ici dans un registre plus grave, tout en gardant une énergie débordante. Sa fraîcheur contraste avec les tensions des affaires traitées par la brigade, et son personnage devient rapidement un pilier du groupe.

Rebecca Benhamour, que le grand public a notamment découverte dans la série Demain nous appartient, apporte une intensité nouvelle. Elle joue une jeune recrue confrontée trop tôt à l’horreur de certaines enquêtes, mais dont la fragilité devient une force. On découvre à travers elle le regard d’une jeunesse qui veut comprendre, qui veut agir, et qui refuse de détourner les yeux face à l’injustice.

Juliette Tresanini, autre visage bien connu des séries françaises, campe une experte médico-légale rigoureuse et pleine d’empathie. Son rôle est essentiel dans la chaîne de protection des enfants. Entre précision scientifique et écoute psychologique, elle incarne un maillon-clé de la Brigade.

Enfin, Nathalie Lecoultre, à la fois co-créatrice de la série et réalisatrice, apparaît plus que jamais comme l’âme artistique et humaine du projet. Si elle n’est pas à l’écran, sa vision transparaît dans chaque plan, chaque dialogue, chaque silence. C’est elle qui a insufflé cette dynamique féminine à la saison 10, convaincue qu’il fallait des regards pluriels, et notamment féminins, pour parler de l’enfance blessée.

Cette brigade de femmes, complémentaire à celle des saisons précédentes, ne cherche pas à remplacer les figures masculines, mais à les compléter. À apporter une autre énergie. Une autre sensibilité. À montrer que la lutte pour protéger les plus fragiles ne connaît ni genre ni uniforme, mais exige un engagement total, une détermination sans faille, et une capacité d’écoute rare.

Jean-Luc Reichmann, fidèle à lui-même, accueille ces nouvelles recrues avec enthousiasme. Il parle souvent d’« esprit de famille » sur le plateau. Et pour cette saison particulière, il n’a pas hésité à partager les coulisses du tournage avec ses abonnés sur les réseaux sociaux. Entre deux scènes poignantes, on y voit des éclats de rire, des moments de complicité, des regards sincères. Une preuve de plus que cette série, au-delà de la fiction, repose sur une aventure humaine forte.

Mais si l’ambiance sur le tournage est joyeuse, les sujets abordés à l’écran restent d’une gravité bouleversante. Chaque épisode met en lumière une réalité bien trop souvent cachée : enfants maltraités, jeunes livrés à eux-mêmes, familles en détresse, failles institutionnelles… La série ne cherche pas à choquer, mais à faire réagir. Et c’est peut-être là sa plus grande force. Elle informe, alerte, et parfois même, sauve.

La présence accrue de femmes dans cette 10e saison permet aussi d’aborder certains thèmes avec davantage de justesse. On parle davantage d’agressions sexuelles, de violences intrafamiliales, de solitude féminine face à la maternité. Ces sujets, portés par des actrices investies, trouvent une résonance particulière auprès du public.

À l’écran, les personnages féminins de la brigade sont à la fois enquêteuses, protectrices, confidentes. Elles écoutent les enfants, les rassurent, les accompagnent. Leur présence donne à la série une dimension plus émotionnelle, sans jamais tomber dans le pathos. Elles sont fortes, mais pas invincibles. Et c’est dans cette faille que se glisse toute la beauté de leur engagement.

D’un point de vue purement narratif, cette 10e saison joue sur des scénarios plus complexes, des intrigues à tiroirs, et une montée progressive de la tension. Les histoires personnelles des membres de la brigade s’entremêlent aux enquêtes, apportant une profondeur supplémentaire à la série. Le public ne regarde plus seulement des policiers résoudre des affaires, mais des hommes et des femmes lutter intérieurement pour ne pas se laisser engloutir par ce qu’ils découvrent.

Jean-Luc Reichmann, dans son rôle de Mattéï, évolue lui aussi. Il n’est plus seulement le chef charismatique. Il doute davantage, il écoute plus, il laisse la place. Son personnage se teinte d’une sagesse nouvelle, presque paternelle, comme si dix ans passés à côtoyer la douleur des enfants avaient changé sa manière de voir le monde. Il n’est plus un héros solitaire, mais un pilier au cœur d’une équipe profondément humaine.

Avec cette saison, Léo Mattéï confirme qu’elle n’est pas une simple série policière. C’est une œuvre engagée, utile, porteuse de messages. Le choix d’une brigade féminine forte et unie n’est pas anodin. Il résonne dans une société où les femmes prennent de plus en plus la parole, notamment dans les sphères de la protection, de la justice, et de l’éducation.

La série, diffusée sur TF1, rassemble chaque semaine des millions de téléspectateurs. Et à mesure que les saisons passent, le public ne se lasse pas. Il s’attache, il réagit, il partage. Preuve que le message passe, que les émotions sont vraies, que la fiction peut, parfois, changer un regard, éveiller une conscience.

Alors que la saison 10 bat son plein, une chose est certaine : la bande de filles de Léo Mattéï n’est pas là pour faire joli. Elle est là pour se battre, pour écouter, pour guérir. Avec, toujours, le même objectif : défendre les enfants, coûte que coûte.