Depuis des décennies, les vachettes d’Intervilles ont fait partie intégrante du charme et de l’identité de cette émission culte. Mais aujourd’hui, face aux débats croissants sur le bien-être animal et les nouvelles attentes du public, faut-il vraiment dire adieu à ces célèbres animaux ? Nagui, longtemps silencieux, brise enfin le mystère et révèle sa vérité sur ce sujet brûlant qui divise les fans. Ne manquez pas cette déclaration surprenante qui pourrait tout changer.

Faut-il dire adieu aux vachettes d’Intervilles ? Nagui brise le silence et révèle enfin sa vérité ! Cliquez sur le lien pour découvrir !

“Polémique Intervilles : Doit-on garder les vachettes ou les supprimer ? Nagui dévoile sa position exclusive dans C l’hebdo !”

“Polémique Intervilles : Doit-on garder les vachettes ou les supprimer ? Nagui dévoile sa position exclusive dans C l’hebdo !”

Le débat autour de l’absence des vachettes dans le jeu télévisé “Intervilles” a suscité une forte réaction en France, notamment de la part des habitants des Landes et des responsables politiques. Ce changement a été annoncé par Nagui, l’animateur de l’émission, qui a expliqué que, bien que la célèbre phrase “Top à la vachette!” disparaisse, une nouvelle mascotte serait introduite sous le nom de “Topa”. Cependant, cette mascotte ne serait pas une véritable vachette, mais un personnage de type mascotte, comme celles que l’on trouve dans des événements sportifs comme le rugby ou les Jeux Olympiques. Nagui a précisé que cet ajout n’aurait aucun impact sur le déroulement des jeux, des chutes, ou des accidents qui font partie de l’essence du programme. Mais cela n’a pas suffi à calmer les partisans des vachettes, qui ont lancé une pétition pour leur retour. Cette pétition a recueilli plus de 6 000 signatures, et de nombreux maires de villes emblématiques de l’émission comme Mont-de-Marsan, Dax et Bayonne ont exprimé leur mécontentement, menaçant de ne plus participer à “Intervilles” si ce changement était maintenu.

Le maire de Mont-de-Marsan, Charles, a adressé un message à Nagui pour exprimer son désaccord. Dans une vidéo, il a expliqué que les vachettes landaises sont élevées dans des conditions idéales, en liberté sur de vastes hectares, et qu’elles sont traitées avec respect. Il a ajouté que les éleveurs et agriculteurs de la région sont des défenseurs des animaux et que l’âme de “Intervilles” repose sur l’implication des vachettes landaises, qui sont imprévisibles et apportent une dimension ludique et comique aux épreuves du jeu. Le maire a invité Nagui à venir sur place pour voir par lui-même les conditions dans lesquelles ces animaux vivent, espérant qu’il reviendrait sur sa décision.

Nagui, de son côté, a réagi avec calme, remerciant le maire pour son invitation. Il a toutefois souligné que son objectif n’était pas de nuire au bien-être des vachettes, mais plutôt de préserver leur liberté, car il estime que l’élément naturel pour ces animaux n’est pas de participer à des épreuves de télévision. Il a aussi rappelé qu’il existe de nombreuses alternatives de divertissement sans avoir besoin de recourir à des animaux dans des situations qui pourraient être stressantes pour eux.

Au sujet des accusations de maltraitance qui ont été soulevées, Nagui a mentionné un incident tragique survenu en 2005 à L’Isle-d’Abeau, où une vachette est morte pendant une répétition de l’émission. Il a précisé que, bien que l’incident ait été déplorable, il ne pouvait pas être imputé à un acte de maltraitance délibéré. Il a ajouté que, malheureusement, dans le cadre des répétitions, les vachettes peuvent se retrouver dans des situations imprévisibles qui entraînent des accidents, bien que cela ne soit jamais voulu. Nagui a également rappelé que des candidats ont été blessés au cours des années, ce qui montre que le jeu, tout en étant fun et divertissant, comporte des risques inhérents.

Dans une autre interview, le DJ d’”Intervilles”, P. Corti, a évoqué son refus de revenir à l’émission si les vachettes n’étaient pas réintroduites. Il a déclaré que, de par ses racines camarguaises, il ne pourrait jamais participer à un “Intervilles” sans ces animaux, qu’il considère comme faisant partie intégrante de la culture et de l’esprit du jeu. Nagui a réagi en direct, en appelant Corti pour clarifier la situation. Il a expliqué que lui-même n’avait jamais proposé de revenir sans vachettes et qu’il ne comprenait pas pourquoi cette idée avait été véhiculée. Corti a confirmé qu’il ne participerait pas à l’émission sans vachettes, mais a précisé qu’il n’avait jamais qualifié Nagui de “woke”, un terme qui désigne, dans un contexte moderne, une personne souvent associée à une sensibilité accrue aux injustices sociales et aux discriminations. Nagui a répondu que le terme “woke” ne le dérangeait pas, rappelant que ce mot avait été utilisé pour la première fois par Martin Luther King, qui appelait la jeunesse à rester vigilante face au racisme et aux injustices.

L’animateur a également souligné que l’aspect des vachettes dans “Intervilles” n’était pas central dans le programme. Selon lui, leur présence ne représentait pas une majorité du temps d’antenne, et il ne croyait pas que leur absence serait un problème majeur pour l’émission. Concernant le changement de générique de l’émission, Nagui a expliqué que sa volonté était d’apporter une touche musicale plus moderne et participative, permettant à la foule de chanter et de reprendre des onomatopées, et non des paroles, créant ainsi une expérience plus interactive pour le public.

En conclusion, ce changement dans l’émission “Intervilles” a créé une onde de choc, soulevant des questions sur le traitement des animaux dans les médias, mais aussi sur l’évolution des programmes télévisés dans une époque où la sensibilité à la cause animale et aux questions éthiques est plus forte que jamais. Nagui, tout en respectant les opinions de ses détracteurs, défend fermement sa position en expliquant qu’il souhaite préserver le bien-être des animaux tout en continuant à offrir un divertissement de qualité aux téléspectateurs. Le débat reste donc ouvert, et “Intervilles” pourrait bien connaître une nouvelle direction en fonction des réactions du public et des intervenants concernés.