dans un taratata exceptionnel en 2011, nagui a offert au public français un moment incroyable : ed sheeran, encore inconnu en france, a livré “you need me, i don’t need you” en live, accompagné de sa guitare et de sa pédale de loop, devant un nagui visiblement ébloui. une performance brute, spontanée, faisant résonner un single déjà culte mais encore confidentiel en europe. rires, frissons et découverte musicale : cliquez ici pour revivre ce passage historique de taratata avec nagui et sheeran !

le jeudi 17 mars 2011, nagui recevait sur le plateau de taratata un jeune artiste britannique nommé ed sheeran. encore inconnu du grand public français, l’auteur-compositeur-interprète venait présenter sa version live de “you need me, i don’t need you”, extrait de son premier album + (sorti en août 2011) wiki2.zh-cn.nina.az+7en.wikipedia.org+7mytaratata.com+7chartsinfrance.netmytaratata.com+3soundofviolence.net+3europe2.fr+3. ce qui aurait pu passer pour une performance classique est devenu – grâce à la fraîcheur du contexte et à la passion de l’artiste – un moment de télévision unique, gravé dans la mémoire des téléspectateurs.

dès le premier accord, nagui, micro à la main, regarde ed avec attention. peu de fioritures : pas de groupies, pas d’effets visuels, juste ed, sa guitare, son loop pedal. il installe une atmosphère intimiste et concentrée. malgré l’absence de mise en scène spectaculaire, l’énergie brute de l’interprète et la modernité du titre captent instantanément l’attention.

“you need me, i don’t need you” est un morceau emblématique : ligne de basse hypnotique, beat hip‑hop‑folk, paroles défiant l’industrie musicale. ed la présentera comme un pied de nez aux maisons de disques qui l’avaient rejeté mytaratata.com. sur taratata, la version live a conservé cette rage discrète, ce flow incisif. son aisance sur scène, malgré sa jeunesse (environ 20 ans à l’époque) et son accent anglais à couper au couteau, a séduit nagui et l’équipe.

au fur et à mesure que la performance progresse, nagui se détend, tape du pied, hoche la tête en rythme et laisse s’exprimer sa curiosité. il pose même quelques questions en direct, d’un ton presque admiratif : « comment vous faites pour rester aussi fluide tout seul ? » ou « vous avez tout enregistré en cinq minutes, c’est bien ça ? » . ed répond avec simplicité : oui, sa loop pedal lui permet de superposer les pistes en live, un tour de force dont il est déjà fier.

l’ambiance devient presque intime. ed enchaîne les couplets avec assurance, ponctue chaque refrain d’un accent bien senti, tandis que nagui et la caméra l’accompagnent doucement. quand la chanson s’achève, un silence respectueux s’installe, vite remplacé par des applaudissements nourris. nagui reprend le micro :
« je ne m’attendais pas à un bruit pareil sur ce plateau. c’est une performance vibrante, merci ed. »

les réactions ne se font pas attendre. les fans de musique informent leurs amis, les blogs spécialisés en reprennent le lien, les premières fringales de buzz apparaissent. ed sheeran, pour les téléspectateurs français, est définitivement passé du statut d’inconnu à celui d’artiste dont on se souviendra.

dans les jours suivants, la performance est citée dans de nombreux articles. un observateur note que c’est “l’un des moments les plus authentiques jamais vus sur taratata” soundofviolence.net+1chartsinfrance.net+1chartsinfrance.neteurope2.fr. les connaisseurs remarquent le caractère rare du format : chez taratata, les artistes viennent souvent en groupe, rarement seuls avec poste de loop. le risque était grand, mais l’alchimie a bien fonctionné.

éd sheeran lui-même reviendra sur cette expérience dans des interviews ultérieures en 2012, évoquant taratata comme “le premier plateau français où il a senti un soutien réel” soundofviolence.net. pour notre jeune artiste, c’est le début d’une conquête mondiale qui culminera quelques années plus tard avec ÷ (divide) et shape of you. pour taratata, c’est un marqueur : prouver que le format peut être une rampe de lancement pour des talents hors norme.

quatre ans après, en 2015, ed reviendra sur france 2, cette fois dans n’oubliez pas les paroles, mais c’est bien ce moment de loop isolé en trio avec nagui qui restera gravé. il illustre aussi l’importance de la chaîne, de l’émission, et surtout de nagui pour offrir des scènes humaines, vivantes et sans chichi.

en conclusion, cette interprétation de “you need me, i don’t need you” est bien plus qu’un simple live : c’est une démonstration de savoir‑faire, une leçon de modestie, un pont jeté entre une télévision traditionnelle et une musique urbaine émergente. nagui, en embarquant ed sheeran dans son univers, a contribué à faire connaître au public français une future star, avec un honneur rare : l’avoir vu avant tout le monde.

pour revivre ce moment précieux, cliquez ici pour accéder à la vidéo intégrale de l’interprétation de “you need me, i don’t need you” par ed sheeran sur le plateau de taratata en 2011 — un instant de musique brut, sincère et inoubliable.