Critiqué pour avoir modernisé Intervilles, accusé d’avoir cédé au « wokisme », Nagui sort du silence et riposte avec fermeté : “Être woke, ce n’est pas une insulte, c’est une preuve de conscience.” Il démonte point par point les attaques qu’il subit, défend son choix d’éliminer les vachettes, et questionne le refus de changement d’une certaine frange du public. Derrière ses mots, une fracture profonde dans le monde du divertissement français. Entre tradition nostalgique et exigences modernes, Nagui prend position sans détour. Pourquoi ce débat fait-il autant de bruit ? Cliquez sur le lien pour découvrir toute la vérité.

Depuis l’annonce de la nouvelle version d’Intervilles sans les célèbres vachettes, Nagui, à la tête du projet, essuie un véritable feu nourri de critiques. Qualifié de « woke » par certains commentateurs et figures médiatiques, l’animateur ne se démonte pas. Mieux encore, il assume pleinement ses choix et décide de prendre la parole publiquement pour mettre les choses au clair.

Dans une interview accordée à Le Parisien, Nagui commence fort : « On m’a traité de ‘woke’ comme si c’était une insulte. Pour moi, c’est une qualité. Si être conscient des injustices et vouloir les corriger, c’est être woke, alors je le suis et je l’assume. » Ces propos tranchés témoignent d’un ras-le-bol profond, mais aussi d’une volonté de ne plus laisser passer certaines accusations.

Depuis l’annonce de la nouvelle version d’Intervilles sans les célèbres vachettes, Nagui, à la tête du projet, essuie un véritable feu nourri de critiques. Qualifié de « woke » par certains commentateurs et figures médiatiques, l’animateur ne se démonte pas. Mieux encore, il assume pleinement ses choix et décide de prendre la parole publiquement pour mettre les choses au clair.

Dans une interview accordée à Le Parisien, Nagui commence fort : « On m’a traité de ‘woke’ comme si c’était une insulte. Pour moi, c’est une qualité. Si être conscient des injustices et vouloir les corriger, c’est être woke, alors je le suis et je l’assume. » Ces propos tranchés témoignent d’un ras-le-bol profond, mais aussi d’une volonté de ne plus laisser passer certaines accusations.

L’émission Intervilles, emblématique du paysage audiovisuel français, a marqué plusieurs générations avec ses défis loufoques, ses villes en compétition, et ses célèbres vachettes lâchées dans l’arène. Mais dans la version relancée par France Télévisions, Nagui a décidé de faire sans ces animaux. Une décision motivée par le respect du bien-être animal, mais qui a déclenché une levée de boucliers chez les puristes.

Pour Nagui, il s’agit d’une évolution naturelle. « Aujourd’hui, on ne peut plus rire des mêmes choses qu’il y a trente ans. Ce qui faisait sourire autrefois peut aujourd’hui choquer, blesser. Il faut en tenir compte. Ce n’est pas renier notre passé, c’est être en accord avec notre époque. » Il rappelle que de nombreuses associations de défense des animaux avaient dénoncé les conditions de traitement des vachettes pendant les tournages.

Les réactions ne se sont pas fait attendre. De nombreux internautes, mais aussi certaines personnalités, ont reproché à Nagui de « tuer l’âme de l’émission ». Le terme « wokisme » est revenu de façon récurrente, comme une manière de disqualifier ses choix. Philippe Corti, par exemple, l’a accusé de céder à une pression idéologique. D’autres ont parlé de “censure morale” ou d’une dérive du divertissement aseptisé.

Nagui, loin de se laisser abattre, a contre-attaqué sur plusieurs fronts. Il a publié une tribune dans Libération pour défendre l’idée d’un divertissement moderne, responsable, et respectueux. Il y écrit notamment : « Faire rire ne devrait jamais se faire au détriment d’un être vivant. La cruauté gratuite n’a jamais été une nécessité pour amuser. »

L’animateur va plus loin : il dénonce une forme d’hypocrisie. « Les mêmes qui me reprochent de retirer les vachettes applaudissent quand on interdit les animaux dans les cirques. Alors pourquoi ce double standard ? Parce que c’est la télé ? Parce que c’est de la nostalgie ? » Pour lui, ce rejet du « woke » n’est rien d’autre qu’un rejet du changement, et parfois même une peur de perdre ses repères.

Mais au fond, que signifie réellement être « woke » ? Un terme venu des États-Unis, à l’origine porteur d’une conscience sociale et d’un engagement pour plus d’égalité. En France, le mot est souvent détourné, vidé de son sens, utilisé pour stigmatiser toute démarche progressiste. Nagui en est bien conscient : « Ce mot est devenu un fourre-tout. On y met tout ce qui dérange, tout ce qui bouscule. »

Ses prises de position ne datent pas d’hier. Depuis des années, Nagui milite pour des causes qui lui tiennent à cœur : écologie, droits des animaux, égalité hommes-femmes. Il n’a jamais caché ses opinions, même au risque de froisser certains téléspectateurs. Pour lui, la télévision a un rôle à jouer dans la transformation de la société. « On peut divertir tout en éveillant les consciences. Ce n’est pas incompatible. »

Face à la polémique, les soutiens ne manquent pas non plus. De nombreux artistes, journalistes et personnalités politiques ont salué le courage de Nagui. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #SoutienNagui a même été lancé. Des milliers de messages d’internautes soulignent l’importance d’une télévision qui évolue, qui s’adapte aux enjeux contemporains.

La nouvelle version d’Intervilles, elle, continue de se préparer. Nagui affirme que le programme conservera son esprit festif et bon enfant, mais avec des épreuves repensées, sans recours aux animaux. « On a trouvé des alternatives tout aussi drôles et dynamiques. Et puis, le cœur de l’émission, ce sont les gens, les villes, la bonne humeur. Pas les vachettes. »

Ce débat autour d’un jeu télévisé pourrait paraître anodin, mais il soulève des questions bien plus larges : sur l’identité culturelle française, sur les attentes du public, sur la capacité des médias à se renouveler. Nagui, en s’y engageant aussi frontalement, démontre qu’il ne se contente pas d’animer, il veut faire bouger les lignes.

Il conclut dans un entretien à Télérama : « On me reproche de faire de la morale. Mais si rappeler que la violence gratuite n’a plus sa place à la télé, c’est faire la morale, alors oui, je continuerai. Et avec fierté. » Un message clair, adressé à ceux qui confondent nostalgie et régression.

Dans cette bataille sémantique et culturelle, Nagui semble avoir fait un choix : celui de la cohérence. En affirmant que « woke » n’est pas une insulte, il refuse d’avoir honte de ce qu’il considère comme une responsabilité. Et même si cela lui coûte quelques téléspectateurs, il semble prêt à l’assumer, jusqu’au bout.

L’émission Intervilles, emblématique du paysage audiovisuel français, a marqué plusieurs générations avec ses défis loufoques, ses villes en compétition, et ses célèbres vachettes lâchées dans l’arène. Mais dans la version relancée par France Télévisions, Nagui a décidé de faire sans ces animaux. Une décision motivée par le respect du bien-être animal, mais qui a déclenché une levée de boucliers chez les puristes.

Pour Nagui, il s’agit d’une évolution naturelle. « Aujourd’hui, on ne peut plus rire des mêmes choses qu’il y a trente ans. Ce qui faisait sourire autrefois peut aujourd’hui choquer, blesser. Il faut en tenir compte. Ce n’est pas renier notre passé, c’est être en accord avec notre époque. » Il rappelle que de nombreuses associations de défense des animaux avaient dénoncé les conditions de traitement des vachettes pendant les tournages.

Les réactions ne se sont pas fait attendre. De nombreux internautes, mais aussi certaines personnalités, ont reproché à Nagui de « tuer l’âme de l’émission ». Le terme « wokisme » est revenu de façon récurrente, comme une manière de disqualifier ses choix. Philippe Corti, par exemple, l’a accusé de céder à une pression idéologique. D’autres ont parlé de “censure morale” ou d’une dérive du divertissement aseptisé.

Nagui, loin de se laisser abattre, a contre-attaqué sur plusieurs fronts. Il a publié une tribune dans Libération pour défendre l’idée d’un divertissement moderne, responsable, et respectueux. Il y écrit notamment : « Faire rire ne devrait jamais se faire au détriment d’un être vivant. La cruauté gratuite n’a jamais été une nécessité pour amuser. »

L’animateur va plus loin : il dénonce une forme d’hypocrisie. « Les mêmes qui me reprochent de retirer les vachettes applaudissent quand on interdit les animaux dans les cirques. Alors pourquoi ce double standard ? Parce que c’est la télé ? Parce que c’est de la nostalgie ? » Pour lui, ce rejet du « woke » n’est rien d’autre qu’un rejet du changement, et parfois même une peur de perdre ses repères.

Mais au fond, que signifie réellement être « woke » ? Un terme venu des États-Unis, à l’origine porteur d’une conscience sociale et d’un engagement pour plus d’égalité. En France, le mot est souvent détourné, vidé de son sens, utilisé pour stigmatiser toute démarche progressiste. Nagui en est bien conscient : « Ce mot est devenu un fourre-tout. On y met tout ce qui dérange, tout ce qui bouscule. »

Ses prises de position ne datent pas d’hier. Depuis des années, Nagui milite pour des causes qui lui tiennent à cœur : écologie, droits des animaux, égalité hommes-femmes. Il n’a jamais caché ses opinions, même au risque de froisser certains téléspectateurs. Pour lui, la télévision a un rôle à jouer dans la transformation de la société. « On peut divertir tout en éveillant les consciences. Ce n’est pas incompatible. »

Face à la polémique, les soutiens ne manquent pas non plus. De nombreux artistes, journalistes et personnalités politiques ont salué le courage de Nagui. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #SoutienNagui a même été lancé. Des milliers de messages d’internautes soulignent l’importance d’une télévision qui évolue, qui s’adapte aux enjeux contemporains.

La nouvelle version d’Intervilles, elle, continue de se préparer. Nagui affirme que le programme conservera son esprit festif et bon enfant, mais avec des épreuves repensées, sans recours aux animaux. « On a trouvé des alternatives tout aussi drôles et dynamiques. Et puis, le cœur de l’émission, ce sont les gens, les villes, la bonne humeur. Pas les vachettes. »

Ce débat autour d’un jeu télévisé pourrait paraître anodin, mais il soulève des questions bien plus larges : sur l’identité culturelle française, sur les attentes du public, sur la capacité des médias à se renouveler. Nagui, en s’y engageant aussi frontalement, démontre qu’il ne se contente pas d’animer, il veut faire bouger les lignes.

Il conclut dans un entretien à Télérama : « On me reproche de faire de la morale. Mais si rappeler que la violence gratuite n’a plus sa place à la télé, c’est faire la morale, alors oui, je continuerai. Et avec fierté. » Un message clair, adressé à ceux qui confondent nostalgie et régression.

Dans cette bataille sémantique et culturelle, Nagui semble avoir fait un choix : celui de la cohérence. En affirmant que « woke » n’est pas une insulte, il refuse d’avoir honte de ce qu’il considère comme une responsabilité. Et même si cela lui coûte quelques téléspectateurs, il semble prêt à l’assumer, jusqu’au bout.