Coup de tonnerre dans les médias français : Paul Amar s’emporte contre Delphine Ernotte et dénonce une présidence « déconnectée et arrogante » — « Dans n’importe quelle entreprise privée, elle aurait été virée ! » — une déclaration explosive qui expose les tensions internes à France Télévisions et révèle, en filigrane, un malaise profond au sommet du service public… cliquez pour lire la suite.
Paul Amar n’a jamais eu la langue dans sa poche, mais cette fois, il est allé plus loin que jamais. Invité sur un plateau de radio pour évoquer la situation de France Télévisions, le célèbre journaliste, figure respectée du paysage médiatique français, a lancé une phrase qui résonne comme une gifle : « Dans n’importe quelle entreprise privée, Delphine Ernotte aurait été virée ! » Une déclaration d’une rare virulence, qui met directement en cause la présidente du groupe public, déjà au cœur de plusieurs polémiques ces derniers mois.
Selon Amar, la gestion de Delphine Ernotte est « catastrophique », marquée par une déconnexion totale entre la direction et les équipes, et une perte de sens dans la mission de service public. « France Télévisions devait être une maison de création, d’audace et de culture. C’est devenu une bureaucratie audiovisuelle, où l’on fait plus de PowerPoint que de programmes », déplore-t-il, la voix ferme.
Ce n’est pas la première fois que la présidente du groupe est critiquée. Depuis son arrivée en 2015, Delphine Ernotte a connu de nombreuses zones de turbulences : grèves internes, départs de journalistes emblématiques, baisses d’audience, et accusations de favoritisme dans certaines nominations. Mais jamais les attaques n’avaient pris une tournure aussi directe. En déclarant qu’elle « aurait été virée dans le privé », Paul Amar remet en cause la légitimité même de son maintien à la tête du groupe.
Les propos du journaliste n’ont pas tardé à déclencher une tempête médiatique. Les réseaux sociaux se sont enflammés, certains saluant le « courage » d’Amar, d’autres dénonçant un « règlement de comptes » personnel. Sur X (anciennement Twitter), les messages fusent : « Enfin quelqu’un qui ose dire tout haut ce que tout le monde pense », écrit un internaute, tandis qu’un autre ironise : « À France Télé, on récompense l’échec par la longévité. »

De son côté, Delphine Ernotte n’a pas réagi publiquement, mais plusieurs proches de la présidence ont fait savoir que ces attaques étaient jugées « inacceptables et sexistes ». Une manière de déplacer le débat sur le terrain du genre, ce que Paul Amar a immédiatement refusé : « Ce n’est pas une question d’homme ou de femme. C’est une question de compétence. Et de résultats », a-t-il répliqué dans une interview ultérieure.
Ce qui frappe, c’est le ton de désillusion qui traverse les propos d’Amar. Lui qui a connu l’âge d’or du journalisme télévisé, de France 2 à France 5, déplore un « appauvrissement général du contenu », une « uniformisation des voix » et « un manque de pluralisme inquiétant ». « La télévision publique a renoncé à informer vraiment. Elle divertit, elle formate, elle rassure. Mais elle ne dérange plus », accuse-t-il.
Dans les couloirs de France Télévisions, cette sortie a fait l’effet d’une bombe. Plusieurs salariés, sous couvert d’anonymat, confirment une « lassitude » généralisée. « Tout est centralisé, aseptisé, sans souffle », confie un cadre de France 3. « On ne sent plus d’élan créatif. On obéit, on coche des cases. » D’autres, en revanche, défendent la présidente, soulignant les défis inédits qu’elle a dû affronter : crise du financement public, concurrence des plateformes, et transition numérique accélérée.
Mais Amar, lui, voit plus loin. Selon lui, le malaise dépasse la seule question de la gestion interne. Il parle d’un système verrouillé, où la proximité avec le pouvoir politique prime sur le mérite. « La télévision publique est devenue un instrument de communication gouvernementale. C’est un secret de Polichinelle », affirme-t-il. Et d’ajouter, avec une ironie mordante : « On a remplacé les journalistes par des communicants. On appelle ça la modernisation. »

Ce coup de gueule intervient à un moment clé : la question du financement et du futur modèle économique de France Télévisions est à nouveau sur la table, alors que le gouvernement réfléchit à une fusion partielle avec Radio France. Une réforme que Delphine Ernotte soutient ardemment — au grand dam de nombreux professionnels du secteur qui y voient une menace pour la diversité éditoriale.
Dans ce climat tendu, les mots de Paul Amar résonnent comme un avertissement. Pour lui, si le service public veut survivre, il doit se réinventer, retrouver une identité claire et indépendante. « Ce n’est pas la technologie qui sauvera la télévision, c’est la vérité », lance-t-il. Une phrase qui, venant de lui, prend la valeur d’un testament journalistique.
L’avenir dira si ce cri d’alarme sera entendu ou s’il rejoindra la longue liste des appels ignorés. En attendant, le débat est relancé. Et une chose est sûre : la phrase d’Amar — « Dans n’importe quelle entreprise privée, Delphine Ernotte aurait été virée » — restera gravée comme l’une des plus dures attaques adressées à la présidente de France Télévisions depuis sa nomination.
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