C’est une facette méconnue du célèbre animateur de “N’oubliez pas les paroles” : Nagui s’implique depuis plusieurs mois dans une aventure profondément humaine et loin des plateaux télé. En ouvrant sa porte à des enfants placés, il devient, discrètement mais sincèrement, une famille d’accueil. Pourquoi ce choix ? Quel est le déclic qui a poussé cette figure du petit écran à franchir le pas ? Entre confidences rares et engagement personnel, découvrez un Nagui inattendu, loin des projecteurs mais plus touchant que jamais. Cliquez sur le lien pour en savoir plus.
Nagui : Famille d’accueil !
Nagui est sans doute l’un des animateurs les plus connus du paysage audiovisuel français. Depuis des décennies, il enchaîne les émissions à succès, de “Taratata” à “N’oubliez pas les paroles”, en passant par “Tout le monde veut prendre sa place”. Mais au-delà de la caméra, il mène une vie discrète, guidée par des engagements forts. L’un d’eux, encore peu connu du public, bouleverse aujourd’hui les lignes habituelles de son image : Nagui est devenu famille d’accueil.
Le choix n’a pas été pris à la légère. C’est au cours d’un reportage diffusé sur une chaîne documentaire que l’animateur a eu le déclic. Il y découvrait le quotidien de familles accueillant des enfants retirés de leur milieu pour cause de maltraitance, d’abandon ou de grande précarité. Bouleversé, il en parle le soir-même à sa compagne, Mélanie Page. La discussion est intense. Ensemble, ils se posent mille questions : en ont-ils la force ? Le temps ? La stabilité émotionnelle ? L’espace ? Très vite, la réponse s’impose d’elle-même : si eux ne le font pas, alors qui ?
Quelques semaines plus tard, les démarches administratives commencent. Il faut remplir des formulaires, passer des entretiens, rencontrer des psychologues, se former. Nagui insiste pour ne pas bénéficier de traitement particulier. Il veut faire les choses comme tout le monde. Il refuse également toute médiatisation de cette décision, conscient du caractère profondément intime de cet engagement.
Mais aujourd’hui, après plusieurs mois d’expérience, il accepte de parler. Pas pour se mettre en avant, mais pour encourager d’autres à envisager ce chemin. « Il y a des milliers d’enfants qui dorment ce soir dans des foyers surchargés, faute de familles disponibles. On ne peut pas rester spectateurs de ça », dit-il avec gravité.
L’enfant qu’il a accueilli est un garçon de 9 ans, prénommé K., retiré à sa famille biologique après plusieurs signalements. Les premières semaines sont délicates. L’enfant ne parle pas, refuse les câlins, fait des cauchemars. Nagui et Mélanie prennent sur eux. Ils instaurent des routines, des rituels, de la douceur. Peu à peu, le regard de K. s’éclaire. Il pose des questions. Il rit. Il ose même, un matin, dire “merci” sans y être invité.
Ce petit mot change tout. C’est un tournant. Nagui confie : « Ce jour-là, j’ai pleuré en silence. C’est fou comme un mot si simple peut devenir un événement. »
Loin du monde des plateaux, cette vie parallèle lui donne un autre rapport au temps, à l’essentiel. Il apprend à ralentir, à écouter autrement, à accueillir sans juger. « On croit que c’est nous qui donnons, mais en réalité, c’est nous qui recevons », ajoute-t-il.
Bien sûr, il y a des tensions. Parfois, l’enfant replonge dans ses angoisses. Parfois, la fatigue prend le dessus. Mais chaque progrès, aussi infime soit-il, devient une victoire. Il ne s’agit pas de remplacer une famille, mais d’offrir un refuge temporaire, une parenthèse sécurisante.
Nagui se dit aussi frappé par la solitude des familles d’accueil. Peu d’accompagnement psychologique, peu de reconnaissance institutionnelle, un rôle crucial pourtant si peu visible. Il milite désormais pour une meilleure valorisation de ces acteurs de l’ombre. Dans certaines émissions, il glisse quelques mots, toujours avec discrétion, pour sensibiliser.
Il sait aussi que l’enfant repartira un jour. Vers une autre famille, ou parfois de retour chez ses parents biologiques si la justice l’estime possible. Il s’y prépare. Avec douleur, mais sans regret. « Ce n’est pas une adoption. C’est un passage. Et si ce passage laisse une trace douce, c’est déjà énorme. »
Ses propres enfants, adolescents, ont eux aussi été impliqués dans la décision. Ils ont accueilli K. comme un petit frère, parfois avec maladresse, souvent avec tendresse. Mélanie Page, elle, parle d’une expérience qui “nous a soudés autrement”. Le couple, déjà engagé dans plusieurs causes humanitaires, voit cette démarche comme une suite logique : “faire le bien, mais concrètement, ici, dans notre quotidien”.
Nagui reste prudent. Il ne veut pas lancer une mode, ni être perçu comme un sauveur. Il insiste : chaque famille doit réfléchir, évaluer ses limites. « Ce n’est pas une décision à prendre à la légère. Mais ce n’est pas non plus un Everest. C’est juste… ouvrir une porte. »
Aujourd’hui, K. va mieux. Il est scolarisé, commence à parler de projets, de rêves. Il a même exprimé le désir de devenir batteur – comme Nagui, passionné de musique. Ils improvisent parfois des petits concerts dans le salon, entre deux devoirs. Des instants simples, mais inoubliables.
Nagui sait que l’aventure ne fait que commencer. D’autres enfants viendront peut-être. Ou peut-être pas. Il ne prévoit rien, ne planifie pas. Il reste dans le présent, dans ce qu’il peut offrir, ici et maintenant.
Et dans le silence d’un soir d’hiver, lorsqu’il referme doucement la porte de la chambre de K. endormi, il se dit que cette décision – la plus discrète de sa vie publique – est peut-être la plus grande de toutes.
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