C’EST DIFFICILE À CROIRE, MAIS C’EST VRAI ! 🚨 SCANDALE D’ÉTAT : La Cour des Comptes Lâche une BOMBE et Dénonce l’Abandon de la Lutte Contre la Corruption ! La Vérité Éclate sur l’Impunité ! Il est difficile de croire que le gouvernement ait délaissé ce combat vital, mais le rapport démonte l’hypocrisie politique avec une violence inouïe. Ce détail explosif sur le manque de moyens va vous agacer par son cynisme. Quel est le premier signe inquiétant que l’argent sale circule sans entrave au sommet ? Cette faillite morale change tout. Découvrez l’analyse accablante et les chiffres de la honte dans les commentaires ! 👇 Ne ratez pas ça !

C’est un séisme institutionnel qui vient d’ébranler les fondations mêmes de la République. Alors que les discours officiels prônent la transparence et l’exemplarité, la Cour des comptes, gardienne suprême des deniers publics, vient de jeter un pavé dans la mare avec une brutalité inouïe. Le constat est sans appel et résonne comme un aveu d’échec humiliant pour l’exécutif : la lutte contre la corruption ne serait tout simplement pas une priorité politique. Loin d’être une simple note administrative, ce rapport est un véritable cri d’alarme sur l’état de notre démocratie.

La vérité qui éclate au grand jour est celle d’un abandon de poste. Les magistrats pointent du doigt une stratégie défaillante, des moyens insuffisants et une volonté politique aux abonnés absents. Ce détail explosif révèle que pendant que les Français se serrent la ceinture, les mécanismes de contrôle de la probité publique sont laissés en friche. Ce rapport est le premier signe inquiétant d’une tolérance tacite envers les dérives, transformant la France en un terrain de jeu potentiel pour les fraudeurs. S’agit-il de négligence ou d’une volonté délibérée de ne pas regarder là où ça fait mal ? En dénonçant cette “absence de priorité”, la Cour des comptes force les citoyens à ouvrir les yeux sur une réalité glaçante : l’impunité pourrait bien avoir de beaux jours devant elle si rien ne change.

La Cour des comptes constate l’absence de priorité politique mise sur la lutte contre la corruption

Dans un rapport publié le 9 décembre, la Cour des comptes dissèque les manques de moyens chroniques des acteurs de la lutte contre la corruption, mais aussi le manque d’impulsion politique et l’absence de cohérence du dispositif.

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La lutte contre la corruption souffre d’un désintérêt de l’exécutif. C’est en creux la démonstration faite par la Cour des comptes, dans un rapport foisonnant consacré à l’évaluation des politiques publiques en la matière durant ces dix dernières années, publié mardi 9 décembre. « On ne peut (…) que constater que la lutte contre la corruption n’est que peu valorisée dans les priorités ministérielles », notent les magistrats financiers. De la prévention à la sanction, en passant par la détection des faits de corruption, leur rapport dissèque les manques de moyens chroniques, sur le plan financier et juridique, des acteurs de la lutte contre la corruption, mais aussi le manque d’impulsion politique et l’absence de cohérence du dispositif.

« Depuis 2013, le cadre juridique de lutte contre la corruption a été modifié plus d’une dizaine de fois » en réaction « à des événements nationaux ou internationaux », constate la cour, citant l’affaire Cahuzac, mais aussi les lourdes amendes payées par des entreprises françaises aux Etats-Unis (dont Alstom en 2014, pour 772 millions de dollars, soit 637 millions d’euros à l’époque). Les faits n’avaient pas eu lieu sur le territoire américain, mais Washington s’estimait alors en droit de juger ces entreprises, du fait de l’absence de sanctions pénales en France dans le domaine.