Ce mercredi 9 juillet 2025, l’émission Taratata 100 % live revient en force sur France 2 avec une programmation qui promet des surprises, des émotions, et des performances inoubliables. Mais que nous réserve exactement Nagui cette fois-ci ? Entre invités inattendus, duos inédits, et confidences en coulisses, cette nouvelle édition pourrait bien réserver l’un des moments musicaux les plus forts de l’année — cliquez sur le lien pour découvrir en avant-première les artistes présents et les secrets de cette soirée exceptionnelle.

Mercredi 9 juillet 2025, les projecteurs de France 2 se braquent à nouveau sur le plateau mythique de Taratata 100 % live, l’émission musicale culte animée par Nagui. Véritable rendez-vous des passionnés de musique live, ce nouveau numéro promet, une fois encore, de marquer les esprits par sa diversité artistique, son ambiance unique et des rencontres musicales inattendues.

Depuis sa création, Taratata a toujours misé sur l’authenticité. Pas de playback, pas de fioritures, mais du live pur, brut, sincère. Et c’est ce qui attire artistes comme spectateurs : la promesse d’un moment de musique vrai. Cette édition de juillet 2025 ne fait pas exception. Bien au contraire, elle se veut plus intense encore, comme pour célébrer la richesse de la scène musicale actuelle et les liens qui unissent les générations d’artistes.

Le plateau de ce mercredi accueille un mélange d’icônes confirmées et de révélations de l’année. À commencer par Zazie, fidèle de l’émission, qui vient interpréter un extrait de son nouvel album “Humaine(s)”, un projet intimiste et engagé. Elle sera accompagnée d’un chœur gospel pour un titre revisité exclusivement pour Taratata, avec une intensité vocale rare.

À ses côtés, le jeune phénomène belge Noé Preszow fait ses débuts sur l’émission. Encore peu connu du grand public il y a deux ans, il enchaîne aujourd’hui les scènes et les récompenses. Sa chanson “Respirer encore”, véritable cri de liberté post-pandémique, sera interprétée dans une version acoustique poignante, accompagné simplement d’un piano.

Mais l’une des surprises de la soirée vient du duo improbable formé pour l’occasion entre Vianney et la chanteuse franco-marocaine Sofia Mestari. Ensemble, ils reprennent “Ne me quitte pas” de Jacques Brel dans une version dépouillée, uniquement guitare-voix. Un moment suspendu, bouleversant, qui a fait se lever le public en fin d’enregistrement.

L’émission mise aussi sur des collaborations inattendues. Ainsi, le groupe electro-pop Hyphen Hyphen a partagé la scène avec le violoncelliste Gautier Capuçon pour un medley explosif mêlant musique classique et beats électroniques. Une rencontre artistique audacieuse, imaginée en coulisses et répétée dans le plus grand secret pendant deux semaines.

Nagui, comme à son habitude, joue le maître de cérémonie avec humour et émotion. Tour à tour complice, provocateur ou attendri, il interroge les artistes entre les prestations, dévoilant leurs inspirations, leurs doutes, leurs espoirs. Il rappelle aussi l’importance de la musique live, dans un monde où tout tend à être filtré, compressé, standardisé.

“Ce soir, vous n’entendrez pas de machine corriger les voix, pas de clic caché, juste des artistes qui prennent le risque du direct”, déclare-t-il en introduction. Un pari courageux, mais que l’émission assume pleinement depuis ses débuts.

En coulisses, l’ambiance est électrique mais chaleureuse. Les musiciens partagent les loges, échangent sur leurs parcours, leurs envies, parfois improvisent quelques notes ensemble. Une sorte de village musical éphémère où la compétition laisse place à la bienveillance et à l’échange.

Parmi les autres invités marquants, on retrouve également la chanteuse Yseult, qui interprète son hymne “Corps” dans une version minimaliste, accompagnée uniquement par un batteur jazz. Un moment intense, presque chuchoté, qui contraste avec l’énergie déployée quelques instants plus tôt par le groupe Shaka Ponk, venu défendre son dernier single explosif.

Enfin, l’émission rend hommage à Florent Pagny, en convalescence après une période difficile. Plusieurs artistes, dont Pascal Obispo et Louane, interprètent en chœur “Savoir aimer”, créant un moment d’émotion partagée. Un hommage sobre, sincère, à l’image de celui qu’il célèbre.

Le public, lui, est conquis. Présent sur le plateau mais aussi derrière les écrans, les réactions fusent sur les réseaux sociaux. Beaucoup saluent la qualité sonore de l’émission, l’originalité des duos, et l’engagement de Nagui à faire vivre une émission musicale exigeante dans le service public.

À l’heure où de nombreux programmes misent sur le sensationnel ou le formatage, Taratata reste un ovni précieux : un espace de liberté, d’expérimentation, et surtout, d’émotion brute.

“Ce qui me touche, c’est de voir des artistes de générations différentes se retrouver autour d’une même chanson, et la faire vibrer autrement”, conclut Nagui en fin d’émission.

Une phrase qui résume parfaitement l’esprit de Taratata 100 % live, plus vivant que jamais en ce 9 juillet 2025.