Coup de théâtre sur le plateau des « 12 coups de midi » : Alexandre, maître de midi incontesté depuis plus de deux mois, a été éliminé après 75 participations. Personne ne s’attendait à une telle sortie de route, pas même lui. Que s’est-il réellement passé ce jour-là ? Un moment d’inattention, une question piège ou un trouble plus profond ? Son départ a ému les téléspectateurs et bouleversé l’émission. Il revient aujourd’hui sur cette élimination inattendue, les coulisses de ses derniers instants à l’écran et ses projets pour l’avenir. Cliquez ici pour découvrir tous les détails de cette chute surprenante.

Depuis plusieurs semaines, le nom d’Alexandre résonnait chaque midi dans les foyers français. À seulement 34 ans, ce candidat discret, toujours souriant, était devenu une véritable figure du jeu « Les 12 coups de midi », l’un des rendez-vous incontournables de TF1. Jour après jour, victoire après victoire, il avait conquis le cœur du public avec sa culture impressionnante, son humilité rare et son aisance face à Jean-Luc Reichmann. Pourtant, après 75 participations, l’aventure s’est brusquement arrêtée. Son élimination, aussi soudaine qu’inattendue, a marqué un tournant dans l’émission.

Tout commence comme un jour ordinaire. Alexandre arrive sur le plateau comme à son habitude, détendu, confiant mais toujours modeste. Il prend place derrière son pupitre, échange quelques mots complices avec Jean-Luc, sourit aux caméras. À ce moment-là, rien ne laisse présager la fin imminente de son parcours. Et pourtant, quelques minutes plus tard, une question va tout faire basculer.

Le thème était pourtant simple : « Cinéma français des années 90 ». Alexandre, passionné de culture générale, semblait dans son élément. Mais une erreur d’interprétation, une hésitation, et la mauvaise réponse est donnée. Le gong retentit. Silence. Le regard de Jean-Luc change, et celui d’Alexandre aussi. Il comprend. Son règne s’achève ici.

“J’ai tout de suite su que c’était fini,” a-t-il confié plus tard en interview. “Je me suis trompé sur un détail que je connaissais… mais que j’ai mal formulé. C’est cruel, mais c’est le jeu.” Et le jeu, il l’a toujours respecté. Pas de scandale, pas de larmes : juste une immense dignité dans la défaite.

Pourtant, dans les coulisses, l’émotion est palpable. L’équipe du tournage, qui a accompagné Alexandre pendant plus de deux mois, est sous le choc. Certains techniciens retiennent leurs larmes, les assistants viennent spontanément lui dire merci. Jean-Luc Reichmann, très ému, lui adresse un mot personnel : “Tu as marqué l’histoire du jeu, Alexandre. Merci pour ce que tu nous as donné.”

Et ce qu’il a donné est immense. En 75 participations, Alexandre a amassé une cagnotte de 318 000 euros, répondant juste à des centaines de questions couvrant tous les domaines : histoire, géographie, musique, littérature, sport… Il a révélé une mémoire hors du commun et une capacité d’analyse impressionnante. Mais surtout, il a su rester lui-même.

Originaire de la région lyonnaise, ce professeur de physique-chimie n’aurait jamais imaginé une telle aventure. “J’ai postulé un peu par hasard. Un ami m’a poussé à le faire, et je ne pensais même pas passer la présélection.” Sa première émission, il s’en souvient comme si c’était hier. “J’étais tétanisé, je transpirais à grosses gouttes. Et puis Jean-Luc m’a mis à l’aise, et c’est allé tout seul.”

Émission après émission, il gagne en confiance. Son calme impressionne les téléspectateurs. Sur les réseaux sociaux, les messages d’encouragement affluent. Des fans lui envoient des dessins, des lettres, certains lui racontent comment il leur redonne espoir, notamment ceux qui traversent des périodes difficiles. “Je ne pensais pas avoir un tel impact. C’est ce qui m’a le plus touché dans cette aventure.”

Et maintenant que l’émission est finie, que va-t-il faire ? “D’abord, me reposer !” plaisante-t-il. Mais très vite, il enchaîne : “Je vais reprendre le travail, bien sûr. Mes élèves m’attendent. Mais j’aimerais aussi consacrer un peu de temps à des projets personnels, notamment un voyage que je repousse depuis des années.” Il évoque le Japon, un rêve de longue date. “J’adore leur culture, et je me suis promis d’y aller si je gagnais un peu d’argent.”

Concernant sa notoriété soudaine, il reste prudent. “Je ne suis pas une star. Les gens me reconnaissent parfois dans la rue, c’est toujours bienveillant. Mais je reste Alexandre, le prof de chimie un peu geek.” Des propositions ? “Quelques-unes, oui. Des interviews, un podcast, même une idée de livre. Mais je veux faire les choses à mon rythme.”

Jean-Luc Reichmann, de son côté, n’a pas tari d’éloges : “Alexandre, c’est le joueur parfait. Intelligent, drôle, humain. Il a marqué l’émission comme peu l’ont fait. Il va nous manquer.” Une déclaration appuyée par la production, qui évoque un “moment charnière” dans l’histoire des « 12 coups de midi ».

Au-delà des chiffres, Alexandre a su créer un lien rare avec le public. Peut-être est-ce sa sincérité, son absence totale d’arrogance, ou sa manière de toujours valoriser les autres candidats, même quand il gagnait largement. “Je me souviens de lui serrant la main d’un adversaire en l’encourageant sincèrement. C’est rare,” confie un technicien de l’émission.

Son départ a laissé un vide. Mais aussi une trace lumineuse. Alexandre ne voulait pas partir avec des regrets, et c’est le cas. Il est parti debout, digne, fidèle à lui-même. Une page se tourne, mais le livre n’est pas fermé. L’avenir dira ce que ce champion pas comme les autres nous réserve encore.