đŸ„¶ TENSION MAXIMALE ! Florent Pagny, invitĂ© sur le plateau de “C Ă  vous”, dĂ©zingue en direct le magazine Paris Match ! đŸ’„ Personne ne s’y attendait, mais le chanteur a vidĂ© son sac, provoquant un immense malaise. Une histoire de promesse non tenue qui l’a mis hors de lui… Le plateau est restĂ© sans voix ! 👇 DĂ©couvrez la sĂ©quence qui a glacĂ© tout le monde dans notre article complet en commentaire !

InvitĂ© de Mohamed Bouhafsi sur le plateau de France 5, le chanteur a poussĂ© un coup de gueule contre la couverture de l’hebdomadaire que ce dernier lui avait initialement promise.

Malaise en plateau. Alors que Paul Larrouturou lançait sa chronique avec la «photo de la semaine», le chroniqueur avait choisi la une de Paris-Match , qui mettait en scĂšne Louis Sarkozy et son Ă©pouse enceinte. Seulement au moment de demander l’avis de Florent Pagny, invitĂ© du jour Ă  l’occasion de la sortie de son album Grandeur nature, l’équipe de «C Ă  vous» sur France 5 s’est retrouvĂ©e bien en peine.

«Alors lĂ , je suis dĂ©solĂ©, je ne vais pas pouvoir vous suivre sur cette rubrique. Parce que, votre partenaire – justement, puisque je suis dans les photos de cette semaine – me l’a fait Ă  l’envers. Paris-Match m’a fait tout un plan oĂč, moi je n’avais rien demandé», a commencĂ© Ă  expliquer l’artiste avant de poursuivre : «Je suis donc en promo, puisque je suis sur ce plateau, et on m’appelle en disant : “on aimerait bien faire un bon reportage, alors on vous propose la couverture avec un reportage et les photos de votre fille”».

Si jusque-lĂ , tout allait pour le mieux, le coach emblĂ©matique de «The Voice» a rĂ©vĂ©lé : «Ma fille, elle est partie dĂ©jĂ  depuis quelques jours rejoindre son amoureux. Du coup, je la fais revenir, et puis on part Auvergne rejoindre le fiston qui fait un petit stage de forge. Tout est sympa. Tout marche bien. On prĂ©pare les portraits, ils veulent le reportage trĂšs rapidement. On fait le portrait pour la couverture. Et puis, une fois qu’ils ont le reportage, on doit se rappeler pour voir la mise en page et les lĂ©gendes. Et lĂ , je n’ai plus de son, plus d’images».

Le malaise créé par la rĂ©vĂ©lation s’intensifiait, alors que le chroniqueur, qui ne s’y attendait visiblement pas, tentait une pointe d’humour avec une certaine hĂ©sitation. «Ils ont prĂ©fĂ©rĂ© Louis Sarkozy», a fĂ©brilement coupĂ© Paul Larrouturou.

Une tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre qui n’a pas fait mouche, puisque Florent Pagny s’est exprimĂ© avec une pointe d’agacement : «Il y a un moment oĂč tu fais ton choix. Mais, si tu me dis quelque chose, tu le fais. Si tu manques de parole, ça me saoule. Et comme ça me saoule, je l’exprime».

L’ambiance Ă©tait Ă  la promotion et aux confidences, comme souvent sur le plateau convivial de « C Ă  vous ». Florent Pagny, l’un des artistes les plus aimĂ©s des Français, Ă©tait l’invitĂ© d’Anne-Elisabeth Lemoine, prĂȘt Ă  Ă©voquer sa carriĂšre, ses projets, et sans doute son combat courageux contre la maladie. Les tĂ©lĂ©spectateurs s’attendaient Ă  un Ă©change chaleureux, ponctuĂ© de la franchise habituelle du chanteur. Mais personne, ni sur le plateau ni devant les Ă©crans, n’aurait pu anticiper la dĂ©flagration qui allait suivre. En quelques secondes, l’atmosphĂšre s’est Ă©lectrisĂ©e, laissant place Ă  un malaise palpable, suite Ă  un rĂšglement de comptes en direct, aussi rare que spectaculaire. La cible de son courroux : le magazine emblĂ©matique, Paris Match.

La séquence qui a tout fait basculer

Le moment fatidique est survenu lors d’une chronique, a priori inoffensive, prĂ©sentant les couvertures des magazines de la semaine. Quand la une de Paris Match, consacrĂ©e Ă  Louis Sarkozy, est apparue Ă  l’Ă©cran, Florent Pagny a immĂ©diatement coupĂ© court Ă  la discussion. Son visage s’est fermĂ©, son ton a changĂ©. « Ah non, je ne vais pas pouvoir vous suivre sur cette rubrique », lance-t-il, Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale. Le silence s’installe. Anne-Elisabeth Lemoine, dĂ©contenancĂ©e, tente de comprendre. La rĂ©ponse de l’artiste fuse, sans dĂ©tour : « Votre partenaire, il me l’a fait Ă  l’envers ».

La bombe est lĂąchĂ©e. Florent Pagny, avec le franc-parler qu’on lui connaĂźt, se lance alors dans une explication dĂ©taillĂ©e de son grief. Il raconte comment Paris Match l’a contactĂ©, lui proposant un accord allĂ©chant : la couverture du magazine en Ă©change d’un grand reportage, illustrĂ© notamment par des photos prises par sa propre fille, AĂ«l. Une proposition qu’il accepte, y voyant une belle opportunitĂ©. Mais la suite ne s’est pas passĂ©e comme prĂ©vu. « Ils m’ont fait tout un plan oĂč moi, j’avais rien demandĂ© », explique-t-il, avant de conclure, amer : la couverture promise lui a finalement Ă©chappĂ© au profit d’un autre sujet.

Un malaise en direct, reflet d’une parole trahie

Sur le plateau de « C Ă  vous », l’embarras est visible. Les chroniqueurs, pris de court, Ă©changent des regards hĂ©sitants. Anne-Elisabeth Lemoine tente de naviguer dans cette sĂ©quence imprĂ©vue, oscillant entre la surprise et le dĂ©sir de laisser son invitĂ© s’exprimer. Ce n’Ă©tait plus une interview, mais une tribune. Un moment de tĂ©lĂ©vision vĂ©ritĂ© oĂč un artiste puissant utilisait une plateforme en direct pour dĂ©noncer ce qu’il considĂšre comme une trahison.

« Si tu manques de parole, ça me saoule », a ajoutĂ© Florent Pagny, rĂ©sumant le fond de sa pensĂ©e. Au-delĂ  du simple changement de couverture, c’est le principe mĂȘme de l’engagement et de la parole donnĂ©e qui Ă©tait au cƓur de sa colĂšre. Pour lui, l’accord Ă©tait scellĂ©, la confiance Ă©tablie. Le voir rompu de maniĂšre unilatĂ©rale a Ă©tĂ© vĂ©cu comme un manque de respect profond, non seulement envers lui, mais aussi envers le travail de sa fille. Ce “coup de gueule” n’Ă©tait pas un caprice de star, mais la rĂ©action d’un homme de parole, fidĂšle Ă  ses principes, qui ne tolĂšre pas d’ĂȘtre menĂ© en bateau.

Le droit de maĂźtriser son image et sa parole

Cet incident dĂ©passe la simple anecdote mĂ©diatique. Il soulĂšve une question cruciale sur la relation complexe entre les personnalitĂ©s publiques et la presse. Florent Pagny, depuis l’annonce de sa maladie, a fait le choix d’une communication maĂźtrisĂ©e et transparente, utilisant principalement ses propres rĂ©seaux sociaux pour donner de ses nouvelles. Il a ainsi gardĂ© le contrĂŽle de son rĂ©cit, partageant ses hauts et ses bas avec son public, sans intermĂ©diaire.

En acceptant la proposition de Paris Match, il faisait une entorse contrĂŽlĂ©e Ă  cette rĂšgle, dans le cadre d’un accord clair et dĂ©fini. La volte-face du magazine a donc Ă©tĂ© perçue non seulement comme une parole trahie, mais aussi comme une tentative de le dĂ©possĂ©der de sa propre histoire. En rĂ©glant ses comptes publiquement, Pagny a rĂ©affirmĂ© avec force son refus d’ĂȘtre un simple produit mĂ©diatique, mallĂ©able au grĂ© des impĂ©ratifs Ă©ditoriaux. Il a rappelĂ© qu’il est, et restera, le seul maĂźtre de son image.

Florent Pagny, l’insoumis fidĂšle Ă  lui-mĂȘme

Cette sortie n’est finalement qu’une nouvelle illustration du caractĂšre bien trempĂ© de l’artiste. Connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, que ce soit au sujet de ses dĂ©mĂȘlĂ©s avec le fisc ou de ses opinions sur l’industrie musicale, Florent Pagny a toujours revendiquĂ© sa « libertĂ© de penser ». Son intervention sur le plateau de « C Ă  vous » est cohĂ©rente avec le personnage qu’il a construit depuis plus de trente ans : un homme entier, qui dit ce qu’il pense, peu importe les consĂ©quences.

Ce soir-lĂ , il n’a pas seulement créé un moment de tĂ©lĂ©vision mĂ©morable. Il a offert une leçon de communication et d’intĂ©gritĂ©. En exposant publiquement son diffĂ©rend, il a transformĂ© un malaise en un acte de rĂ©sistance, rappelant Ă  tous que derriĂšre la cĂ©lĂ©britĂ© se trouve un homme avec ses valeurs et sa dignitĂ©. Un homme pour qui une promesse, mĂȘme dans le monde impitoyable des mĂ©dias, a encore un sens. Et ce message, livrĂ© avec une intensitĂ© qui a glacĂ© le plateau, a rĂ©sonnĂ© bien au-delĂ  des studios de France 5.