🔥 Scène improbable aux 12 Coups de Midi : alors que Jean-Luc Reichmann lançait une question légère, un candidat balance tout à coup qu’il est sapiosexuel, bouleversant l’ambiance bon enfant ; rires gênés, réactions interloquées, et même un silence pesant avant que l’animateur ne tente de reprendre le contrôle ; une séquence qui divise entre ceux qui applaudissent la sincérité et ceux qui dénoncent une provocation, mais qui dans tous les cas marque les esprits et promet de continuer à faire parler — cliquez sur le lien pour en savoir plus.

Depuis plus de quatorze ans, Les 12 Coups de Midi est un rendez-vous incontournable des Français. Jean-Luc Reichmann, avec son humour bon enfant et sa proximité sincère avec les candidats, a su transformer chaque épisode en un mélange de culture générale, de divertissement et de petites confessions souvent inattendues. Mais cette fois, la confidence d’un candidat a surpris au-delà de toutes les attentes.

C’était une émission a priori comme les autres. Le plateau était baigné de lumières, le public riait aux blagues complices de l’animateur, et le Maestro du jour semblait serein. Pourtant, en une phrase, l’ambiance allait basculer. Interrogé par Jean-Luc Reichmann sur ses goûts et ses préférences amoureuses, le candidat a répondu sans détour : « Moi, je suis sapiosexuel. »

Un silence s’est installé. Quelques rires nerveux ont fusé dans le public, mais c’est surtout la curiosité qui a pris le dessus. Le terme, encore peu connu du grand public, désigne une attirance sexuelle et romantique fondée principalement sur l’intelligence d’une personne, plutôt que sur son apparence physique.

Jean-Luc Reichmann, visiblement décontenancé mais fidèle à son rôle, a d’abord choisi l’humour : « Donc, si quelqu’un a 18 diplômes mais qu’il ressemble à un panda, ça marche ? » Le plateau a éclaté de rire, détendant momentanément l’atmosphère. Mais le candidat, loin de se laisser déstabiliser, a maintenu son propos. « Ce n’est pas une question de diplômes, a-t-il expliqué, mais de conversation, de culture, de profondeur. C’est ça qui m’attire. »

La séquence, enregistrée pour un best-of diffusé récemment, a immédiatement été extraite et partagée sur les réseaux sociaux. En quelques heures, le hashtag #Sapiosexuel est monté en tendance sur X (ex-Twitter). Les internautes se sont déchaînés, entre fascination, moqueries et débats philosophiques improvisés. Certains saluaient la sincérité du candidat, le décrivant comme « courageux » d’assumer une telle préférence à une heure de grande écoute. D’autres, au contraire, dénonçaient une « mode pseudo-intellectuelle » ou un « snobisme déguisé en orientation ».

Sur le plateau, le malaise initial s’est rapidement transformé en discussion animée. Jean-Luc Reichmann, conscient de l’écho possible d’une telle déclaration, a tenté de canaliser la conversation. « Ce que vous dites, c’est que le cerveau compte plus que le corps ? » a-t-il demandé. Le candidat a acquiescé, ajoutant : « La beauté physique s’efface, mais l’intelligence reste. »

Une partie du public a applaudi, tandis que d’autres semblaient perplexes. Pour certains spectateurs présents dans la salle, ce moment a été une véritable leçon de tolérance. Pour d’autres, c’était une séquence trop sérieuse pour une émission de divertissement censée rester légère.

Mais c’est précisément ce mélange qui fait le succès des 12 Coups de Midi. Derrière les questions de culture générale et les rires complices, l’émission devient régulièrement le théâtre de confidences touchantes ou insolites. On se souvient encore de ce candidat qui avait raconté avoir traversé une grave maladie, ou de cette autre participante qui avait fait sa demande en mariage en direct.

Cette nouvelle séquence vient s’ajouter à la liste des moments cultes qui nourrissent la légende de l’émission. Elle pose aussi une question plus large : quelle place donner à des révélations intimes dans un programme familial ? Les producteurs assument totalement. « Nous voulons montrer des candidats authentiques, pas des caricatures. Si quelqu’un veut parler de ce qui le définit, nous ne l’empêcherons pas », a déclaré un membre de l’équipe de production.

Sur les réseaux sociaux, la discussion a pris une ampleur inattendue. De nombreux internautes se sont mis à partager leur propre expérience, certains se revendiquant eux aussi « sapiosexuels », d’autres dénonçant une étiquette inutile. Un débat s’est même ouvert sur la frontière entre attirance sincère et effet de mode.

L’un des tweets les plus partagés résumait parfaitement la controverse : « Être sapiosexuel, c’est juste dire qu’on préfère discuter plutôt que draguer en boîte. Pas de quoi en faire une révolution ! » À l’inverse, un autre message affirmait : « Merci à ce candidat d’avoir mis un mot sur ce que je ressens depuis toujours. »

Dans les jours qui ont suivi la diffusion, plusieurs émissions de radio et de télévision se sont emparées du sujet. Des psychologues ont été invités à expliquer que la sapiosexualité, même si elle n’est pas officiellement reconnue comme une orientation par les classifications médicales, correspond bel et bien à un ressenti vécu par de nombreuses personnes. « Ce n’est pas qu’une question de mode, expliquait une sexologue sur France Inter. C’est une façon de valoriser l’intellect dans les relations amoureuses. »

Pour Jean-Luc Reichmann, cette séquence est à la fois un défi et une victoire. Un défi, car il lui a fallu jongler entre humour et sérieux pour éviter que le malaise ne s’installe trop longtemps. Une victoire, car l’émission a prouvé une nouvelle fois sa capacité à surprendre et à lancer des discussions bien au-delà de son cadre habituel.

Le candidat en question, lui, a vu sa notoriété exploser du jour au lendemain. Invité sur plusieurs plateaux, il a défendu son point de vue avec constance, rappelant que son intention n’était pas de choquer, mais simplement de se définir. « On me reproche d’avoir sorti un grand mot, a-t-il confié à un journaliste. Mais c’est ce que je suis. Et si ça fait parler, tant mieux. »

Aujourd’hui encore, la vidéo continue de circuler et d’alimenter les débats. Qu’on trouve la confession amusante, provocatrice ou inspirante, elle restera comme l’un de ces instants suspendus qui rappellent que la télévision, même la plus populaire, est aussi un miroir des évolutions de la société.

Car au fond, derrière ce mot savant, c’est une question universelle qui a été posée : qu’est-ce qui nous attire vraiment chez l’autre ? Le regard, le sourire, la silhouette… ou bien la conversation, l’esprit et la pensée ?

Et c’est peut-être cela, la véritable force des 12 Coups de Midi. Offrir aux spectateurs non seulement un moment de détente, mais aussi, parfois, une petite occasion de réfléchir autrement.