🟥  Scandale en coulisses – Le retour d’“Intervilles” piloté par Nagui serait-il entaché d’un deal secret avec Cyril Hanouna ? Pourquoi une émission qui semblait bon enfant déclenche aujourd’hui une guerre médiatique ? Contrats, rivalités, manipulations : que cachent vraiment ces sourires forcés ? Les coulisses révèlent enfin leur vrai visage. More revelations below…

Ce lundi 4 août 2025, Cyril Hanouna a dévoilé le nom de la première cible de son émission Tout beau, tout n9uf sur W9.

Ă€ quelques semaines de la rentrĂ©e, Cyril Hanouna a pris la dĂ©cision d’offrir des cadeaux Ă  ses fans. Sur X (anciennement Twitter), l’animateur vedette a en effet partagĂ© son enthousiasme concernant le lancement de sa nouvelle Ă©mission baptisĂ©e Tout beau tout n9uf !

Les chĂ©ris, demain on sera Ă  30 jours pile de la 1ère de TBT9 sur W9 Ă  18h45 ! Je ne vous cache pas que je suis trop heureux de vous retrouver et trop impatient !“, a-t-il Ă©crit sur le rĂ©seau social.

Et d’ajouter : “Ă€ partir de demain je vous donnerai tous les jours Ă  18h45 une info sur l’Ă©mission. Je vous aime fort et merci.

Nagui dans le viseur de Cyril Hanouna

Après avoir rĂ©vĂ©lĂ© que Tout beau tout n9uf “aura comme avant pour dĂ©marrer 9 chroniqueurs à la table. Parmi ces 9 il y aura 5 ‘anciens’ et 4 nouveaux“, Cyril Hanouna a teasé le thème du premier numĂ©ro de son Ă©mission.

J-29 avant #TBT9 sur @W9 Ă  18h45. On continue notre 30 jours 30 infos ! Dès la 1ère le 1er septembre, il y aura le retour du J’ai zappĂ© j’ai matĂ© ! et il portera sur Intervilles ! Autant vous dire que ça va secouer ! Et on a des infos exclus ! Trop hâte de vous retrouver ! Chaque jour me rapproche de vous ! Je vous aime“, a-t-il dĂ©clarĂ©.

Nagui a donc Ă©tĂ© dĂ©signĂ© pour ĂŞtre la première cible du trublion. Une information qui risque de ne pas lui plaire…

À première vue, le retour de l’émission culte “Intervilles” sur les écrans français avait tout d’un rêve télévisé : nostalgie, humour, jeux populaires, et un casting de choc avec à sa tête Nagui, figure adorée du petit écran. Mais très vite, ce qui devait être une fête familiale s’est transformé en terrain de bataille. Et ce, à cause d’un nom qui divise à lui seul toute la profession : Cyril Hanouna.

Tout commence par une phrase anodine dans l’émission “Touche pas à mon poste” : Hanouna promet des révélations explosives sur “Intervilles” et sur la manière dont Nagui aurait “arrangé les choses” pour imposer son retour en force sur France Télévisions. Le ton est donné. Ce qui suit est un enchaînement de déclarations, de sous-entendus, de tweets mystérieux et de vidéos supprimées quelques heures après leur publication.

Certains parlent d’un deal de production opaque entre les deux animateurs, autrefois rivaux mais désormais liés par des intérêts financiers flous. Nagui aurait obtenu le feu vert pour relancer “Intervilles” après avoir accepté une collaboration future avec une production affiliée à Hanouna. D’autres sources affirment qu’il s’agirait d’un simple échange de bons procédés, sans intention malveillante. Mais alors, pourquoi cette tension soudaine ? Pourquoi les coulisses s’agitent-elles autant ?

Des techniciens anonymes ayant travaillé sur les premiers épisodes pilotes décrivent une ambiance tendue, des équipes divisées, et des changements de dernière minute dictés “d’en haut”, sans justification créative. Plusieurs d’entre eux évoquent des scènes coupées au montage, des séquences où des candidats critiquaient ouvertement la production, et qui n’ont jamais vu le jour. Pourquoi ces censures ? Que cherche-t-on à dissimuler ?

Un document interne aurait fuité, révélant une clause confidentielle interdisant aux membres de l’équipe de parler à la presse. Un détail anodin pour certains, mais qui prend une toute autre tournure lorsque l’on découvre que cette clause aurait été imposée après la signature initiale des contrats. “Ils veulent contrôler l’image coûte que coûte”, confie un cadre technique sous couvert d’anonymat.

Mais ce n’est pas tout. Certains chroniqueurs proches de Hanouna affirment que des animateurs concurrents, pressentis au départ pour prendre les rênes d’“Intervilles”, auraient été écartés sans explication. Parmi eux, un ancien visage emblématique de TF1, qui aurait reçu un simple SMS d’annulation : “Le projet ne vous inclut plus, désolé.” Qui a pris cette décision ? Et pourquoi ?

Dans les coulisses, on parle d’un “clan Hanouna” qui tenterait d’élargir son emprise au sein du service public. Nagui, pourtant perçu comme indépendant, aurait-il cédé face à la pression ? Ou joue-t-il un double jeu, entre fidélité à sa maison de production et intérêt personnel ?

France Télévisions, de son côté, reste silencieuse. Aucune déclaration officielle, malgré la montée en tension. Les journalistes spécialisés, eux, s’en donnent à cœur joie. Chaque jour, une nouvelle rumeur surgit, une image fuitée, un ancien collègue qui parle enfin. C’est un jeu d’échec médiatique, où chaque pion avance masqué.

Mais au fond, pourquoi tant de bruit autour d’un simple jeu télévisé ? La réponse est peut-être plus simple qu’il n’y paraît : l’audience. “Intervilles” est un produit à fort potentiel, et son succès ou son échec pourrait redéfinir les équilibres du paysage audiovisuel français. Qui en sortira vainqueur ? Nagui, l’homme de l’intérieur ? Hanouna, le perturbateur ? Ou bien aucun des deux ?

L’affaire ne fait que commencer, et déjà, le public doute. “Intervilles” n’est plus un jeu : c’est devenu un symbole de pouvoir, d’ego, et de stratégie. Et dans ce théâtre d’ombres, chaque sourire à l’écran cache peut-être un couteau dans le dos.

Affaire à suivre… de très près.