🚨 Il y a 2 heures : France Télévisions secouée par une vague de deepfakes fous – une vidéo d’Élise Lucet vantant les cryptos et une autre montrant Nagui menotté circulent sur le web 😱 Les images semblent réelles, la panique est totale ! Qui manipule les visages les plus connus du PAF ? 💣 Coïncidence ou cyberattaque ciblée ? Les journalistes dénoncent une “invasion numérique”… et la direction reste muette 🤔 🔥 Tous les détails dans les c🗯mmentaires 👇👇

Il est 7h42 ce matin quand la première vidéo commence à circuler sur les réseaux sociaux : Élise Lucet, la journaliste emblématique de Cash Investigation, y apparaît face caméra, vantant les mérites d’une nouvelle plateforme de cryptomonnaies. “J’ai enfin trouvé le moyen de garantir mon avenir financier,” dit-elle, souriante, d’un ton parfaitement crédible. La qualité est impeccable. La lumière, la voix, les gestes — tout semble authentique. En quelques heures, la séquence devient virale, atteignant plus de deux millions de vues avant même que France Télévisions ne puisse réagir.

Mais le plus inquiétant arrive quelques heures plus tard : une seconde vidéo surgit, encore plus choquante. On y voit Nagui, l’animateur star de N’oubliez pas les paroles et Tout le monde veut prendre sa place, menotté, escorté par deux policiers. Une voix off affirme qu’il aurait été “placé en garde à vue pour fraude fiscale”. L’image tremble légèrement, comme filmée à la volée — un détail qui rend le tout encore plus crédible.

Les internautes s’affolent. Les hashtags #LucetCrypto et #NaguiPrison explosent sur X et TikTok. Certains crient au scandale, d’autres se moquent, d’autres encore s’interrogent : est-ce vrai ? France Télévisions publie dans la précipitation un communiqué laconique : “Ces images sont fausses. Nos équipes en analysent l’origine.” Trop tard. Le mal est fait.

Les deepfakes ont franchi une nouvelle étape. Ce ne sont plus de simples blagues ou des montages amateurs. Ce sont des armes. Des fabrications d’une précision glaçante, capables de tromper le spectateur le plus averti. Selon une première analyse menée par le service cybersécurité du groupe, les vidéos proviendraient d’un serveur situé à l’étranger, probablement en Europe de l’Est. “Les visages ont été recréés à partir de centaines d’images publiques”, explique un expert sous couvert d’anonymat. “Le rendu est d’une fidélité inédite. On ne peut pas les distinguer à l’œil nu.”

Dans les couloirs de France Télévisions, la tension est palpable. Certains journalistes parlent d’un “climat de paranoïa”. Élise Lucet, atteinte en plein cœur, refuse toute apparition publique depuis la diffusion du deepfake. Une collègue confie : “Elle est bouleversée. Cette vidéo touche à ce qu’elle déteste le plus : la manipulation de l’information.”

Nagui, de son côté, aurait passé la journée au téléphone avec ses avocats. “Il rit jaune”, raconte un proche. “Ce qui l’inquiète, ce n’est pas tant la vidéo elle-même, mais la réaction des gens. Il sait que, dans l’ère du numérique, même un mensonge bien monté peut détruire une réputation en quelques heures.”

Les chaînes concurrentes observent la tempête à distance. TF1 et M6 ont brièvement évoqué “une alerte à la désinformation”. Mais en interne, la peur s’étend : si des stars comme Nagui et Lucet peuvent être ainsi détournées, qui sera la prochaine victime ?

Un ingénieur en IA interrogé par Le Parisien décrit un scénario inquiétant : “Les outils de génération d’images sont désormais accessibles à tous. En quelques minutes, on peut créer une vidéo photoréaliste. Ce qui coûte cher, c’est la diffusion, pas la création.”

Sur Telegram et des forums obscurs, certains utilisateurs revendiquent la paternité des vidéos, évoquant une “expérience artistique sur la crédulité du public”. D’autres parlent plus sérieusement d’une opération coordonnée pour discréditer France Télévisions, en pleine période de négociation politique autour du financement du service public.

Les autorités judiciaires ont ouvert une enquête. Le parquet de Paris confirme l’implication de la Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité (BL2C). Les premiers indices pointent vers un réseau de comptes automatisés, chargés de propager les vidéos sur différentes plateformes à intervalles réguliers.

Mais derrière les chiffres et les données, c’est un malaise plus profond qui s’installe. Peut-on encore croire ce que l’on voit ?

Un réalisateur de Complément d’Enquête témoigne : “C’est effrayant. Ces images ne sont pas juste fausses, elles sont crédibles. Si demain quelqu’un fabrique une vidéo de moi avouant un crime, comment puis-je prouver que ce n’est pas moi ?”

La direction de France Télévisions a convoqué une réunion de crise. Dans un communiqué interne consulté par plusieurs médias, elle appelle à “une vigilance absolue” et à “la mise en place d’un protocole de vérification d’identité visuelle pour chaque contenu diffusé en ligne”.

Pendant ce temps, sur les réseaux, les vidéos continuent de circuler. Malgré les signalements, elles réapparaissent sans cesse, repostées, recadrées, re-sous-titrées. Un phénomène hydre : chaque fois qu’on en supprime une, dix autres ressurgissent.

Certains internautes défendent la théorie du complot : “Et si ce n’était pas un deepfake ? Et si France Télévisions cachait quelque chose ?” écrit un utilisateur sur Reddit. Le doute, ce poison numérique, s’insinue partout.

Vers 23h, Élise Lucet finit par briser le silence sur son compte officiel : “Ce n’est pas moi dans cette vidéo. Mais je sais que ce genre de manipulation va se multiplier. La seule arme contre le mensonge, c’est la vigilance.” Son message, sobre et digne, est partagé plus de 50 000 fois.

Nagui, lui, choisit l’humour noir : “Merci à ceux qui m’écrivent en prison. Le café y est dégueulasse.” Une pirouette salvatrice qui arrache un sourire aux internautes — mais ne masque pas l’inquiétude grandissante d’un monde où plus rien ne semble vrai.

Dans l’ombre, les enquêteurs cherchent toujours à remonter la piste. Les experts parlent d’une “attaque test”, un avertissement avant quelque chose de plus grand. Et à France Télévisions, chacun se le demande en silence : si les images peuvent mentir aussi bien, combien de vérités ont déjà disparu sans qu’on le sache ?