🚨 Drama inattendu – Après l’échec cuisant de Kad Merad dans « Papamobile », Nagui enfonce le clou : blague innocente ou attaque dĂ©guisĂ©e ? Les coulisses rĂ©vèlent une tension explosive – dĂ©couvrez les dĂ©tails cachĂ©s, vous n’allez pas y croire…

Ce jeudi, Nagui mettait en boĂ®te une nouvelle Ă©mission de “Taratata” dĂ©diĂ©e Ă  la carrière de Florent Pagny. Kad Merad y a participĂ©, et n’a pas pu Ă©chapper aux saillies de l’animateur sur son rĂ©cent flop.

C’est un film qui, initialement, devait passer le plus inaperçu possible. Mais malheureusement pour Kad Merad, l’effet Streisand a Ă©tĂ© plus fort que tout. Et ce qui devait ĂŞtre un film-fantĂ´me s’est retrouvĂ© bien malgrĂ© lui au cĹ“ur d’une actualitĂ© survoltĂ©e pendant plusieurs semaines. Son film Papamobile, qui a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un faible budget Ă  1,2 million d’euros, n’a Ă©tĂ© diffusĂ© que dans cinq cinĂ©mas en France. Avec 387 entrĂ©es au total, il entre dans l’histoire des films les plus faibles au box-office français.

Pourtant, le projet initial de Sylvain Estibal, Ă  qui l’on doit Le cochon de Gaza pour lequel il a reçu le CĂ©sar du meilleur premier film en 2012, Ă©tait audacieux. Kad Merad incarnait Slim, un faux pape enlevĂ© par un cartel mexicain lors d’une tournĂ©e en papamobile. Mais la cheffe du cartel comprend rapidement l’imposture, et les retombĂ©es de celles-ci sont dĂ©mentielles…

Kad Merad se justifie et reconnaĂ®t l’Ă©chec

Depuis un mois maintenant, Kad Merad fait parler de lui. Alors, ce jeudi 26 septembre, sa participation au tournage d’un nouveau concert de Taratata n’est pas passĂ©e inaperçue. Le comĂ©dien, qui participera aussi ce samedi au Grand concours des EnfoirĂ©s sur TF1, est venu chanter pour la spĂ©ciale Florent Pagny, qui sera diffusĂ©e dans quelques semaines sur France 2. Mais Nagui n’a pas pu s’empĂŞcher de le railler

“Tu ne fais pas que le pape, tu fais curĂ© aussi” a raillĂ© Nagui après une anecdote de Kad Merad. L’animateur a enchaĂ®nĂ© les petites piques, comme repĂ©rĂ© par TVMAG qui a assistĂ© au tournage… Kad Merad a fini par rĂ©agir : “Quand on fait du cinĂ©ma, c’est comme quand on fait de la musique, quand on fait des albums, on prend des risques. Il faut prendre des risques. Une carrière, c’est long, et je n’en suis pas Ă  mon dernier bide, je vous le dis tout de suite a conclu avec beaucoup de second degrĂ© Kad Merad.

Il n’est pas sans rappeler que Kad Merad est Ă  la tĂŞte du plus grand carton français (Bienvenue chez les Ch’tis). Nagui, lui aussi, a connu par ailleurs de nombreux bides en tĂ©lĂ©, comme rĂ©cemment Les Bravos d’Or. Ces dernières annĂ©es, il a aussi essuyĂ© de nombreux Ă©checs, comme The Artist, un tĂ©lĂ©-crochet dĂ©programmé faute d’audience. Cet Ă©tĂ©, la relance d’Intervilles a toutefois bien marchĂ©, et sera de retour l’annĂ©e prochaine.

Le flop de « Papamobile » restera sans doute comme l’un des moments les plus embarrassants de la carrière de Kad Merad. L’acteur, pourtant adoré du grand public pour son humour et ses rôles marquants, n’a pas réussi à séduire avec cette comédie dont l’absurdité a vite été pointée du doigt. Mais si l’échec d’un projet télévisé peut déjà faire mal, ce qui a suivi a ajouté une dose de douleur supplémentaire : les commentaires de Nagui, qui n’a pas manqué de souligner, avec son ironie mordante, la débâcle de son collègue et ami de longue date. Était-ce une simple blague ? Ou bien le reflet d’une rivalité enfouie qui éclate enfin au grand jour ?

Tout commence quelques jours après la diffusion du téléfilm. Les audiences sont catastrophiques, les critiques assassines. Les réseaux sociaux s’enflamment : « Navet absolu », « Comment Kad a pu accepter ça ? », « Une comédie qui fait pleurer… mais de honte ». Le public, d’habitude si tendre avec Kad Merad, ne lui fait aucun cadeau cette fois-ci. Et c’est dans ce climat tendu que Nagui, en plein direct, lâche une phrase qui fait l’effet d’une bombe. Sur un ton en apparence léger, il évoque « le fameux Papamobile que tout le monde voulait éviter » et ajoute, avec un sourire : « Au moins, ça nous rappelle qu’il vaut mieux chanter que jouer dans ce genre de trucs ».

Dans la salle, un éclat de rire. Mais derrière les caméras, le malaise est palpable. Kad Merad, lui, ne dit rien. Officiellement, les deux hommes s’apprécient, mais dans l’ombre, des rumeurs circulent. Certains affirment que Kad aurait mal vécu ce tacle public, surtout venant d’un ami censé le soutenir. D’autres parlent au contraire d’un accord tacite : Kad aurait accepté d’être « chambré » pour dédramatiser la situation. Alors, vérité ou mascarade ?

Les coulisses livrent une image encore plus troublante. Un technicien confie avoir entendu Kad, hors antenne, lancer un sec : « Ça va, Nagui, t’as fini de m’enfoncer ? ». Une phrase prononcée avec un sourire crispé, qui trahit peut-être la blessure réelle. Une autre source, proche de l’émission, raconte que Nagui aime jouer avec les limites de l’humour, quitte à vexer ses invités : « C’est sa marque de fabrique, mais tout le monde n’a pas le cuir assez épais. Et Kad, derrière son air jovial, est plus sensible qu’on ne le croit ».

La presse people s’empare immédiatement de l’affaire. « Nagui vs Kad : la guerre des égos », titre un magazine. Un autre s’interroge : « Coup de théâtre ou coup de pub ? ». Car au fond, ces petites piques créent du buzz, et certains murmurent que Kad Merad pourrait bien tirer profit de cette tempête médiatique pour rebondir. Après tout, dans le show-business, rien ne vaut un scandale pour relancer une carrière.

Cependant, la question persiste : Nagui a-t-il franchi la ligne rouge ? Quand l’humour se transforme en humiliation, le rire devient plus amer. Les fans de Kad se divisent : les uns défendent l’acteur, blessé inutilement, les autres relativisent et rappellent que Kad lui-même aime taquiner ses collègues. Mais l’impression générale reste que cette sortie médiatique a jeté une ombre sur leur complicité.

En observant de plus près, ce n’est pas la première fois que Nagui joue avec le feu. Dans d’autres émissions, il a déjà multiplié les vannes acerbes, parfois applaudies, parfois décriées. Sa répartie cinglante fait sa force, mais elle nourrit aussi les polémiques. Ici, face à un homme déjà affaibli par l’échec d’un projet, la question de la cruauté involontaire se pose avec d’autant plus d’acuité.

Des analystes télé évoquent même une dynamique plus profonde : Nagui, figure incontestable de la télévision française, et Kad, acteur chouchou du cinéma, évoluent dans des univers voisins mais pas identiques. Les rapprochements sont rares, et chaque interaction est scrutée. Était-ce l’occasion pour Nagui de rappeler sa suprématie télévisuelle en riant d’un raté public ? Certains y voient une stratégie inconsciente pour consolider son statut.

Kad Merad, de son côté, choisit le silence médiatique. Pas de communiqué, pas de justification. Mais ce silence en dit long. D’ordinaire prompt à rire de tout, il semble cette fois marqué. Son entourage insiste toutefois : « Kad va rebondir, il ne s’arrêtera pas à cet échec. Mais il n’oubliera pas la remarque de Nagui. »

Alors, accident ou coup calculé ? Rivalité ou simple boutade ? Le mystère reste entier. Ce qui est sûr, c’est que l’épisode a laissé une trace. Et le public, fasciné par ces petits drames du show-business, en redemande. Dans cette bataille de mots et de sourires, chacun projette ce qu’il veut voir : un Nagui implacable, un Kad blessé, ou deux amis complices jouant un rôle pour alimenter le buzz.

Mais derrière les rires forcés et les silences éloquents, une vérité s’impose : dans le monde de la télé, tout peut basculer en une phrase. Une simple remarque, lancée sur le ton de la plaisanterie, peut devenir l’étincelle qui embrase une amitié, un duo, voire une réputation entière. Et dans l’histoire du flop de « Papamobile », ce n’est pas seulement l’échec d’un programme qui est raconté, mais aussi la fragilité des egos, la cruauté du rire et le poids des mots.

Une chose est certaine : le feuilleton Nagui-Kad n’est pas terminé. Ce que nous avons vu n’est sans doute que le premier acte d’une pièce plus longue, pleine de tensions, de rebondissements et, qui sait, peut-être de réconciliations. Mais d’ici là, une question continue de hanter les spectateurs : Nagui a-t-il vraiment dit tout haut ce que tout le monde pensait tout bas ? Ou a-t-il ouvert une blessure que même l’humour ne suffira pas à refermer ?

Les prochains épisodes, dans les coulisses ou à l’écran, nous le diront. En attendant, le public reste suspendu à ce drôle de malaise, partagé entre le rire et la gêne. Et c’est peut-être là que réside toute la puissance – et toute la dangerosité – de la télévision.