😱 Elle est l’une des plus belles femmes de France, mais a passé son enfance à se détester. « J’étais rousse, grosse, myope » : Audrey Fleurot se livre comme jamais sur ses complexes et le harcèlement silencieux qui ont fait d’elle la “moche rigolote” de la cour de récré. Un témoignage poignant qui prouve que les plus grandes stars naissent souvent des plus grandes failles.! L’histoire complète de sa revanche sur la vie est en commentaire. 👇
L’actrice, devenue récurrente dans le paysage audiovisuel français avec la série HPI, n’avait pas un avenir tout tracé. Pour réaliser son rêve, elle a dû s’armer de détermination comme elle le confie à Isabelle Ithurburu dans le portrait de la semaine de «50’Inside».
Une liberté retrouvée. La cinquième et ultime saison de «HPI» est sur le point de toucher à sa fin. Morgane Alvarro, campée par Audrey Fleurot, fera ainsi ses adieux aux téléspectateurs. Et si cette fin actée peine l’actrice principale – qui est également à l’affiche du film Regarde – elle reste lucide sur ce que ce personnage totalement décalé et libre lui a apporté durant ces cinq dernières années.«Elle s’assume, elle a ce truc complètement fou de ne pas se poser la question de “est-ce qu’elle a l’âge de s’habiller comme ça, est-ce que et le décolleté et la minijupe ce n’est pas un peu beaucoup”. Et je trouve ça super», explique Audrey Fleurot dans le portrait de la semaine de «50’Inside» réalisé par Isabelle Ithuburu. Comme la journaliste le souligne, cette personnalité semblait radicalement opposée à la comédienne. En cause, son rapport à son physique et cela, dès l’enfance. «J’étais rousse, grosse, j’avais des bagues. Je suis très myope, j’ai réussi à me faire opérer il y a deux ans mais j’avais – 12. Je peux vous dire que vous avez des sacrés verres», liste l’actrice avant d’ajouter : «Et donc il n’y avait rien qui facilitait les choses.»
Sa carrière ne lui semblait pas toute tracée à l’époque. «Vous rêvez de devenir actrice et vous n’avez pas du tout le physique pour ni les connexions, c’est mal barré quoi», souligne-t-elle. Et pourtant, l’étudiante en arts plastique ne se décourage pas et intègre l’ENSAT de Lyon où elle se forme entre 1997 et 2000. Ses performances dans Kamelott, Engrenages, Intouchables ou encore Le Bazar de la Charité la mènent tout droit vers le succès, sans égal, de la série HPI.
Mais ce chemin parcouru n’a pas été sans dégât pour son estime d’elle-même. «Avec le recul, je me dis que j’aurai dû être plus gentille avec moi beaucoup plus tôt. Mais en même temps, j’ai toujours l’impression que tout peut disparaître. J’ai vraiment l’impression que je peux me réveiller un matin et avoir de nouveaux mes lunettes», admet-elle face à Isabelle Ithurburu, étonnée par ces confidences. «Ça reste ça ?», lui demande-t-elle. «Vous vous êtes construite comme ça. Et je trouve que globalement les femmes mettent beaucoup plus de temps à s’autoriser, à se faire confiance et c’est un peu dommage», déplore la femme de 48 ans.
Son nom est synonyme de glamour, de charisme et de talent brut. Avec sa chevelure de feu et son assurance explosive, Audrey Fleurot s’est imposée comme l’une des actrices les plus aimées et les plus désirables du paysage français. Qu’elle incarne une avocate impitoyable dans Engrenages, une femme fatale dans Le Bazar de la Charité ou une enquêtrice surdouée et excentrique dans HPI, elle dégage une confiance en elle qui semble inébranlable. Pourtant, derrière cette image de femme puissante se cachent les blessures d’une enfant qui a mis des années à s’aimer. Dans une série de confessions touchantes, la star a levé le voile sur le rapport difficile qu’elle entretenait avec son physique, un passé douloureux qui a paradoxalement forgé la femme qu’elle est devenue.
« J’étais rousse, j’étais grosse, j’étais myope avec des lunettes à triple foyer. » La phrase est lâchée, sans fard, avec une honnêteté désarmante. En quelques mots, Audrey Fleurot dynamite l’image que des millions de Français ont d’elle. Elle nous transporte dans la cour de récréation de son enfance, loin des tapis rouges et des plateaux de tournage. L’icône flamboyante que l’on connaît n’était alors qu’une jeune fille pétrie de complexes, dont chaque particularité physique était une source de gêne. La rousseur, aujourd’hui sa signature et un atout de séduction indéniable, était à l’époque une cible pour les moqueries. S’ajoutaient à cela des rondeurs et une myopie sévère qui la contraignaient à porter des lunettes peu flatteuses.
Face à ce qu’elle percevait comme un “physique pas évident”, la jeune Audrey a dû développer une stratégie de survie. Puisqu’elle ne pouvait pas correspondre aux standards de beauté, elle allait trouver sa place ailleurs. « Je me suis construite comme la moche rigolote », explique-t-elle. Une armure d’humour et d’autodérision pour désamorcer les critiques et se rendre aimable. En devenant le clown de service, elle s’assurait une place dans le groupe, une manière de dire : “Ne vous moquez pas de mon apparence, je le fais déjà moi-même, et je peux vous faire rire en plus.” Cette posture, si commune chez les enfants qui se sentent différents, a été son premier rôle, celui qui lui a peut-être appris, sans qu’elle le sache, les rudiments de la comédie.
Cette perception d’elle-même l’a poursuivie bien après l’enfance. Lorsqu’elle a décidé de devenir actrice, un rêve fou pour cette jeune fille qui n’avait “ni le physique pour, ni les connexions”, elle a longtemps gardé en elle ce sentiment d’imposture. « J’ai perdu du temps à ne pas m’aimer », confesse-t-elle avec une pointe de regret. Chaque succès, chaque rôle était vécu “comme un bonus”, un cadeau inespéré pour celle qui pensait partir avec un handicap.
Le plus grand paradoxe de sa carrière est sans doute la façon dont les réalisateurs ont utilisé son image, souvent à l’opposé de ce qu’elle ressentait. On lui a confié des rôles de séductrices, de femmes puissantes et désirables, une image de “femme fatale” qu’elle trouve amusante tant elle est “très loin” de ce qu’elle est au fond. Elle se décrit plus volontiers comme un “garçon manqué”, une fille “nature”, bien loin des stéréotypes glamour auxquels on l’associe.
Aujourd’hui, à 48 ans et au sommet de sa popularité, Audrey Fleurot a fait la paix avec son reflet, mais les cicatrices du passé ne sont jamais très loin. « J’ai vraiment l’impression que je peux me réveiller un matin et avoir de nouveau mes lunettes », s’amuse-t-elle. Son parcours est une leçon d’espoir et une revanche éclatante sur les diktats de la beauté. Il prouve que la singularité, longtemps vécue comme un défaut, peut devenir la plus grande des forces. Sa rousseur est devenue iconique, et son énergie, autrefois canalisée dans le rôle de “moche rigolote”, s’est muée en un charisme magnétique qui crève l’écran.
L’histoire d’Audrey Fleurot résonne de manière universelle. Elle parle à tous ceux, et surtout à toutes celles, qui ont un jour senti qu’ils n’étaient pas à la hauteur, pas assez beaux, pas assez minces, pas assez “normaux”. Son témoignage est un rappel puissant que la confiance en soi n’est pas innée, mais qu’elle se construit, parfois douloureusement, en transformant ses failles en atouts. La petite fille complexée a laissé place à une femme accomplie, mais elle ne l’a jamais tout à fait oubliée, puisant sans doute en elle la force et la profondeur qui rendent chacune de ses interprétations si extraordinairement humaines.
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