😹 Tragedy Ă  Marnes-la-Coquette : Hugues Aufray, 96 ans, contraint de vendre sa maison de toujours 🏠 – “Je n’ai plus rien”, confie-t-il d’une voix tremblante 😱 Ses guitares en vente, ses disques dans des cartons, l’homme qui a fait chanter la France vit dĂ©sormais dans la simplicitĂ© absolue. Que s’est-il passĂ© ? Mauvaise gestion, oubli des producteurs, ou simple cruautĂ© du destin ? 🎭 Les larmes coulent, la presse s’enflamme, ses amis se taisent
 Un monument s’effondre, lentement, sous le poids des annĂ©es 💔 👉 Lire plus dans le premier commentaire 👇👇

Le portail vert de la villa de Marnes-la-Coquette s’ouvre lentement. DerriĂšre, les arbres centenaires bruissent au vent, comme pour dire adieu Ă  celui qui y a tant chantĂ©, tant aimĂ©, tant vĂ©cu. Hugues Aufray, 96 ans, s’avance, appuyĂ© sur sa canne, le regard voilĂ© de tristesse. Le chanteur, symbole d’une Ă©poque rĂ©volue, vient de prendre la dĂ©cision la plus douloureuse de sa vie : vendre la maison de ses rĂȘves.

C’est ici qu’il a Ă©crit, il y a plus de cinquante ans, “Santiano” et “CĂ©line”. C’est ici qu’il recevait Brassens, Ferrat, et mĂȘme un jeune Johnny Hallyday venu chercher des conseils. Aujourd’hui, le silence rĂšgne lĂ  oĂč rĂ©sonnaient les guitares. Le grand troubadour de la chanson française s’efface, dans une discrĂ©tion bouleversante.

“Je n’ai plus rien”, murmure-t-il Ă  un journaliste venu l’interviewer. La phrase fait l’effet d’un Ă©lectrochoc. Comment un artiste aussi respectĂ©, qui a vendu des millions de disques, a-t-il pu se retrouver ruinĂ© ?

Les causes sont multiples, mais toutes empreintes d’amertume. D’abord, les droits d’auteur, Ă©rodĂ©s au fil du temps. “Les plateformes paient des miettes”, soupire un proche. “Les anciens chanteurs ne touchent presque rien sur le streaming.” Puis, il y a eu les impĂŽts, les charges, les annĂ©es de gestion parfois hasardeuse. “Hugues a toujours Ă©tĂ© plus poĂšte que comptable”, raconte un ami de longue date.

Mais la vraie douleur se cache ailleurs : la solitude. AprĂšs la disparition de plusieurs proches, l’artiste a continuĂ© Ă  vivre dans sa grande maison, trop grande, trop chĂšre Ă  entretenir. “Il refusait d’en partir”, explique sa niĂšce. “C’était son refuge, son lien avec le passĂ©.”

Aujourd’hui, les temps ont changĂ©. Le marchĂ© immobilier ne pardonne pas, et mĂȘme Ă  Marnes-la-Coquette, les souvenirs ne se vendent pas. Les visites commencent discrĂštement. Une agence spĂ©cialisĂ©e dans les propriĂ©tĂ©s historiques a dĂ©jĂ  pris des photos. “C’est un bien exceptionnel, mais chargĂ© d’émotion”, confie l’agent. “On sent que cette maison respire la musique.”

Hugues, lui, se tient Ă  l’écart de tout cela. Il regarde, en silence, ses meubles qu’on emballe, ses tableaux qu’on dĂ©croche. Dans un coin du salon, sa guitare repose, usĂ©e mais fidĂšle. “Je ne sais pas oĂč je vais aller”, dit-il simplement. “Peut-ĂȘtre Ă  la campagne. LĂ  oĂč il y a du calme. J’ai besoin d’air.”

Les fans, bouleversĂ©s, rĂ©agissent par centaines. Sur les rĂ©seaux sociaux, les messages affluent : “Un homme pareil ne devrait jamais connaĂźtre la misĂšre.” “C’est la France qu’on abandonne.” Certains proposent mĂȘme une cagnotte, d’autres un concert hommage. Mais Hugues refuse toute pitiĂ©. “Je ne veux pas qu’on m’aide. Je veux juste qu’on se souvienne.”

Cette dignitĂ©, c’est celle qui l’a toujours accompagnĂ©. MĂȘme dans les annĂ©es difficiles, il n’a jamais cessĂ© de chanter. “La scĂšne, c’est ma vie”, rĂ©pĂ©tait-il. Mais depuis la pandĂ©mie, les concerts se sont faits rares. Les producteurs, frileux, ont tournĂ© la page. Et le public, vieillissant, ne se dĂ©place plus autant qu’avant.

Pourtant, ceux qui l’ont vu rĂ©cemment parlent d’un homme encore lucide, vif, passionnĂ©. “Il a cette lumiĂšre dans les yeux, cette flamme intacte”, raconte un journaliste de France 2. “Mais derriĂšre cette flamme, on devine la fatigue d’un homme qui a tout donnĂ©.”

Certains amis, comme Enrico Macias ou Line Renaud, ont tentĂ© de le soutenir moralement. “On s’appelle souvent”, dit Macias. “Mais Hugues est fier. Il ne se plaint jamais. Il plaisante mĂȘme sur sa situation.”

Dans les mĂ©dias, la nouvelle fait l’effet d’une onde de choc. “RuinĂ© Ă  96 ans”, titrent les journaux. “Le dernier des gĂ©ants”, Ă©crivent d’autres. Mais lui, avec son Ă©ternel sourire, balaie les mots trop grands. “Je ne suis pas ruinĂ©, je suis libre”, lance-t-il avec malice. “Je me dĂ©barrasse du superflu.”

Cette phrase, Ă  elle seule, rĂ©sume tout. DerriĂšre la perte matĂ©rielle, il y a peut-ĂȘtre une renaissance spirituelle. “Je veux finir ma vie simplement, entourĂ© de nature et de silence. La gloire, c’est beau, mais ce n’est pas Ă©ternel.”

Le crĂ©puscule tombe sur Marnes-la-Coquette. Dans le jardin, les feuilles tourbillonnent autour d’un banc de pierre. Hugues s’assoit, regarde le ciel. “J’ai eu une belle vie”, dit-il doucement. “J’ai chantĂ© pour des millions de gens. Aujourd’hui, je chante juste pour moi.”

Et quand le vent se lĂšve, on croit entendre, entre les branches, les Ă©chos lointains de “Santiano” — comme un adieu Ă  la gloire, et un salut humble Ă  la vie.