🔥 Après dix-huit mois de rumeurs, de doutes et de questionnements sur son état de santé et son avenir musical, Kendji Girac, rescapé d’un accident par balle qui a choqué la France entière, brise le silence et se confie sans filtre, révélant les détails intimes de son quotidien, entre cicatrices encore sensibles, rééducation difficile, famille soudée et renaissance artistique inattendue, une confession marquée par cette phrase sidérante qui prend tout son sens après l’épreuve : « Je ne peux pas rêver mieux » — cliquez sur le lien pour découvrir cette vérité saisissante.

Après avoir frôlé la mort l’année dernière, Kendji Girac s’est confié sans détour sur son nouveau quotidien et sa vie de famille.

C’est en 2014 que les Français découvrent pour la première fois Kendji Girac. Après sa grande victoire à The Voice, le chanteur enchaîne les succès et séduit avec son style musical bien à lui. Si bien que la même année, il remporte deux prix lors des NRJ Music Awards, à savoir révélation francophone de l’année et meilleure chanson pour Color Gitano. Sa carrière est définitivement lancée. Malheureusement, un terrible accident vient brutalement mettre un coup de frein à ce rêve éveillé. Dans la nuit du 21 au 22 avril 2024, Kendji Girac s’est blessé par balle au niveau de la poitrine après un différend avec sa compagne Soraya Miranda.

Kendji Girac revient sur son accident et avoue avoir pris “de mauvaises habitudes”

Quelques mois après cet accident qui aurait pu lui être fatal, le chanteur est sorti du silence dans une vidéo partagée sur son compte Instagram. “Je regrette vraiment tout ce qu’il s’est passé”, avait-il ainsi expliqué avant d’avouer avec franchise : “J’avais pris de mauvaises habitudes. Je suis rentré dans une spirale que je ne souhaite à personne”.

Interrogé cette fois-ci par Télé-Loisirs un an après les faits, Kendji Girac avait révélé avoir changé de style de vie : “Je suis très heureux et j’ai retrouvé l’inspiration. Je me suis habitué à prendre soin de moi et à manger plus sainement. Quelque chose a changé en moi. Depuis ce qu’il s’est passé. J’ai l’impression de m’être réveillé. Je me sens apaisé et je déborde d’énergie”.

Le chanteur de retour à la télévision

S’il s’était fait discret après le drame, Kendji Girac est peu à peu revenu sur le devant de la scène. Ses fans ont notamment pu le voir dans Rendez-vous en terre inconnue en mai dernier. Mais pas que. Ce mardi 9 septembre 2025, France 2 diffusait un documentaire consacré à l’illettrisme intitulé J’ai pas les mots dans lequel le chanteur parraine sept participants. Son but ? Les accompagner dans leur parcours pour apprendre à lire et à écrire.

Une émission qui a visiblement beaucoup touché Kendji Girac. “Je suis passé par toutes les émotions”, raconte-t-il auprès de Télé-Loisirs. “Il y avait même des moments où je me retenais de pleurer face à leur sincérité. Certains sont carrément désarmés, ils sont un peu gênés de se dévoiler devant les autres, au travail ou dans leur famille, qui ne savaient pas forcément qu’ils étaient illettrés”, dévoile par ailleurs celui qui a arrêté l’école à 14 ans.

Kendji Girac heureux en privé : “Nous formons une famille pleine de bonheur”

Au cours de cet entretien, Kendji Girac est également revenu sur son rôle de père de famille. Malgré l’accident par balle, le chanteur a réussi à tourner la page. Lui et sa compagne Soraya ont même accueilli un petit garçon un peu plus tôt cette année. De quoi les souder davantage et leur permettre d’aborder l’avenir plus sereinement.

“Je suis un papa tout plein d’amour, tout émerveillé. Je suis très fier de voir ce petit garçon en bonne santé. Nous formons une famille pleine de bonheur”, révèle Kendji Girac à nos confrères avant de confier avec un large sourire : “Je ne peux pas rêver mieux !”. Preuve que ses vieux démons sont derrière lui.

Le 22 avril 2024 restera gravé dans la mémoire de Kendji Girac et de ses proches. Ce jour-là, l’idole des jeunes, révélé par The Voice et devenu en l’espace de quelques années l’un des chanteurs les plus populaires de France, était victime d’un accident par balle dans des circonstances encore entourées de zones d’ombre. Transporté d’urgence à l’hôpital, son pronostic vital avait un temps été engagé. Dix-huit mois plus tard, le chanteur de 83 000 exemplaires vendus pour son dernier album sort du silence. Et ses mots résonnent comme un mélange de douleur, de gratitude et de renaissance.

« J’ai vu la mort de près, et cela change tout », confie-t-il d’une voix émue. Les mois qui ont suivi le drame furent marqués par une lutte acharnée : rééducation physique pour retrouver sa mobilité, longues séances de soins, nuits d’angoisse et questionnements existentiels. « Les cicatrices sont encore là, visibles sur ma peau et invisibles dans ma tête », admet-il. Mais contre toute attente, Kendji affiche aujourd’hui un sourire lumineux : « Je ne peux pas rêver mieux », lâche-t-il, comme pour rappeler que la vie, malgré ses épreuves, mérite d’être célébrée.

Pendant de longs mois, les fans se sont interrogés : Kendji allait-il un jour retrouver la scène ? Sa voix si singulière, mélange de pop et de sonorités gitanes, allait-elle être marquée par ce traumatisme ? Les rumeurs les plus folles circulaient, certains annonçant une retraite anticipée, d’autres évoquant des complications médicales irréversibles. Mais Kendji, fidèle à sa nature discrète, a choisi de se reconstruire loin des projecteurs, dans le cocon protecteur de sa famille.

« Sans ma famille, je n’y serais pas arrivé », confie-t-il avec émotion. Ses parents, ses frères et sœurs, sa compagne et surtout sa petite fille Eva Alba, âgée de 4 ans, ont été les piliers de son rétablissement. « Chaque matin, quand je voyais les yeux de ma fille, je savais que je devais continuer. Elle m’a donné la force de me battre. » Ces mots, simples mais puissants, rappellent combien l’artiste est resté attaché à ses racines et à ses valeurs familiales.

La musique, quant à elle, n’a jamais quitté son quotidien. Même cloué au lit, affaibli par les soins et les médicaments, Kendji continuait à gratter sa guitare, à fredonner des mélodies. « La musique a été ma thérapie », avoue-t-il. Petit à petit, entre deux séances de rééducation, il a recommencé à écrire, à composer. De cette période sombre est née une série de chansons empreintes d’une maturité nouvelle, où l’espoir et la douleur se côtoient.

Parmi elles, un titre se détache déjà, promis à devenir un hymne : Renaître. Dans ce morceau inédit, Kendji raconte son combat, sa peur de ne jamais se relever, mais aussi la lumière qu’il a fini par retrouver. « J’ai cru que tout s’arrêtait, mais j’ai choisi de me relever », chante-t-il dans un extrait qui circule déjà sur les réseaux sociaux et suscite une vague d’émotion.

Si la douleur physique reste présente — « Il y a des jours où la cicatrice me rappelle tout », confie-t-il —, l’artiste a choisi de ne pas s’apitoyer. Au contraire, il transforme chaque souvenir douloureux en moteur pour avancer. « Quand on survit à ça, on voit la vie autrement. Les petites choses deviennent immenses. Un repas en famille, un coucher de soleil, un rire d’enfant… tout prend une valeur incroyable. »

Mais au-delà de l’homme, c’est aussi la carrière de l’artiste qui est en jeu. Son retour sur scène, annoncé pour le printemps prochain, est déjà l’un des événements les plus attendus de l’année musicale. Ses fans, restés fidèles malgré les mois d’absence, trépignent d’impatience. « Le jour où je remonterai sur scène, ce sera comme une deuxième naissance », promet Kendji.

Les coulisses de ce retour sont d’ores et déjà en préparation : une tournée intimiste, centrée sur des salles à taille humaine, où le public pourra ressentir toute l’intensité de son témoignage artistique. « Je ne veux plus de superficialité. Je veux chanter avec mon cœur, partager ce que j’ai vécu, offrir une musique qui vient de mes tripes », insiste-t-il.

Ce discours sincère contraste avec l’image parfois lisse qu’on lui reprochait auparavant. Kendji Girac, longtemps considéré comme le « gendre idéal » de la variété française, montre désormais ses failles, ses cicatrices, sa vérité brute. Et paradoxalement, c’est peut-être cette fragilité assumée qui le rend encore plus proche de son public.

En conclusion, Kendji ne renie rien. Ni la douleur, ni les erreurs, ni les longs mois de silence. Il assume tout, avec une sérénité nouvelle. « Je suis vivant, et c’est déjà un miracle. Alors oui, malgré tout, je peux dire que je ne peux pas rêver mieux. »

Une phrase qui résonne comme une leçon de vie universelle : même dans les ténèbres les plus profondes, il est possible de retrouver la lumière. Et Kendji Girac, du haut de ses 28 ans, incarne désormais cette résilience, cette capacité à transformer une épreuve en force.

Son histoire n’est plus seulement celle d’un chanteur à succès, mais celle d’un homme qui a frôlé la mort et qui a choisi, envers et contre tout, de continuer à chanter. Pour lui, pour sa famille, pour son public.