💥 SÉISME à l’Institut ! Clotilde jette l’éponge et démissionne, laissant tout le monde sous le choc. 😱 Face au chaos, même l’impitoyable Teyssier est acculé et présente des excuses… Mais ce n’est RIEN comparé à la bombe qui va exploser ! 💣 Une vérité éclate et rebat toutes les cartes. Vous n’êtes pas prêts ! 🤯 L’article complet en commentaire ! 👇

Découvrez le résumé détaillé d’Ici tout commence en avance du mardi 16 septembre 2025 avec l’épisode 1264 : Clotilde (Elsa Lunghini) part, mais une alliance inattendue avec Teyssier (Benjamin Baroche) risque de détruire Louis (Fabian Wolfrom). #ITC en avance avec Nouveautés Télé

Clotilde (Elsa Lunghini) décide de partir, Teyssier (Benjamin Baroche) implore son pardon et tout bascule

Retrouvez le résumé intégral d’Ici tout commence épisode 1264 saison 6 diffusé sur TF1 le mardi 16 septembre 2025 voir les résumés en avance de Ici tout commence archivés par semaine).

Le récap de l’épisode précédent ITC épisode 1263 est en ligne avec en bonus les indiscrétions sur Ici tout commence le feuilleton télévisé de TF1.

Un séisme d’une magnitude rare a secoué les fondations de l’Institut Auguste Armand. Ce qui commençait comme un drame, marqué par la démission fracassante de la cheffe Clotilde Armand et les excuses inhabituelles du directeur Emmanuel Teyssier, s’est transformé en un thriller psychologique haletant. Au cœur de la tempête, un homme : Louis Guinot. Son retour, orchestré dans l’ombre, a déclenché une réaction en chaîne dévastatrice, mais a surtout réveillé des forces que personne n’attendait. Récit d’une journée où les masques sont tombés et où une alliance improbable s’est nouée pour faire face à la plus grande des menaces.

Les murs de l’Institut, d’ordinaire vibrants de l’énergie créatrice de ses étudiants, semblaient ce jour-là chargés d’une tension palpable. La nouvelle s’était répandue comme une traînée de poudre, d’abord comme une rumeur sourde, puis comme une certitude assourdissante : Louis Guinot, l’enfant terrible, le manipulateur talentueux, était de retour en tant que professeur. Une décision signée Emmanuel Teyssier, qui a immédiatement provoqué l’incompréhension et la fureur. Pour Rose et Clotilde, les deux sœurs Armand, cette nomination était une trahison, une insulte à la mémoire de leur père et une négation de toutes les souffrances que Louis leur avait infligées.

Pour Clotilde, la coupe était pleine. Femme de principes, gardienne intransigeante de l’excellence et de l’éthique de l’Institut, elle ne pouvait tolérer la présence de celui qu’elle considère comme un “poison”. La confrontation avec Teyssier fut brève mais d’une violence inouïe. Face à un directeur muré dans un silence énigmatique, incapable de justifier sa décision, Clotilde a compris qu’elle ne pourrait plus lutter de l’intérieur. Le coup de grâce fut porté dans les cuisines, lorsqu’elle entendit les nouveaux élèves, ignorants du passé trouble de Guinot, chanter les louanges de son premier cours. C’en était trop. L’idée de devoir partager les couloirs, les cuisines, et l’âme de l’école avec lui était insupportable.

C’est avec une résolution froide et une douleur immense qu’elle a rédigé sa lettre de démission. Chaque mot était un crève-cœur, l’abandon d’une vie dédiée à cette école qui était toute son existence. En déposant la lettre sur le bureau de Teyssier, elle ne lui laissait aucune alternative. Ses plans étaient déjà faits : ouvrir son propre restaurant, un nouveau chapitre loin de l’ombre toxique de Louis. La nouvelle a eu l’effet d’une bombe, particulièrement sur sa nièce, Carla. La jeune femme, souvent en conflit avec sa tante, a laissé tomber son armure, montrant un chagrin sincère et dévastateur. Dans une étreinte poignante, on a pu voir toute l’affection qui les liait, rendant le départ de Clotilde encore plus déchirant.

Pendant ce temps, Teyssier était un homme seul contre tous. Assailli par sa propre femme, Constance, qui le suppliait de retenir Clotilde, et confronté à l’incompréhension de son ami Marc Leroy, qui sentait bien que quelque chose clochait, le directeur portait le poids d’un terrible secret. Car la vérité est bien plus sombre qu’il n’y paraît : Teyssier n’a pas embauché Louis de son plein gré. Il est victime d’un chantage odieux, une menace que Louis tient sur lui et qui l’a contraint à agir contre sa volonté et ses principes. Pris au piège, Emmanuel a choisi de se sacrifier en silence pour protéger les siens, endossant le rôle du tyran incompris plutôt que de révéler sa vulnérabilité.

Ses excuses à Clotilde, murmurées avec une sincérité rare, n’étaient pas pour sa décision, mais pour la douleur qu’il lui causait. “Je ne voulais pas que cela se termine ainsi”, lui a-t-il avoué, le regard tourmenté. Mais pour une Clotilde blessée et trahie, ces mots étaient inaudibles. Elle ne pouvait accepter ses excuses, convaincue qu’il avait sacrifié l’intégrité de l’école pour des raisons obscures.

C’est là que tout a basculé. Le coup de théâtre est venu de la personne la plus proche de Teyssier : sa femme. Incapable de voir Clotilde partir et son mari s’isoler dans sa souffrance, Constance a pris la décision de briser le silence. Elle a tout révélé à la cheffe Armand : le chantage, l’impuissance d’Emmanuel, le piège diabolique tendu par Louis.

Pour Clotilde, la révélation fut un choc immense. La colère et le sentiment de trahison ont laissé place à une compréhension soudaine et profonde. Teyssier ne l’avait pas trahie ; il avait tenté de la protéger, à sa manière maladroite et orgueilleuse. La démission, le projet de restaurant, la fuite… tout cela perdait son sens. Son véritable ennemi n’était pas Teyssier, mais bien Louis, qui jubilait de sa victoire apparente.

Dans le bureau du directeur, l’atmosphère a radicalement changé. Fini les reproches et l’amertume. Clotilde a regardé Teyssier, non plus comme un traître, mais comme un allié. Elle a refusé ses excuses, mais pour une toute autre raison : elle le remerciait. Elle le remerciait d’avoir tenté de la protéger, quitte à s’attirer les foudres de tous. La lettre de démission a été symboliquement mise de côté. Le combat n’était pas terminé ; il ne faisait que commencer.

Une alliance secrète, aussi puissante qu’inattendue, est née de ces cendres. Clotilde Armand et Emmanuel Teyssier, les deux piliers de l’Institut, souvent rivaux mais liés par un profond respect mutuel, ont décidé d’unir leurs forces. Leur objectif commun : faire tomber Louis Guinot. Non pas en le combattant de front, mais en jouant un jeu plus subtil, plus dangereux. Ils vont le laisser croire qu’il a gagné, qu’il a réussi à diviser pour mieux régner. Mais dans l’ombre, ils prépareront sa chute, guettant le moindre faux pas, la moindre erreur qui leur permettra de l’exposer et de le chasser définitivement de leur vie et de l’Institut.

L’épisode se termine sur une promesse silencieuse entre les deux chefs. Clotilde a retrouvé son sourire, non pas un sourire de bonheur, mais celui, déterminé et glacial, d’une guerrière qui s’apprête à entrer dans l’arène. Le piège est en place. Louis pense avoir gagné la bataille, mais il ignore qu’il vient de perdre la guerre. La vengeance sera un plat qui se mangera froid, et elle sera servie par les deux plus grands chefs de l’Institut Auguste Armand.