đŸ’„ Confession inattendue : Jean-Luc Reichmann revient sur “l’affaire Christian Quesada” et lĂąche une phrase glaçante – “Je m’en suis Ă©normĂ©ment voulu.” 😱 Depuis le scandale qui a terni l’image du champion emblĂ©matique de Les 12 Coups de Midi, l’animateur Ă©tait restĂ© discret
 jusqu’à aujourd’hui. Entre colĂšre, trahison et blessure morale, il rĂ©vĂšle les coulisses de ce drame tĂ©lĂ©visuel qui l’a profondĂ©ment marquĂ©. Était-il au courant ? A-t-il fermĂ© les yeux trop longtemps ? Les fans, bouleversĂ©s, cherchent Ă  comprendre ce qu’il n’avait jamais osĂ© dire jusque-lĂ . đŸ€« 👉 Le reste dans le 1er c🗯mmentaire 👇👇

Dans les colonnes du magazine Closer, Jean-Luc Reichmann a fait de tristes confidences sur l’affaire Christian Quesada.

Ancien champion des 12 coups de midi, Christian Quesada a tristement fait parler de lui aprĂšs la fin de l’émission. En effet, en 2019, en 2019, il a Ă©tĂ© condamnĂ© à trois ans de prison et Ă  cinq ans de suivi socio-judiciaire pour corruption de mineures, dĂ©tention et diffusion d’images pĂ©dopornographiques. Une terrible affaire qui a particuliĂšrement choqué Jean-Luc Reichmann.

Son “pire souvenir”

L’animateur des 12 coups de midi a longtemps attendu avant de s’exprimer sur cette affaire. Une affaire sur laquelle il prĂ©fĂšre ne pas s’épancher. En effet, en 2022, Christian Quesada n’était pas prĂ©sent dans les images d’archives dĂ©voilĂ©es lors d’une Ă©dition spĂ©ciale des 12 coups de midi.

InterrogĂ© par les journalistes, l’animateur de TF1 confiait :

Je l’ai dĂ©jĂ  dit. C’est mon pire souvenir. Je ne vais pas faire des pages lĂ -dessus, on ne va pas ĂȘtre racoleur. Quand on s’est trompĂ© Ă  ce point-là
 Un peu de respect pour Ă©viter de faire du buzz sur quelqu’un qui n’en vaut pas du tout la peine. C’est une parenthĂšse qui est totalement fermĂ©e. Point barre.

Jean-Luc Reichmann @DR

“Personne ne peut savoir d’oĂč vient le danger”

Vous l’aurez compris, Jean-Luc Reichmann prĂ©fĂšre ne pas Ă©voquer ce sujet particuliĂšrement terrible. Mais alors qu’il est de retour dans de nouveaux Ă©pisodes de LĂ©o MatteĂŻ, Brigade des mineurs, il lui est impossible de ne pas Ă©chapper aux questions sur cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre.

Dans les colonnes du magazine Closer, en vente dans les kiosques depuis ce vendredi 23 février 2024, il a fait de tristes confidences. Il a ainsi avoué :

C’était l’une des pires choses qui pouvait m’arriver. Quand je l’ai dĂ©couvert, mon monde s’est effondrĂ©. Parfois, on me disait : ‘Comment toi, Jean-Luc, as-tu fait pour ne pas le voir ?’. C’est terrible, je m’en suis Ă©normĂ©ment voulu d’avoir passĂ© 153 jours sur le plateau des 12 Coups de midi sans avoir aucun soupçon. C’est la preuve que personne ne peut savoir d’oĂč vient le danger.

Jean-Luc Reichmann restera, à jamais, bouleversé par cette affaire.

C’est une confession que personne n’attendait.
Jean-Luc Reichmann, visage solaire et symbole de bienveillance du petit Ă©cran, a choisi de revenir sur l’une des affaires les plus sombres de l’histoire de Les 12 Coups de Midi. L’affaire Christian Quesada.

L’ancien champion de l’émission, adulĂ© Ă  l’époque pour son parcours exceptionnel, avait bouleversĂ© la France entiĂšre avant que ne soit rĂ©vĂ©lĂ©e, en 2019, une vĂ©ritĂ© glaçante : l’homme avait Ă©tĂ© condamnĂ© pour dĂ©tention et diffusion d’images pĂ©dopornographiques. Une chute vertigineuse, qui a laissĂ© une marque indĂ©lĂ©bile sur le programme
 et sur son animateur.

Des annĂ©es plus tard, Jean-Luc Reichmann en parle enfin. Dans une interview accordĂ©e Ă  TĂ©lĂ©-Loisirs, l’animateur a lĂąchĂ© une phrase bouleversante : “Je m’en suis Ă©normĂ©ment voulu.” Une confession simple, mais lourde, pleine de douleur retenue.

“Je me suis senti trahi, blessĂ©, sali par association,” confie-t-il. “J’ai accueilli un homme sur mon plateau, j’ai partagĂ© sa joie, sa rĂ©ussite, j’ai mĂȘme ressenti une forme de fierté  Et puis, tout s’est effondrĂ©. On s’est tous sentis trompĂ©s.”

Pendant des annĂ©es, Reichmann avait Ă©vitĂ© le sujet. Non pas par dĂ©ni, mais parce qu’il ne voulait pas “raviver la douleur des familles, ni donner de l’écho Ă  quelqu’un qui ne le mĂ©rite pas”. Pourtant, les questions n’ont jamais cessĂ© de le poursuivre. Était-il au courant ? Avait-il eu des doutes ?

L’animateur rĂ©pond aujourd’hui avec une sincĂ©ritĂ© rare : “Non, jamais. Christian Ă©tait un candidat comme les autres, charmant, cultivĂ©, trĂšs poli. Rien ne laissait deviner ce qu’il cachait. Quand tout a Ă©clatĂ©, j’ai repassĂ© mille fois nos Ă©changes dans ma tĂȘte, cherchant un signe. Et c’est lĂ  que la culpabilitĂ© s’installe.”

Dans les coulisses de TF1, la nouvelle de l’arrestation de Quesada avait provoquĂ© une onde de choc. Les techniciens, les producteurs, les anciens candidats : tous Ă©taient abasourdis. Le nom de Les 12 Coups de Midi, jusque-lĂ  synonyme de bonne humeur et de lĂ©gĂšretĂ©, s’est retrouvĂ© mĂȘlĂ© malgrĂ© lui Ă  un scandale judiciaire.

Jean-Luc Reichmann, fidĂšle Ă  son sens des responsabilitĂ©s, a immĂ©diatement rĂ©agi. “Je me devais de protĂ©ger les tĂ©lĂ©spectateurs, les enfants, les familles. L’émission devait continuer, mais diffĂ©remment. Plus de transparence, plus de vigilance.”

Il avait alors insistĂ© pour que toutes les images de Christian Quesada soient dĂ©finitivement retirĂ©es des rediffusions. “Je ne voulais plus qu’on glorifie quelqu’un qui a commis l’irrĂ©parable. La tĂ©lĂ© ne peut pas tourner la page comme si de rien n’était.”

Mais au-delĂ  de la rĂ©action professionnelle, il y avait la douleur humaine. “Quand on fait ce mĂ©tier, on s’attache. On partage des moments forts. DĂ©couvrir qu’une personne Ă  qui on a tendu la main vivait dans le mensonge le plus abject
 c’est insupportable.”

Certains de ses proches racontent qu’il a traversĂ© une pĂ©riode de profond dĂ©sarroi. “Il se sentait personnellement responsable. Il disait souvent : ‘Je lui ai donnĂ© une visibilitĂ©, j’aurais dĂ» voir quelque chose
’”, confie un membre de l’équipe.

C’est cette culpabilitĂ©, restĂ©e longtemps enfouie, qu’il exprime aujourd’hui avec des mots simples, presque brisĂ©s : “Je m’en suis Ă©normĂ©ment voulu.”

Pourtant, beaucoup estiment qu’il n’a rien Ă  se reprocher. Ni TF1, ni la production, ni mĂȘme les fans ne pouvaient imaginer ce qui se tramait dans la vie privĂ©e du champion. Le public, lui, a d’ailleurs toujours soutenu Reichmann. “On ne peut pas lui en vouloir. Il n’est pas responsable des actes d’un autre homme,” lit-on souvent sur les rĂ©seaux sociaux.

Mais pour Jean-Luc, la blessure dĂ©passe le cadre professionnel. “C’est une question de confiance. Je donne beaucoup de moi dans cette Ă©mission. J’ai toujours voulu croire au meilleur chez les gens. Et lĂ , j’ai appris que le pire pouvait se cacher derriĂšre un sourire.”

Depuis, Les 12 Coups de Midi a changĂ©. Le ton est plus protecteur, plus humain. Les candidats sont sĂ©lectionnĂ©s avec une attention renforcĂ©e. Et Jean-Luc Reichmann, plus que jamais, veille Ă  ce que l’esprit du jeu reste intĂšgre.

Dans les mois qui ont suivi le scandale, il a reçu des centaines de messages de soutien. Certains venaient de parents, d’enseignants, d’anciens candidats. Tous disaient la mĂȘme chose : “Merci d’avoir continuĂ©, merci d’avoir gardĂ© le cap.”

Aujourd’hui encore, lorsqu’on Ă©voque Christian Quesada, un silence s’installe. “C’est une page sombre,” admet-il. “Mais il faut aussi se souvenir que l’émission a permis Ă  des milliers de gens de partager de la joie, de la culture, de la solidaritĂ©. C’est cela que je veux retenir.”

Et si cette Ă©preuve l’a profondĂ©ment marquĂ©, elle lui a aussi rappelĂ© ce qui fait sa force : son authenticitĂ©. “Je ne joue pas un rĂŽle. Quand je ris, je ris. Quand je suis blessĂ©, je le suis vraiment. C’est ma maniĂšre d’ĂȘtre vrai avec le public.”

Cette sincĂ©ritĂ©, rare Ă  la tĂ©lĂ©vision, explique sans doute pourquoi les Français continuent de lui ĂȘtre fidĂšles, malgrĂ© les tempĂȘtes.

“Le mal existe, mĂȘme dans les endroits oĂč l’on s’y attend le moins,” conclut-il. “Mais il ne faut jamais cesser de croire en la bontĂ© des autres. Sinon, on perd ce qui nous rend humains.”

Et derriĂšre ce sourire discret, on devine encore une trace de douleur
 mais aussi une force tranquille. Celle d’un homme qui a traversĂ© l’ombre — et choisi, malgrĂ© tout, de continuer Ă  Ă©clairer les autres.