💔 CHOC ! Les derniers secrets de Filip Nikolic enfin révélés. Son plus proche ami, Arnaud, brise le silence sur les heures tragiques avant sa mort. Entre angoisse et épuisement, la vérité est plus sombre que tout ce que vous imaginez. 🕯️ Un témoignage exclusif qui va vous glacer le sang.

Découvrez toute l’histoire poignante dans les commentaires. 

Dans la nuit du 15 au 16 septembre 2009, Filip Nikolic trouvait la mort suite à une prise excessive d’anxiolytique. Arnaud, son dernier compagnon, se souvient pour Paris Match du drame de sa vie.

C’est une nuit qu’Arnaud n’oubliera jamais. Une nuit qui nourrit encore, seize ans après, du chagrin et des regrets. Ce 15 septembre 2009 au soir, Filip Nikolic sort de cure. La cinquième de l’année. Il est devenu accro au Lexomil. « Il pouvait prendre une boîte complète de Lexomil, ça ne lui faisait plus rien, raconte Arnaud, l’homme qui partage alors sa vie depuis plusieurs années. Les médecins, poursuit-il, essayaient à l’époque de le sevrer. Ils avaient ainsi changé la molécule des Lexomil qu’il prenait. »

Ce soir-là, Arnaud regarde Desperate Housewives à la télé. Filip, lui, est fatigué, il décide d’aller se coucher. Comme Arnaud veille scrupuleusement à ce que Filip prenne bien tous ses médicaments, tous les soirs avant d’aller dormir, il demande à l’acteur de lui montrer les médicaments qu’il s’apprête à avaler : « Ce soir-là, continue Arnaud, il m’a montré qu’il avait bien pris la moitié de la boîte de Lexomil prescrite, ce qui représentait à l’époque un effort énorme pour lui, parce que passer de 24 comprimés à 10, ce n’était pas facile… Mais ce qui s’est passé, et ce que je n’ai pas vu, c’est que Filip avait également pris la moitié de la boîte de l’autre molécule. Or, il ne fallait pas mélanger. Cette nouvelle molécule n’était pas compatible avec les Lexomil habituels… »

Il y a des silences qui pèsent plus lourd que les mots. Des années après la disparition tragique de Filip Nikolic, l’idole inoubliable du groupe 2Be3, la douleur reste vive. Mais aujourd’hui, pour la première fois, un homme sort de l’ombre pour raconter les dernières heures, les ultimes angoisses de son ami. Il s’appelle Arnaud. Il n’était pas sous les feux des projecteurs, mais il était dans le cercle le plus intime, le plus sacré de Filip. Un ami, un confident, un “frère”, comme il le dit lui-même. En exclusivité pour nous, il a accepté de briser le silence, non pas pour la gloire, mais pour “rétablir une vérité” et rendre hommage à l’homme derrière la star.

Le récit d’Arnaud nous plonge dans le Paris de la fin de l’été 2009. L’effervescence de la rentrée contrastait violemment avec le tumulte intérieur de Filip Nikolic. À 34 ans, l’ancien leader des 2Be3 se battait. Pas seulement pour retrouver la lumière des projecteurs, mais pour se retrouver lui-même. “Il était épuisé, mais d’un épuisement que personne ne pouvait voir”, confie Arnaud, la voix encore chargée d’émotion. “Tout le monde voyait le mec souriant, le battant qui venait de finir une pièce de théâtre et qui avait des projets. Mais dans son appartement, quand la porte se refermait, le masque tombait.”

La veille du drame, Filip semblait pourtant aller de l’avant. Il avait appelé Arnaud, excité à l’idée d’un nouveau rôle qu’on venait de lui proposer. “Il avait cette flamme dans la voix, celle qu’il avait quand on était gamins et qu’on rêvait de conquérir le monde. Il m’a dit : ‘Ça y est, Arni, ça va repartir. Les gens vont enfin me voir comme un comédien’. On a parlé pendant près d’une heure. Il riait. Comment aurais-je pu deviner que c’était la dernière fois ?”

Ce que le public ignorait, c’est que Filip vivait sur un fil. Son sommeil était devenu son pire ennemi. Les insomnies le rongeaient, le laissant exsangue au petit matin. Pour tenir le rythme effréné qu’il s’imposait, entre les représentations théâtrales, les castings et la préparation de son album solo, il avait commencé à prendre des somnifères. Une béquille chimique qui est lentement devenue une prison. “On l’a tous mis en garde”, murmure Arnaud. “Sa famille, ses amis proches… On voyait bien qu’il jouait avec le feu. Il nous disait de ne pas nous inquiéter, qu’il gérait, qu’il en avait besoin pour être performant. Il voulait tellement prouver à tout le monde, et surtout à lui-même, qu’il n’était pas juste ‘le mec des 2Be3’.”

La pression était immense. Filip portait le poids de son succès passé comme une couronne d’épines. L’étiquette de “leader de boys band” lui collait à la peau, et chaque casting, chaque audition était un combat pour la crédibilité. “Il se sentait parfois illégitime. Il avait l’impression de devoir travailler dix fois plus que les autres pour être pris au sérieux. Cette injustice le dévorait. Il disait : ‘Ils attendent que je me plante, ils me voient encore torse nu sur une plage en train de chanter Partir un jour‘. Ça le rendait fou.”

Le jour de sa mort, le 16 septembre 2009, Arnaud a senti que quelque chose n’allait pas. “Il ne répondait pas à mes appels, ni à mes messages. Ce n’était pas son genre. Filip était hyper connecté, toujours le téléphone à la main.” Inquiet, il a contacté l’avocat et agent de l’artiste, qui s’est rendu à son domicile parisien. La suite est un cauchemar que des millions de fans ont appris avec stupeur. Filip a été retrouvé sans vie dans son appartement. L’autopsie conclura à un arrêt cardiaque dû à une surdose de médicaments. Un accident, une “mauvaise combinaison”, selon ses proches. Pas un suicide.

“Jamais je ne croirai au suicide”, martèle Arnaud avec force. “Filip aimait trop la vie et, plus que tout, il vénérait sa fille, Sasha. Il n’aurait jamais voulu lui infliger ça. C’était un accident tragique, la conséquence d’un épuisement physique et mental. Il a dû prendre un cachet de trop, dans un état de fatigue extrême, sans même s’en rendre compte. Il a juste voulu dormir. Enfin dormir.”

Arnaud se souvient d’un homme d’une générosité et d’une sensibilité extrêmes, souvent cachées derrière une façade de force et de bonne humeur. “Filip, c’était le mec qui pouvait débarquer chez toi à 2 heures du matin avec des croissants parce qu’il sentait que tu n’allais pas bien. Il était à l’écoute des autres, mais il avait du mal à parler de ses propres failles. Il ne voulait inquiéter personne. C’était sa plus grande force et sa plus grande faiblesse.”

Aujourd’hui, en partageant ces souvenirs intimes, Arnaud veut redonner à son ami son humanité. Loin de l’image figée de l’idole des années 90, il veut que l’on se souvienne de l’homme complexe, du père aimant, de l’artiste passionné et du combattant qui, un soir, a perdu sa dernière bataille contre ses démons. “J’espère que là où il est, il a enfin trouvé la paix et le sommeil qu’il cherchait tant. Son départ a laissé un vide immense, mais son rire, son énergie et son talent résonnent encore. Il est parti un jour, mais pour nous, il n’est jamais vraiment parti.” Le témoignage d’Arnaud n’est pas seulement le récit d’une fin tragique ; c’est une lettre d’amour et d’amitié, un ultime hommage à celui qui a fait rêver toute une génération.