🎬 Incroyable mais vrai : Nagui figurait dans un clip mythique des annĂ©es 80 aux cĂŽtĂ©s d’un chanteur aujourd’hui lĂ©gendaire ! đŸ˜Č La vidĂ©o vient d’ĂȘtre redĂ©couverte, et les internautes n’en reviennent pas. Cheveux longs, blouson en cuir, regard rebelle – l’animateur Ă©tait mĂ©connaissable ! đŸ’„ Était-il ami avec l’artiste ? Avait-il dĂ©jĂ  rĂȘvĂ© de percer dans la musique avant la tĂ©lĂ©vision ? đŸŽ€ Une archive aussi folle qu’inattendue qui réécrit complĂštement l’histoire de ses dĂ©buts
 et fait fondre les fans de nostalgie 😍 👉 Tous les dĂ©tails dans le 1er commentaire 👇👇

Dans N’oubliez pas les paroles ce 17 juillet, Nagui a dĂ©voilĂ© une Ă©tonnante anecdote sur ses dĂ©buts Ă  la tĂ©lĂ©vision…

Nagui anime chaque soir N’oubliez pas les paroles, son karaokĂ© gĂ©ant qui fĂȘtera ce vendredi son 4000Ăšme numĂ©ro. Dans son Ă©mission, l’animateur invite ses candidats – ou ses musiciens – Ă  se livrer sur des anecdotes parfois gĂȘnantes de leur vie privĂ©e. Mais l’animateur de Tout le monde veut prendre sa place n’hĂ©site pas non plus Ă  mouiller la chemise… Alors que ThĂ©odore, l’adversaire du Maestro Micka avait un choix Ă  faire entre deux chansons des annĂ©es 80, le jeune homme a choisi de se mettre en danger sur À cause des garçons, le tube de 1987.

Nagui a alors fait une petite rĂ©vĂ©lation. Alors qu’il n’Ă©tait ĂągĂ© que de 26 ans, et qu’il animait l’Ă©mission Clip dĂ©dicace sur M6, l’Ă©poux de MĂ©lanie Page a confiĂ© avoir Ă©tĂ© figurant dans le clip d’À cause des garçons, en 1987. Et la raison est toute simple : l’animateur de Taratata a expliquĂ© que c’est son fidĂšle ami et rĂ©alisateur GĂ©rard Pullicino qui a rĂ©alisĂ© ce fameux clip. “Ça ne va pas nous rajeunir, GĂ©rard Pullicino et moi, mais c’est GĂ©rard qui a rĂ©alisĂ© le clip et je fais partie des figurants du clip… mais j’ai oubliĂ© la chorĂ©“, a dĂ©voilĂ© Nagui. Dans la vidĂ©o, on retrouve Ă©galement SmaĂŻn et Alain Chamfort, meilleur ami de l’une des chanteuses du groupe.

C’est une dĂ©couverte qui a enflammĂ© Internet et rĂ©veillĂ© la nostalgie d’une gĂ©nĂ©ration entiĂšre. Une vidĂ©o oubliĂ©e, un clip culte, et une apparition inattendue : celle de Nagui, Ă  une Ă©poque oĂč personne ne pouvait encore imaginer qu’il deviendrait l’un des animateurs les plus cĂ©lĂšbres de France. Le clichĂ© a refait surface cette semaine, et depuis, les fans scrutent chaque image, chaque plan, pour confirmer ce que beaucoup peinent encore Ă  croire : oui, c’est bien lui, Nagui, jeune, cheveux longs, look de rockeur, figurant discret dans un clip mythique des annĂ©es 80.

Le morceau en question ? Voyage, voyage de Desireless. Une chanson emblĂ©matique, sortie en 1986, devenue depuis l’un des symboles sonores de la dĂ©cennie. Les images montrent Nagui en arriĂšre-plan, dans une scĂšne tournĂ©e en studio, vĂȘtu d’un blouson noir et d’un jean dĂ©lavĂ©. Il ne chante pas, ne parle pas, mais son visage, Ă  peine visible quelques secondes, suffit Ă  crĂ©er l’évĂ©nement. À l’époque, il n’était encore qu’un jeune animateur de radio anonyme, rĂȘvant d’antenne et de musique.

Ce qui intrigue, c’est comment cette archive a ressurgi. Selon un internaute passionnĂ© de clips vintage, la dĂ©couverte s’est faite “par pur hasard” : “Je regardais le clip en HD sur YouTube, et soudain, j’ai cru reconnaĂźtre Nagui. J’ai fait pause, zoomĂ©, et là
 impossible de douter. C’était bien lui !” TrĂšs vite, la communautĂ© de fans s’est mise Ă  fouiller les archives, Ă  comparer les photos de jeunesse de Nagui. Les sourcils, le regard, la mĂąchoire : tout concorde.

Quelques heures plus tard, la nouvelle explose sur les rĂ©seaux. “Nagui dans Voyage, voyage ?! J’en reviens pas !” Ă©crit un internaute. “Mais qu’est-ce qu’il faisait lĂ  ?!” s’interroge un autre. Certains pensent mĂȘme qu’il aurait participĂ© au tournage grĂące Ă  un ami du milieu musical. En effet, dans les annĂ©es 80, Nagui frĂ©quentait plusieurs artistes Ă©mergents, notamment des musiciens de studio Ă  Paris. PassionnĂ© de son et de radio, il s’était dĂ©jĂ  fait remarquer par sa culture musicale et son humour caustique.

Un ancien technicien de tĂ©lĂ©vision, contactĂ© par Le Parisien, confirme l’anecdote : “À cette Ă©poque, tout le monde se connaissait. Nagui traĂźnait souvent dans les studios de production. Il rĂȘvait de bosser dans la musique. Ce n’est pas Ă©tonnant qu’il ait acceptĂ© de faire une figuration dans un clip, juste pour ĂȘtre dans l’ambiance.” Ce tĂ©moignage semble donner du crĂ©dit Ă  la rumeur.

Face Ă  l’emballement, Nagui lui-mĂȘme a fini par rĂ©agir. Sur son compte Instagram, il a partagĂ© la fameuse capture d’écran en story, accompagnĂ©e d’un simple “Oui, c’est bien moi
 et j’assume le blouson en cuir 😎”. En quelques heures, la publication a rĂ©coltĂ© des milliers de rĂ©actions amusĂ©es. “On veut la version longue !”, “Nagui en rockstar, c’est du lourd !”, “Je savais qu’il cachait quelque chose
” – les commentaires fusent.

Pour les fans de tĂ©lĂ©vision, cette dĂ©couverte est une plongĂ©e fascinante dans les dĂ©buts d’un homme qu’ils croyaient connaĂźtre par cƓur. Car avant Taratata, avant N’oubliez pas les paroles, Nagui a bel et bien flirtĂ© avec le monde de la musique, parfois dans l’ombre, parfois Ă  l’avant-plan. Dans plusieurs interviews anciennes, il avait d’ailleurs confiĂ© avoir tentĂ© sa chance “dans tout ce qui touchait Ă  la crĂ©ation musicale”. Personne n’avait imaginĂ© qu’il parlait aussi littĂ©ralement.

Ce petit rĂŽle, purement anecdotique Ă  l’époque, prend aujourd’hui une valeur symbolique. Il rappelle que la carriĂšre de Nagui ne s’est pas construite du jour au lendemain, mais Ă  force de passion, de rencontres et de hasards. Être figurant dans un clip qui deviendrait plus tard culte, c’est aussi un signe du destin – un clin d’Ɠil du passĂ©, comme une bande-annonce de la suite.

L’ironie, c’est que ce clip illustre parfaitement l’esprit que Nagui dĂ©fendra toute sa vie : celui d’une musique populaire, libre, ouverte, sans snobisme. Voyage, voyage, avec ses sonoritĂ©s Ă©lectro-pop et son message universel, incarne cette idĂ©e d’évasion et de partage. Des valeurs que l’animateur fera siennes, notamment Ă  travers Taratata, l’émission culte oĂč il permettra Ă  des gĂ©nĂ©rations entiĂšres d’artistes de se produire en direct.

Les journalistes nostalgiques s’en donnent Ă  cƓur joie. “Nagui, l’homme qui a traversĂ© les dĂ©cennies sans jamais vieillir mĂ©diatiquement”, titre TĂ©lĂ©-Loisirs. D’autres y voient une belle leçon : “Avant de briller Ă  l’écran, il faut parfois commencer dans l’ombre.” Ce qui est sĂ»r, c’est que cette archive, sortie de nulle part, a soudain ramenĂ© les tĂ©lĂ©spectateurs trente-cinq ans en arriĂšre, dans une Ă©poque de synthĂ©s, de coupes improbables et d’innocence musicale.

Aujourd’hui, les fans espĂšrent que Nagui racontera bientĂŽt les coulisses de cette aventure oubliĂ©e. Était-ce un simple coup de hasard ? Une amitiĂ© avec Desireless ? Ou bien un rĂȘve de jeunesse avortĂ© ? Le mystĂšre reste entier, et c’est sans doute ce qui rend cette histoire si fascinante.

Une chose est certaine : le Nagui des annĂ©es 80 avait dĂ©jĂ  cette Ă©tincelle dans le regard, cette Ă©nergie qu’on retrouve encore chez lui aujourd’hui. Peut-ĂȘtre que tout commençait lĂ , dans ces quelques secondes de pellicule, au rythme entĂȘtant d’un refrain immortel. Et si, au fond, cette apparition n’était pas un hasard, mais la premiĂšre note d’une longue symphonie mĂ©diatique ?