Le 8 septembre, Valérie Lemercier et Yann Barthès ont créé un moment coquin dans Quotidien. Et l’humoriste n’avait plus aucune limite.

“La chatte à maman, dilatation’’ : Valérie Lemercier n’a aucune limite, Yann Barthès submergé

Moment de télévision complètement improbable ce 8 septembre entre Valérie Lemercier et Yann Barthès dans Quotidien. Invitée de Yann Barthès, Valérie Lemercier a fait éclater de rire tout le plateau en racontant des extraits de son nouveau spectacle. Aux côtés de la chroniqueuse Maïa Mazaurette, l’actrice et humoriste s’est laissée aller à des confidences crues.

Tout est parti d’une séquence lancée par Maïa Mazaurette. ‘‘Dans le spectacle, apparemment, il y a un veuf belge qui parle à son fils et qui lui fait tout l’historique de la vie sexuelle de ses parents, avec énormément de détails.’’ Ce à quoi Valérie Lemercier a réagi sans détour. ‘‘De sa femme, oui, c’est vrai.’’ Et les extraits cités avaient de quoi surprendre. ‘‘Je te souhaite de trouver une femme comme ta mère. Pas besoin de lui maintenir la tête pour aller à la sucette.’’ a rappelé la chroniqueuse avant que l’humoriste ne reprenne la main.

Valérie Lemercier provoque un fou rire général sur le plateau de Yann Barthès

Valérie Lemercier a alors ajouté, avec un sourire malicieux, un passage de son personnage qui s’adressait à son fils. ‘‘On voit bien que tu n’as jamais mangé la chatte à maman. Je l’aimais si fort.’’ Puis d’enchaîner avec une autre réplique choc. ‘‘Ton passage la laisse très dilatée pendant deux, trois années qui m’ont été fort pénibles.’’ Des phrases qui ont provoqué un fou rire incontrôlable de Yann Barthès, visiblement dépassé par la tournure prise par l’entretien. ‘‘Et du coup… et du coup la recommandation c’était quoi ?.’’ a-t-il lâché, hilare.

Maïa Mazaurette, amusée elle aussi, a avoué ‘‘tricher’’ en citant directement les passages sulfureux du spectacle. ‘‘Si je peux avoir une partie du spectacle gratuit, c’est encore mieux.’’ a-t-elle plaisanté. Mais selon Valérie Lemercier, derrière cette provocation se cachait ‘‘une grande histoire d’amour.’’

De l’humour trash à une réflexion sur les pères

Après cette séquence délirante, Maïa Mazaurette a redirigé sa chronique vers un sujet plus sérieux : l’éducation paternelle. ‘‘On a parfois l’impression que s’occuper des enfants, c’est plutôt un truc de femme… et ça, c’est un mythe.’’ a-t-elle expliqué, citant l’anthropologue américaine Sarah Blaffer Hrdy et son ouvrage Le temps des pères.

Elle a rappelé que les hommes, en passant du temps avec leurs enfants, pouvaient eux aussi développer ‘‘des super pouvoirs d’empathie’’ grâce à des changements hormonaux et neurologiques. Un contraste saisissant avec les répliques trash de Valérie Lemercier.