Elle est très certainement la première dame qui a le plus marqué les esprits. Désormais âgée de 92 ans, Bernadette Chirac s’est complètement retirée de la vie publique qu’elle aimait tant. L’ex-femme de Jacques Chirac a toutefois encore des regrets…

Voilà quelques années que Bernadette Chirac reste tapie dans l’ombre. Veuve depuis 2019, l’ancienne première dame de France, toujours considérée par de nombreux Français comme la meilleure d’entre elles, s’est peu à peu retirée de la vie publique. Jusqu’à la déserter complètement. Mais saviez-vous qu’elle gardait encore un regret de sa période de première dame ?

“Je n’ai peut-être pas toujours été assez…” : les regrets de Bernadette Chirac

À 92 ans, elle vivrait, selon les dernières rumeurs, recluse dans son hôtel particulier parisien avec l’aide de sa fille Claude, qui lui rendrait visite quotidiennement. Pourtant, Bernadette Chirac a été une grande habituée des plateaux télé. La preuve avec ce documentaire dont elle avait fait l’objet en l’an 2000. Réalisé par Agnès Vincent et Marion Sarraut et diffusé sur France 2, il revenait sur l’un des traits les moins connus de sa personnalité : son grand sens de l’humour. “Il faut essayer de ne pas trop se prendre au sérieux”, avait-elle même fait savoir aux journalistes.

Questionnée dans la foulée sur les qualités d’une première dame de France, elle avait dévoilé un regret qu’elle conservait de cette période : “Je n’ai peut-être pas toujours été assez disponible pour mon mari dans le sourire, assez cool. C’est-à-dire prendre du recul par rapport aux évènements, et entrer toujours détendue, toujours d’une grande gaité”.

Bernadette Chirac, pas assez sereine ? “Il faut que je résiste”

Il faut dire que Bernadette Chirac n’était à l’époque pas connue pour son sourire éclatant. Ce qu’elle reconnaissait parfaitement : “Un homme comme lui à besoin de trouver dans sa famille un contrepoids à cette charge qui est si lourde. Et je n’ai probablement pas assez su masquer ma propre appréhension des événements. Ça aurait été très bien pour lui d’avoir une femme totalement décontractée, explosant de joie et de gaieté en permanence. Qui soit vraiment un objet de grande détente”.

“J’ai essayé d’être sereine, j’ai tenté d’être sereine. Je suis d’ailleurs assez sereine”, avait d’ailleurs fait savoir la veuve de Jacques Chirac. La mère de Laurence, décédée en 2016, et de Claude, avait conclu : “Moi je suis la femme du bulldozer, il faut que je résiste”.