Dans le reportage D’eux, diffusé sur M6, le 3 septembre 2025, Céline Dion revient sur une anecdote étonnante au sujet de sa rencontre avec Jean-Jacques Goldman.

<p>Céline Dion</p>Des images inédites, un témoignage rempli de sincérité. Après avoir marqué les esprits lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris lors de l’été 2024, Céline Dion a de nouveau été à l’honneur ce mercredi 3 septembre 2025. La chanteuse québécoise, souffrant du syndrome de l’homme raide, était au centre d’une soirée spéciale diffusée sur M6. La chaîne proposait notamment un documentaire inédit consacré aux coulisses de D’eux, l’album mythique signé Jean-Jacques Goldman, qui fête cette année ses trente ans. L’occasion pour elle de revenir sur sa première rencontre avec l’un des artistes les plus respectés de la scène musicale française.
Enceintes portablesEt ce souvenir, qui date du début des années 90, est resté gravé dans sa mémoire. Face caméra, la mère de famille s’est laissé aller à une anecdote surprenante. “Je ne l’oublierai jamais, car je pensais : ‘Il va arriver avec son chauffeur, ses assistants’. Non, il arrive à vélo avec son yaourt en tube. Je lui dis : ‘Qu’est-ce que tu manges ? C’est quoi ça ?’”, raconte-t-elle en riant.

Céline Dion se souvient de sa première rencontre avec Jean-Jacques Goldman, qui la laisse encore sans voix

La chanteuse poursuit son récit avec le même étonnement. “Je n’avais jamais vu ça. Nous autres, on a besoin d’une cuillère pour manger du  yogourt. Les fruits sont dans le fond, il faut faire monter les fruits du fond. Lui, il met son yaourt en tube. Je lui dis : ‘Tu manges de la pâte à dents [du dentifrice, ndlr], qu’est-ce que c’est que ça ?’”, se souvient Céline Dion, amusée.

Entre simplicité et naturel, Jean-Jacques Goldman avait ainsi donné le ton d’une collaboration qui allait marquer l’histoire. Si l’anecdote fait sourire aujourd’hui, la chanteuse Céline Dion avoue qu’elle n’était pas totalement rassurée au moment d’aborder leur première séance de travail. Il mange son yaourt, il arrive avec son vélo, il s’installe avec son computer, sa  guitare, on est assis dans un coin. J’avais un petit peu peur, car je ne voulais pas dire à un monument comme Jean-Jacques Goldman : ‘Je ne suis pas sûre de la chanson.’ (…) Je ne peux pas lui dire : ‘Je ne veux pas faire ta chanson’”, confie-t-elle