Samuel le Bihan endosse la robe d’avocat dans Tu ne tueras point, un drame judiciaire poignant autour du handicap diffusé mardi 26 mars sur France 2. Une fiction inédite à la résonance particulière pour l’acteur qui est à l’origine de ce projet.

Samuel le Bihan est à l’affiche de la fiction judiciaire Tu ne tueras point diffusé ce mardi 26 mars sur France 2. Il interprète Simon, un avocat (Samuel Le Bihan), qui assure la défense d’Elsa (Natacha Régnier), une mère qui a tué son enfant polyhandicapée. Ce procès ouvre, pour l’accusée, un chemin vers la rédemption et, pour le pénaliste, celui d’une renaissance. C’est leur histoire que raconte Tu ne tueras point, une fiction née d’une idée originale du comédien.

Tu ne tueras point : “Il y a un aspect militant dans ce téléfilm…” Samuel le Bihan profite de cette fiction pour faire passer un message

Télé-Loisirs : Comment est né ce projet ?


Samuel Le Bihan : J’ai voulu travailler sur cette question-là parce qu’elle est peu abordée au cinéma et à la télévision. Je veux continuer le chemin de la compréhension de la différence et du handicap. J’étais très heureux et je remercie France Télévisions de m’avoir suivi dans cette proposition. On est vraiment dans la mission du service public. Ça va aussi dans le sens des missions que je me suis données dans ma vie. Là où mon métier d’artiste est de créer du divertissement, il peut aussi servir à faire avancer une cause et à réfléchir sur le monde.

Dans cette fiction, vous incarnez un pénaliste qui assure la défense d’une mère qui a tué sa fille polyhandicapée. Ce récit a-t-il eu une résonance particulière ?
Bien qu’elle soit très éloignée de ma propre histoire, cette fiction fait écho à des choses personnelles. M’occuper de ma fille m’a demandé un véritable engagement. Mais elle est lumineuse, elle a fait des progrès incroyables. Aujourd’hui, elle entre dans l’adolescence, est à l’école, a des copines. Mais il se pose toujours la question de l’avenir. On a peur de ce qui arrivera quand on ne sera plus là, de faire reposer cette charge sur quelqu’un d’autre, ou de ne pas avoir le temps de s’occuper de ses autres enfants. Ces questionnements sont les mêmes pour tous les parents.

Le choix de ne pas montrer l’enfant était-il un moyen de mettre en avant le rôle des aidants ?
La place des aidants est essentielle, et c’est ça que je voulais aborder. Il y a des gens qui sacrifient leur vie pour un enfant. Et souvent les femmes d’ailleurs. On a beaucoup de couples qui explosent, des pères qui abandonnent leur famille et des mères qui se retrouvent seules à devoir sacrifier leur carrière, leur vie personnelle, intime ou amoureuse pour s’occuper de leur enfant. Il y a peu de places dans les instituts et beaucoup de gens sont obligés d’aller en Belgique, sans compter la question de la maltraitance. C’est ce que je voulais aborder indirectement.

Comment vous êtes-vous préparé à la plaidoirie finale de quinze minutes ?
C’est un morceau de bravoure. Cela faisait longtemps que j’avais le désir de me frotter au défi de la plaidoirie. Je suis allé voir plaider des avocats au Palais de justice de Paris, j’ai regardé beaucoup de films judiciaires. Je travaillais mon texte tous les jours dans la salle d’audience, le soir après le tournage. C’était comme une répétition de théâtre. J’aimais cette idée de sauter sans filet. C’était un vrai challenge d’acteur et je ne voulais pas rater ce moment-là.

Le combat est encore long mais j’en serai, et j’espère que nous serons nombreux“. Vous substituez-vous à votre personnage lorsqu’il prononce ces paroles ?
C’est vrai qu’il y a un aspect militant dans ce téléfilm. Moi, mon acte politique se fait à travers l’associatif. Mais je n’en fais pas une règle. Je ne veux pas être “Monsieur autisme”. Divertir et transmettre des émotions est déjà en soi, un acte généreux. Je souhaitais prendre la parole sur ces sujets, et profiter de cette tribune que peut être une fiction, pour partager ce message avec le plus grand nombre.

Tu ne tueras point : “Ça crée des choses très fortes…” Samuel le Bihan évoque comment avoir une enfant handicapée a renforcé la fratrie

Vous avez plusieurs enfants, comment vit la fratrie avec le handicap ?
C’est un sujet très intéressant parce que l’attention est tellement portée sur l’enfant plus fragile que les autres peuvent se sentir abandonnés et mal aimés, et finir par croire qu’il aurait fallu qu’ils soient handicapés pour qu’on s’occupe d’eux et qu’on les aime. Ils se tournent souvent vers des métiers qui développent le sens de l’autre, ce sont aussi des enfants qui sont mûrs plus tôt que les autres et qui ont le sens de la fragilité de l’existence, et un sens de l’autre plus développé. Ça crée des choses très fortes dans une fratrie.

Vous ne quittez plus la robe d’avocat puisque vous l’avez reprise pour Carpe Diem (prochainement sur TF1), c’est une nouvelle vocation ?
Ça me plaît énormément ! Le métier d’avocat me fascine. Carpe Diem est dans un registre beaucoup plus humoristique et décalé. Le personnage est tellement atypique, il ne ressemble à personne. Il est un peu escroc sur les bords, il est drôle et on aimerait que ce soit notre pote, mais je ne suis pas sûre qu’on pourrait compter sur lui pour nous défendre [Il rit]. Il est très investi mais c’est quelqu’un qui vit au jour le jour, donc la proposition est radicalement différente. C’est encore une autre façon d’explorer le métier d’avocat.

Souhaitez-vous vous engager de nouveau dans un projet engagé auprès de France Télévisions ?

Il n’y a pas de sujet pour l’instant, mais je trouve important de mêler mon métier à cette cause, pour pouvoir faire bouger les lignes ou en tout cas poser des questions. Peut-être qu’on fera une troisième fiction, je ne sais pas. On est tout de même soumis aux audiences et ce sont des sujets difficiles, donc il faut trouver quelqu’un qui accepte de jouer le jeu et France Télévisions a été formidable là-dessus.

L’article parle de…

Certains vivent d’amour et d’eau fraîche. D’autres de fictions. Entre les deux, j’ai fait mon choix et le monde de l’imaginaire est devenu ma réalité. Dans ce multiverse, je suis conviée chez une famille réputée de Mayfair (La Chronique des Bridgerton), je croise près d’un château, un lord dans sa chemise mouillée (Orgueil et Préjugés, Downton Abbey), j’assume ma misanthropie (Seinfeld, Curb Your Enthusiasm), je vole avec des princes de l’espace (Goldorak, Star Wars), je fais le plein de bonté (Ted Lasso) et je garde le cap (Superman). Aussi, je croise le glaive avec Russell Crowe (Gladiator) et Ryan Gosling, suis les conseils avisés des maîtres du cool (Joe Montana et Steph Curry), me grise de vitesse et de spiritualité (Ayrton Senna), bombe le torse tel le King (Éric Cantona) t je n’oublie pas de me détendre (True Crime, Tueur en séries). Mon quotidien tient en trois mots : Observer. Écrire. Rêver.

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« 52 Waist » : Jennifer révèle son poids et ses conseils diététiques pour un corps tonique

Jenifer Bartoli : Beauté naturelle et bien-être en harmonie

Depuis sa victoire à la première saison de la Star Academy en 2002, Jenifer Bartoli est devenue une figure emblématique de la chanson française. Avec sa voix envoûtante et sa présence lumineuse, elle a su séduire des millions de fans. Mais au-delà de la scène, c’est aussi son équilibre de vie, sa relation saine avec son corps et ses habitudes bien-être qui fascinent.

Un rapport sain et apaisé avec son corps

Lors de ses débuts à la télévision, les médias rapportaient ses mensurations : 1m58, 48 kg et un tour de poitrine affiché à 90C. Une anecdote amusante a émergé depuis : Jenifer avait légèrement triché sur son poids à l’inscription de la Star Academy. Ce petit mensonge, aujourd’hui avoué avec le sourire, révèle surtout une chose – la chanteuse n’a jamais été obsédée par son image.

D’ailleurs, elle l’assume totalement : elle ne possède pas de balance à la maison. Cette décision, loin d’être anodine, traduit un choix de vie. Jenifer refuse de laisser un chiffre définir son bien-être ou dicter son humeur. Elle préfère écouter son corps, se fier à ses sensations et vivre en accord avec elle-même, qu’elle soit légèrement plus mince ou plus ronde selon les périodes.

Des grossesses en douceur et sans pression

Maman de trois garçons – Aaron, Joseph et Juvanni – Jenifer a su traverser ses grossesses sans se laisser envahir par l’angoisse de la prise de poids. Elle n’a jamais cherché à retrouver à tout prix sa silhouette d’avant. Son énergie, elle l’a dirigée vers l’amour et le soin de ses enfants. Une démarche loin des diktats esthétiques qui sévissent parfois dans l’industrie musicale.

Malgré tout, la chanteuse a retrouvé une silhouette harmonieuse, non pas par obsession, mais grâce à une hygiène de vie fondée sur le plaisir et l’équilibre.

Une épicurienne qui prône l’équilibre

Jenifer se décrit comme une « bonne vivante ». Pour elle, manger doit rester un plaisir. Elle ne se prive de rien, mais adopte une stratégie simple et efficace : si elle fait un écart lors d’un repas copieux, elle rééquilibre naturellement le lendemain avec un menu plus léger. Une méthode de bon sens qui lui permet de se faire plaisir sans culpabiliser.

Lors de ses grossesses, elle se souvient notamment de ses envies d’oursins corses, un clin d’œil à ses racines méditerranéennes. Son alimentation est ainsi profondément influencée par ses origines et par une culture culinaire riche, où les produits frais et les saveurs authentiques ont toujours une place de choix.

Des habitudes saines pour toute la famille

Le bien-être, chez Jenifer, se partage en famille. Chaque matin, ses enfants commencent la journée par un verre d’eau citronnée, et en hiver, une cuillère de miel vient renforcer leur système immunitaire. Les sodas sont bannis de sa maison au profit d’une alimentation riche en légumes et en produits sains.

Très attachée à l’éducation alimentaire, Jenifer tient ces valeurs de sa mère, Christine Bartoli, une femme coquette et dynamique qui lui a transmis l’importance du soin de soi. Pendant ses grossesses, la chanteuse prenait d’ailleurs grand soin de sa peau avec des crèmes hydratantes, dans une routine qu’elle applique encore aujourd’hui.

Une routine active mais sans excès

Si elle garde la ligne, ce n’est pas à coups d’entraînements intensifs, mais grâce à une activité physique régulière et modérée. Jenifer aime bouger, danser, marcher – des gestes simples, mais efficaces, pour entretenir son corps sans tomber dans la performance.

En somme, Jenifer Bartoli incarne une approche du bien-être inspirante : naturelle, décomplexée et joyeuse. Elle prouve qu’il est possible de conjuguer plaisir, équilibre et beauté sans se plier aux normes. Un bel exemple à suivre pour toutes celles et ceux qui veulent prendre soin de leur corps en toute sérénité.

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Après 3 jours de vie : Kendji parle pour la première fois de l’état de santé de sa femme et de son fils — “Le problème vient de moi”

Trois jours après la naissance de son premier enfant, Kendji Girac est enfin sorti du silence. Très discret depuis l’heureux événement, le chanteur a pris la parole ce matin sur ses réseaux sociaux pour donner des nouvelles rassurantes concernant la santé de sa compagne et de leur fils, tout juste né. Un moment d’émotion intense, qu’il a tenu à partager avec pudeur et sincérité.

“Tout le monde va bien, Dieu merci. Le bébé est en pleine forme, il mange, il dort, il pleure – bref, il est parfait. La maman se remet doucement mais sûrement. Elle a été incroyable, je suis fier d’elle.”

Mais c’est une autre phrase, presque murmurée, qui a touché le cœur des fans :
“Il y a un problème… Le problème vient de moi.”

Très vite, les réseaux se sont enflammés, certains craignant une mauvaise nouvelle. Mais Kendji a rapidement précisé :

“Le problème, c’est que je suis trop heureux. Je n’arrive même pas à mettre des mots sur ce que je ressens. Quand je regarde mon fils, j’ai le cœur qui explose. C’est comme si j’avais attendu toute ma vie ce moment, et maintenant qu’il est là, je ne sais plus parler.”

Un aveu bouleversant de vulnérabilité, loin des projecteurs et des paillettes. Kendji, l’artiste populaire révélé par The Voice en 2014, dévoile ici une facette profondément humaine et touchante. Père pour la première fois à 28 ans, il confesse vivre « un tsunami d’amour » et redécouvrir le sens des choses simples.

Selon des proches cités par Le Parisien, l’accouchement s’est déroulé sans complication dans une clinique privée du Sud-Ouest de la France. Le bébé pesait environ 3,4 kilos et porte un prénom que le couple n’a pas encore souhaité révéler.

Dans les heures qui ont suivi son message, des milliers de fans et d’artistes lui ont adressé des messages de félicitations et de tendresse. Kendji, visiblement submergé par l’émotion, a conclu avec ces mots simples mais puissants :
“Merci à la vie.”

Un moment suspendu, entre pudeur et amour, qui nous rappelle que parfois, le bonheur est si grand qu’il ne tient plus dans les mots.