Il y a des ruptures qui se font dans le silence, dans le respect, dans une pudeur presque déroutante. Et puis il y a celles qui, malgré tout le calme affiché, laissent planer dans l’air une série de non-dits, d’interrogations, de soupçons à peine voilés. C’est exactement ce qui s’est produit avec Patrick Fiori. Après 13 années de mariage avec Arianne Quatrefages, l’annonce de leur séparation a eu l’effet d’un séisme discret mais profond. Aucun cri, aucun scandale, mais une onde de choc dans le cœur de ceux qui voyaient en eux un couple indestructible. Aujourd’hui, à 55 ans, le chanteur corse brise le silence et, avec le témoignage poignant de son ex-femme, révèle une vérité longtemps tue, marquant un tournant bouleversant dans son histoire personnelle.
Le couple idéal : Une façade brisée par le temps
Patrick Fiori, on le connaît pour sa voix chaleureuse, ses ballades qui touchent droit au cœur, sa sensibilité presque palpable à chaque note. Mais derrière l’artiste se cache un homme avec ses failles, ses choix, ses doutes. Longtemps, son couple avec Arianne a incarné une forme d’harmonie presque idéale. Elle, ancienne Miss Rhône-Alpes, élégante, discrète, mais présente, solide, inspirante. Lui, chanteur au succès constant, père attentif, amoureux fidèle en apparence. Ensemble, ils formaient cette image de stabilité que tant recherchent et que peu atteignent.
Et pourtant, en 2022, tout bascule. Le couple annonce dans un communiqué mesuré leur séparation, sans cri, sans drame, presque avec une tendresse résignée. Mais peut-on vraiment tourner la page aussi simplement après tant d’années, deux enfants et une vie partagée sous les projecteurs ? Très vite, les rumeurs s’infiltrent dans les interstices de cette déclaration paisible. On murmure qu’une jeune femme serait entrée dans la vie de Patrick, une nouvelle compagne de 26 ans sa cadette. Et soudain, la belle histoire prend une tournure plus complexe, plus humaine aussi.
Arianne, la dignité face à la vérité
Dans une interview donnée quelques mois après, Arianne sort de son silence. Elle ne parle pas comme une femme brisée, ni même comme une femme en colère. Elle parle comme une femme lucide. Elle dit qu’elle a accepté “difficilement mais sans haine” que Patrick avait besoin d’autre chose, d’un nouveau souffle. Elle affirme qu’il n’y a pas eu de trahison. Mais dans son regard, dans le choix de ses mots, on sent une blessure que le temps seul pourra apaiser. Il ne s’agit pas d’un règlement de compte, il s’agit d’une reconnaissance. Une reconnaissance de ce que nous pressentions tous depuis un moment sans oser le dire tout haut.
Ce n’est pas tant la séparation qui intrigue, c’est ce que cette séparation révèle de Patrick Fiori lui-même. Derrière l’artiste adulé, il y a un homme qui peut-être a voulu échapper à une vie devenue trop rangée. Un homme qui, à plus de 50 ans, a ressenti le besoin de se réinventer, de revivre quelque chose de différent, d’inattendu, d’inconfortable peut-être. Et dans cette quête, il a laissé derrière lui un équilibre, une complicité, une femme qui l’a soutenu dans l’ombre pendant plus d’une décennie. Arianne, elle, n’a pas crié à l’injustice. Elle a simplement confirmé du bout des lèvres ce que beaucoup soupçonnaient : que l’amour s’était étiolé, que quelque chose s’était brisé et qu’elle avait choisi de ne pas se battre contre ce mouvement intérieur de son compagnon.
C’est peut-être cela le plus fort : ce silence digne, ce courage d’accepter que l’autre ne vous aime plus comme avant, ce choix de ne pas retenir mais de laisser partir. Car derrière la lumière douce des ballades de Fiori, il y a désormais une zone d’ombre que l’on ne pourra plus ignorer. Pas pour juger, mais pour comprendre que même les plus grandes histoires peuvent s’effondrer sans bruit et que parfois les confessions les plus simples en disent plus long que les plus grandes révélations.
Ce qui frappe chez Arianne Quatrefages, ce n’est pas seulement son élégance discrète ou son passé de reine de beauté, mais cette capacité rare à rester droite dans la tempête. Lorsqu’elle a pris la parole pour exprimer son soutien à Patrick après leur séparation, cela n’avait rien d’un discours de façade. Elle n’a pas simplement accepté la nouvelle compagne de son ex-mari. Elle l’a fait avec une bienveillance désarmante, presque dérangeante dans un monde où la rancune est devenue une réaction attendue. Elle a respecté leur choix de suivre chacun leur propre route, comme si aimer quelqu’un, c’était aussi savoir le laisser partir librement. Ce geste en apparence simple était en réalité d’une puissance immense. Il traduisait une sagesse silencieuse, une élégance du cœur.
Arianne n’a jamais joué le rôle de la victime ni de celle qui cherche à retenir le passé. Elle a compris que certaines histoires ne sont pas faites pour durer éternellement, mais qu’elles peuvent se conclure sans déchirer tout ce qui a été construit. Il faut un immense courage pour accueillir la fin sans haine. Et elle l’a fait. Et peut-être que dans ce geste, elle est allée plus forte que jamais.
Une nouvelle vie, un nouveau souffle : La naissance d’Ange
En 2023, la vie de Patrick prend un nouveau virage avec la naissance de son troisième enfant, un petit garçon prénommé Ange, fruit de sa nouvelle relation. C’est une annonce qui a surpris, ému, mais aussi réveillé toutes les curiosités. La presse s’en est évidemment emparée, avide de détails, de photos volées, de noms. Pourtant, Patrick est resté fidèle à lui-même, discret, pudique, presque fuyant face à cette agitation médiatique. Il n’a offert que quelques mots choisis avec soin sur la joie immense que lui procurait la naissance de ce fils. Il ne voulait pas exhiber ce bonheur, il voulait simplement le vivre.
Et une fois de plus, Arianne a fait preuve d’une classe remarquable. Elle a accueilli cette nouvelle étape dans la vie de Patrick avec une sincérité désarmante. Aucun sarcasme, aucune amertume, juste un vœu de bonheur, une bénédiction silencieuse. Cela dépasse l’acceptation. C’est une forme d’amour profond qui ne se dit plus, mais qui continue d’agir en coulisse pour le bien des enfants, pour l’équilibre de chacun. Parce qu’au fond, ce qu’ils ont bâti ensemble continue d’exister sous une autre forme, avec d’autres contours.
La séparation entre Patrick Fiori et Arianne Quatrefages, aussi douloureuse fut-elle, est devenue l’exemple même d’un détachement respectueux. Il y a là une leçon qui manque cruellement à notre époque : celle de savoir rompre avec élégance. Ils auraient pu céder à la tentation du règlement de compte, aux confidences amères, aux petites piques déguisées dans les interviews. Mais non, ils ont préféré protéger leurs enfants, leur histoire et même leur propre dignité.
Un homme transformé : L’artiste et le père
Aujourd’hui, Patrick avance. Il poursuit sa carrière avec la même passion, la même intensité, mais on sent en lui une évolution. Quelque chose a changé, peut-être une certaine gravité, un regard plus profond, un rapport au temps qui n’est plus le même. Il ne chante plus seulement pour séduire ou pour briller. Il chante pour exprimer, pour apaiser, pour raconter. C’est un homme qui a connu la beauté de l’amour, la douleur de la rupture, la complexité de recommencer. Et cela s’entend dans sa voix : une voix marquée par les épreuves, mais qui continue de vibrer avec sincérité.
Cette histoire, derrière ses apparences de conte discret, révèle en réalité toute la complexité de l’âme humaine. On croit connaître les gens, les couples, les artistes, mais ce qu’ils vivent vraiment se joue dans les silences, les regards échappés, les décisions qu’ils prennent loin des caméras. Et Patrick Fiori, à sa manière, a su transformer ses blessures en force, ses détours en chansons, ses silences en poésie. Il n’y a pas eu de scandale, il n’y a pas eu de cris, mais il y a eu une transformation, une mue : un homme qui choisit de continuer à aimer autrement, et une femme, Arianne, qui incarne une forme de dignité rare, de celle qu’on admire en silence.
Depuis sa séparation avec Arianne, c’est un autre Patrick que l’on découvre : moins solaire peut-être, mais plus ancré, plus vrai. L’homme derrière l’artiste se révèle soudain dans sa pleine vulnérabilité. Ce que beaucoup n’avaient pas mesuré, c’est à quel point Arianne avait façonné l’équilibre de Patrick. Elle était là dans l’ombre, dans le quotidien, dans les silences, non pas comme une simple épouse, mais comme un socle, une présence rassurante, une boussole. Perdre cela, ce n’est pas juste vivre une rupture sentimentale, c’est voir sa stabilité intérieure vaciller. Et pour un artiste qui se nourrit de ses émotions, cela devient une révolution intime.
Les premiers mois après la séparation ont été marqués par un paradoxe saisissant. D’un côté, Patrick semblait plus actif que jamais, multipliant les apparitions, les projets, les engagements. De l’autre, dans ses prises de parole, dans ses regards fuyants parfois, une mélancolie nouvelle transparaissait, comme s’il tentait de combler le vide par le mouvement, d’apaiser les douleurs par la création. Mais Patrick n’est pas du genre à se mentir longtemps. Il sait que les vraies blessures ne se guérissent pas dans la frénésie. Alors il a fini par ralentir, par s’autoriser à ressentir, à accepter que même un homme fort, même un père, même un chanteur habitué aux projecteurs a le droit de chanceler.
Cette phase d’introspection, il l’a vécue loin des médias, entouré de ses proches, recentré sur l’essentiel. Son fils aîné, Sévan, est devenu un confident silencieux, un regard d’enfant qui comprend sans parler, qui ressent sans juger. Avec lui, Patrick a redécouvert l’importance des petits instants. Des moments simples mais chargés de sens, des bulles de vérité dans un monde souvent trop bruyant.
Et puis il y a eu Ange, ce petit dernier né d’une nouvelle union, d’une nouvelle page encore à écrire. La naissance d’Ange a bouleversé Patrick au-delà des mots. Il ne s’agissait pas simplement d’agrandir la famille, il s’agissait de se reconstruire, de prouver à lui-même qu’il pouvait aimer à nouveau, qu’il pouvait être un bon père dans une autre configuration, qu’il pouvait donner sans avoir peur de perdre. La présence d’Ange a apporté une lumière douce dans sa vie. Pas un feu d’artifice, non, plutôt une clarté intérieure, une respiration nouvelle. Patrick s’est découvert une patience différente, une écoute plus fine, une tendresse apaisée. Il ne cherche plus à être parfait, il cherche à être présent, et cela change tout.
Professionnellement, cette période a marqué un tournant. Sa musique a pris une autre couleur, moins démonstrative, plus intime. On sent que chaque mot est pesé, que chaque note vient de loin. Ces nouvelles chansons parlent d’amour bien sûr, mais aussi de perte, de transformation, de pardon. Ce ne sont plus seulement des chansons pour séduire ou divertir. Ce sont des confessions, des fragments de lui-même.
Un témoignage de grandeur humaine
Son rapport à Arianne, lui, n’a pas disparu. Il s’est transformé. Une affection silencieuse, une complicité discrète subsiste. Ils ne partagent plus une maison, mais ils partagent une mémoire, des enfants, une histoire. Cela crée un lien indéfectible que le temps ne dissout pas. Lorsqu’ils se retrouvent pour un anniversaire ou une réunion scolaire, on sent ce respect mutuel, cette tendresse retenue. Il n’y a plus d’amour au sens romantique, mais il y a un amour parental, un amour humain que rien ne semble pouvoir briser. Et cela, c’est peut-être le plus beau témoignage de leur grandeur : d’avoir su transformer une rupture en renaissance, d’avoir choisi la paix plutôt que le conflit, de montrer qu’un couple peut mourir sans que tout s’effondre.
Dans une époque où les séparations sont souvent violentes, destructrices, ils offrent une image rare de maturité, un modèle. Du côté de sa nouvelle compagne, peu de choses filtrent. Elle reste en retrait, loin des caméras, et cela semble convenir à Patrick. Après des années d’exposition, il savoure cette bulle d’intimité. Il protège ce nouvel amour comme on protège une flamme fragile. Non pas parce qu’il a peur de la perdre, mais parce qu’il sait que certaines choses ne supportent pas la lumière crue des projecteurs.
Ce choix de discrétion est aussi un choix artistique. Patrick refuse désormais les interviews racoleuses, les confessions forcées. Il préfère s’exprimer à travers ses chansons, ses silences, ses regards. Il a compris que la vraie notoriété ne se construit pas sur les scandales, mais sur la constance, sur l’authenticité. Et en cela, il est devenu plus qu’un chanteur. Il est devenu une figure, un homme qui inspire, qui rassure, qui touche parce qu’il ose être vrai, parce qu’il ne masque pas ses failles, parce qu’il parle à ceux qui ont souffert, qui ont aimé, qui ont perdu.
La vie de Patrick Fiori aujourd’hui n’est pas parfaite. Elle est faite de compromis, d’ajustements, de renoncements. Mais elle est pleine d’émotions, de sens, de liens profonds. Il a traversé une tempête et il en est ressorti plus fort, plus humble, plus vivant. Et peut-être que c’est cela au fond la vraie réussite : non pas de ne jamais tomber, mais de savoir se relever. Non pas d’éviter la douleur, mais de la transformer. Non pas d’avoir tout compris, mais d’apprendre à vivre avec ce que l’on ne comprendra jamais tout à fait.
Patrick Fiori aujourd’hui n’est plus seulement l’interprète de “Que tu reviennes” ou “Les gens qu’on aime”. Il est devenu le reflet de nos propres contradictions, de nos combats silencieux, de nos espoirs tenaces. Il est cet homme qui avance pas après pas, avec le cœur en bandoulière et la pudeur comme étendard. Et c’est peut-être pour cela qu’on l’aime encore plus.
Il y a quelque chose de fascinant chez Patrick Fiori aujourd’hui. Ce n’est plus seulement l’artiste que l’on écoute à la radio ou que l’on applaudit sur scène. C’est l’homme derrière les mélodies, l’âme derrière les sourires, la complexité humaine qui affleure dans chaque mot, chaque geste discret, chaque absence médiatique choisie. Depuis quelques années, il semble avoir pris un virage intime, une lente descente vers ce que l’on pourrait appeler l’essentiel. Fini les grandes déclarations publiques, les apparitions multiples sur les plateaux télé. Patrick a appris à dire non. Non aux sollicitations superficielles, non à l’agitation médiatique, non à ce besoin constant d’être vu pour exister. Ce choix n’est pas anodin, il est courageux, même risqué dans une époque où le silence peut vite être interprété comme une absence, voire un oubli.
Mais lui s’en moque, car il a mieux à faire. Il vit dans la maison discrète qu’il partage désormais avec sa nouvelle compagne, loin des projecteurs. Il a recréé un cocon, une bulle de paix. Cette compagne, que peu de gens connaissent, est un pilier silencieux. Elle ne cherche pas la lumière, ne revendique rien, n’utilise pas son nom. Et cela, pour Patrick, vaut tout l’or du monde. Leur relation est discrète mais solide, fondée sur la simplicité, le respect, le partage du quotidien. Elle l’a vu vulnérable, en reconstruction. Elle l’a aimé dans ses silences, dans ses doutes, dans ses fatigues, et cela crée un lien puissant, presque sacré.
Avec Ange, leur fils, c’est une nouvelle facette de Patrick qui s’est révélée. La paternité, il l’avait déjà connue avec Sévan et Gabin, mais cette fois c’est différent, plus apaisé, moins pressé, moins exigeant envers lui-même. Il a compris qu’il ne fallait pas être un père parfait, mais un père présent. Ange est arrivé dans une période de grande remise en question. Il est devenu une lumière douce, un rythme nouveau. Grâce à lui, Patrick a appris à ralentir, à écouter les silences d’un enfant, à observer les gestes, les regards, à redevenir lui-même un peu enfant, à se reconnecter à l’émerveillement.
Sévan et Gabin, ses deux aînés, restent au centre de sa vie. Leur complicité est palpable. Avec eux, Patrick a instauré un rapport basé sur la confiance, la parole vraie. Il ne leur cache pas ses failles, il leur parle de ses erreurs, de ses choix. Il ne joue pas un rôle, il est simplement leur père, un homme avec ses forces, ses faiblesses, ses espoirs. Certains dimanches, on peut les voir tous ensemble dans un petit village de Corse, où Patrick aime se réfugier loin du tumulte, au bord de la mer. C’est là qu’il se reconnecte à ses racines, à ses origines, à la terre qui l’a vu grandir. C’est là aussi qu’il écrit.
Musicalement, cette période a marqué un basculement. Patrick ne cherche plus à plaire. Il cherche à dire, à transmettre, à toucher ce qu’il y a de plus humain. Ces nouvelles chansons sont parfois moins “radio-friendly”, mais elles vibrent d’une vérité rare. Il y parle du manque, de la reconstruction, de l’amour qui change, de la lumière après la nuit. Ce n’est plus la voix d’un homme qui charme, c’est la voix d’un homme qui a traversé et qui revient non pas triomphant, mais debout, entier.
Lorsqu’il monte sur scène aujourd’hui, ce n’est plus avec la fougue de la jeunesse, c’est avec la gravité tranquille de l’expérience. Il prend son temps, il regarde les gens dans les yeux, il parle parfois longtemps entre deux morceaux. Il raconte, il partage, il crée un lien. Chaque concert devient une sorte de confidence collective. Son public, lui, a grandi avec lui. Ils se reconnaissent dans ses mots, dans son regard. Patrick Fiori n’est plus juste un chanteur, il est un compagnon de route, une voix familière dans les moments de doute.
Ce qui frappe aussi, c’est sa capacité à rester fidèle à ses amis, à ses collaborateurs, à ses valeurs. Il travaille avec les mêmes équipes depuis des années. Il ne trahit pas, il n’oublie pas. Même dans la tourmente, il reste loyal, et c’est peut-être là sa plus grande force. Dans un milieu où tout va vite, où les liens se défont à la première occasion, lui construit sur le long terme. Sa vie est pleine, riche, complexe, et il la mène avec une élégance rare, pas parfaite, non, mais humaine, profondément humaine.
Quand on lui parle d’avenir, il ne donne pas de grande réponse. Il dit simplement qu’il veut continuer à créer, à aimer, à être là pour ses enfants. Il ne se projette pas dans des plans de carrière. Il se laisse porter par la vie, avec ses détours, ses surprises. Il n’attend rien, mais il espère toujours. Et peut-être que c’est ça le secret de sa longévité : cette capacité à se renouveler sans trahir ce qu’il est, à avancer sans renier le passé, à aimer sans posséder, à chanter sans masque.
Il y a quelque chose de profondément inspirant dans son parcours, parce qu’il nous rappelle que la vie ne suit jamais une ligne droite, qu’elle est faite de ruptures, de virages, de recommencements, et que ce n’est pas un échec. C’est simplement la vie, avec tout ce qu’elle a de beau, de dur, de fragile, de fort. Et au fond, c’est peut-être cela que nous cherchons tous : non pas une perfection inaccessible, mais une vérité à habiter, une paix à construire, une sincérité à cultiver. Patrick Fiori n’a pas tout réussi. Il n’a pas toujours tout compris, mais il a aimé, il a perdu, il s’est relevé et il continue avec la même voix, la même émotion, la même foi. Et cela, c’est inestimable.
Il y a quelque chose d’étrangement apaisant chez Patrick Fiori, comme une mer calme après la tempête. Ce n’est pas qu’il ne souffre plus, c’est qu’il a appris à marcher avec ses cicatrices. Elles font partie de lui, de sa voix, de ses silences. Elles ne l’alourdissent pas, elles le rendent vrai. La rupture avec Arianne Quatrefages n’a pas été une parenthèse anodine. Elle a été une bascule, une remise à zéro. Car pendant longtemps, Patrick a cru à cette forme de stabilité presque romanesque. L’amour, les enfants, la maison, les racines. Il l’a construite. Il y a cru de toutes ses forces. Et puis un jour, il a fallu se rendre à l’évidence : même les plus beaux récits connaissent parfois un point final inattendu.
Mais ce qui est bouleversant dans cette histoire, c’est que jamais il n’a nourri de rancœur. Pas une fois il n’a utilisé la scène médiatique pour laver son linge sale. Il n’a pas répondu aux rumeurs. Il n’a pas alimenté les polémiques. Il a préféré le silence, celui qui protège, plutôt que celui qui étouffe. Et elle, Arianne, après de longs mois de discrétion, a fini par reconnaître ce que beaucoup avaient perçu : leur séparation n’était pas un échec, mais une transformation, une évolution, une acceptation mutuelle que leur amour avait changé de forme. C’est cette maturité qui force le respect.
Aujourd’hui, lorsqu’il parle de ses enfants, c’est avec une lumière dans les yeux que les mots ne peuvent trahir. Ils sont sa boussole, son port d’attache. Il ne cherche pas à être un père parfait, juste un père présent, à l’écoute, sincère. La musique est restée son refuge, mais aussi son arme douce. Car Patrick Fiori est de ceux qui ne crient pas. Il murmure, il touche, il creuse des sillons dans les cœurs. Et s’il y a bien une chose qui l’incarne mieux que quiconque, c’est cette résilience discrète, cette façon d’exister sans écraser, de briller sans aveugler. Il ne cherche pas la lumière, elle vient à lui naturellement parce qu’il est resté fidèle à son essence.
Ses fans nombreux et fidèles ne s’y trompent pas. Ils ne viennent pas à ses concerts pour entendre un tube. Ils viennent pour ressentir, pour vibrer, pour retrouver une part d’eux-mêmes dans cette voix qui les accompagne depuis tant d’années. Ils l’ont vu évoluer, grandir, tomber, se relever. Ils l’ont vu changer, oui, mais sans jamais se trahir. Et c’est sans doute là la clé : Patrick Fiori n’a jamais joué un rôle. Il ne s’est jamais caché derrière une façade. Ce qu’il montre, c’est ce qu’il est, avec ses doutes, ses failles, ses forces aussi. Il n’a pas peur de dire qu’il ne sait pas, qu’il ne comprend pas toujours. Il n’a pas peur de montrer qu’il est avant tout un homme. Dans un monde où l’authenticité est souvent sacrifiée sur l’hôtel de l’image, il est une exception.
Ce courage, on l’a vu aussi dans ses engagements. Patrick Fiori ne chante pas seulement pour lui, il chante pour les autres. Il s’engage discrètement, sans chercher les caméras. Il soutient des causes, des associations, des enfants malades, des familles en détresse. Il tend la main sans demander de retour, parce que c’est sa façon d’être, parce qu’il sait mieux que beaucoup ce que cela signifie que de lutter. Et si cette histoire vous a autant bouleversé que nous, si elle vous a touché au cœur comme une chanson de Patrick Fiori, alors ne passez pas à côté de nos prochaines révélations. Abonnez-vous à la chaîne pour ne rien manquer des coulisses, des vérités et des émotions cachées derrière les projecteurs. Partagez cette vidéo avec ceux qui, comme vous, croient que même après une rupture, l’amour et le respect peuvent triompher. Laissez un commentaire pour nous dire ce que vous en pensez, et surtout, restez avec nous, car la vie des stars ne cesse jamais de nous surprendre.
News
Gabriel Byrne : Avant sa mort tragique, la révélation choc de l’acteur sur un passé douloureux bouleverse ses fans
Le 6 septembre 2025, le monde du spectacle a été frappé par une nouvelle tragique : Gabriel Byrne est décédé…
La Turquie attaque Macron : Erdogan quitte l’OTAN et rejoint les BRICS ? Décryptage d’une “Fake News” qui affole l’Europe
Une bombe géopolitique fait trembler l’Europe entière, un scénario digne des thrillers les plus sombres : la Turquie, ce géant…
Jean-Jacques Goldman : À 74 ans, la légende de la musique française lève le voile sur 5 personnes qu’il ne pardonnera jamais – Des douleurs cachées
Mesdames et messieurs, pendant des décennies, il fut l’artiste préféré des Français, un homme discret, sans scandale, sans esclandre, avec…
Le Séisme Politique : Marine Le Pen et Alice Weidel Forment une Alliance Choc qui Fait Trembler l’Europe
Un vent de révolte souffle sur l’Europe, et il prend sa source dans les coulisses discrètes de Paris. Marine Le…
Laura Smet : Après le divorce, la “princesse rebelle” révèle ENFIN son douloureux cauchemar conjugal !
Dans le monde scintillant mais impitoyable du showbiz français, il y a des histoires d’amour célébrées comme des contes de…
Le Déclin de Macron : Giorgia Meloni le “Démonte” en Public – L’Europe à un Carrefour Historique
Dans le tourbillon incessant de la géopolitique mondiale, des moments décisifs peuvent remodeler l’ordre établi et révéler des failles insoupçonnées…
End of content
No more pages to load