Ce mardi 29 avril, Pascal Bataille était de passage sur le plateau de Buzz TV. Face au journaliste Damien Canivez, l’animateur de 64 ans s’est longuement épanché sur son récent combat contre le cancer du poumon et sur les traitements qu’il a subi.

C’est une prise de parole plus que rassurante. Au mois de décembre 2024, c’est le cœur lourd que Pascal Bataille a annoncé, sur le plateau de Ça commence aujourd’hui qu’il était atteint d’un terrible cancer du poumon. « Salut les amis. Aujourd’hui, j’ai une petite vérité à vous dire, importante néanmoins. Depuis deux, trois mois, je me bats contre un cancer du poumon . Et ce combat, je suis sûr que je vais le gagner », avait-il ensuite expliqué, confiant, sur son compte Instagram. Et après avoir subi plusieurs traitements au cours des derniers mois, l’animateur emblématique de Y’a que la vérité qui compte  a ensuite rapidement révélé qu’il était en rémission.

Lors de son passage sur le plateau de Buzz TV, ce mardi 29 avril, Pascal Bataille en a profité pour partager des nouvelles rassurantes concernant son état de santé. « Je vais bien […], je suis en pleine forme, je suis en rémission », a-t-il d’abord tenu à rappeler. Encore reconnaissant d’avoir été « merveilleusement soigné » par les médecins et les soignants qui l’ont accompagné, l’animateur a, par la suite, tenu à en dire davantage sur les traitements dont il a bénéficié. « La recherche a fait des progrès incroyables ! Moi, j’ai eu des traitements qui n’existaient pas il y a 2 ans », a-t-il assuré, encore impressionné par l’avancée de la recherche contre le cancer.

Pascal Bataille altruiste, il appelle aux dons pour une autre maladie : « On peut faire ces progrès-là… »

Après avoir évoqué les nombreux progrès faits dans la recherche contre le cancer, et remercié les nombreux téléspectateurs qui, chaque année, font des dons en faveur de la recherche contre le cancer, Pascal Bataille a ensuite tenu à sensibiliser les téléspectateurs de Buzz TV sur une autre pathologie : la maladie de Charcot. Très engagé dans la recherche contre cette maladie, l’animateur a alors indiqué : « J’en profite à chaque fois pour appeler aux dons pour la maladie de Charcot parce qu’on peut faire ces progrès-là sur la maladie de Charcot. » Une prise de parole utile qui, on l’espère, permettra ainsi aux personnes qui en souffrent d’obtenir des traitements adéquats, à l’image de ceux dont il a pu bénéficier dans son combat contre le cancer du poumon.

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Michel Sardou : Découvrez sa somptueuse villa à Bormes-les-Mimosas… Un véritable paradis caché !

Le chanteur a acheté une immense villa luxueuse dans le Sud de la France.

Il a quitté la Normandie pour une splendide propriété ensoleillée, une immense villa de haut luxe dans le style provençal, avec piscine à débordement, pelouse manucurée, salle de cinéma et vue panoramique sur la Méditerranée. Même s’il est né à Paris, Michel Sardou est du Sud et il y revient ! Après avoir vendu son manoir de Normandie où il vivait depuis 15 ans et soldé sa passion des chevaux de course, le chanteur est devenu l’heureux propriétaire de cette maison de prestige du cap Bénat, à Bormes-les-Mimosas, dans le Var. De là, il domine l’île du Levant et celle de Port-Cros, mais aussi le Cap Nègre où il pourra rendre visite au couple Sarkozy/Bruni qu’il compte parmi ses amis. Il réside dans un domaine privé et sécurisé, au calme. On note aussi l’existence d’un petit port privé à proximité pour les excursions en mer. Le choix est parfait, dans un coin recherché où il fait beau 300 jours par an. De quoi lui rappeler son ancienne maison de vacances en Corse.

Bref, Michel Sardou veut s’offrir le soleil garanti pour les prochaines années… quand il se reposera de ses tournées harassantes. Ses parents étaient méridionaux, avec l’accent. Il s’en est souvenu après avoir vécu à Miami, à Megève et près de Deauville. Sa femme s’est occupée de tout, déménagement, formalités, travaux, embellissement. Lui se laisse vivre, comptant sur sa moitié pour aménager leur paradis terrestre. Les photos laissent deviner une maison spacieuse d’un étage, tout en longueur.

Il reste propriétaire d’un appartement dans le 16e arrondissement de Paris, une ville « que je ne reconnais plus », dit-il avec regret, où il ne retourne que pour remplir ses obligations. La villa « La Sorga » l’attend fin mars au terme de sa tournée. De là, il peut contempler son nouveau décor au pied des plages de sable fin et des falaises baignées de lumière, rafraîchi par la pinède. Ces biens d’exception se négocient plusieurs millions d’euros.