C’est un véritable tremblement de terre politique, et l’onde de choc partie de Rome ébranle Bruxelles jusque dans ses fondations. Au centre de ce séisme : Giorgia Meloni. La femme que la presse française décrivait avec panique comme une “post-fasciste”, une “ultra-droite” dangereuse, n’est pas seulement en train de gouverner l’Italie. Elle est en train de dicter ses propres règles au jeu européen, au point de surprendre ses propres alliés, y compris le Rassemblement National.
Souvenons-nous de l’ambiance apocalyptique lors de son élection en 2022. Les médias français, de Libération à France Inter, étaient en mode panique. On nous prédisait une plongée de l’Italie dans l’autocratie, la fin des droits civiques, une déstabilisation de l’UE. Les termes “néo-fasciste” et “extrême droite” étaient utilisés pour la clouer au pilori avant même qu’elle n’ait pris sa première décision.
Trois ans plus tard, le silence des prophètes de malheur est assourdissant. L’Italie, ce pays habitué à une instabilité chronique – 68 gouvernements depuis 1945, pour une durée moyenne de 13 mois – connaît une stabilité inédite. Meloni tient bon depuis trois ans. L’économie ? Elle croît. Le chômage ? Il baisse. La migration illégale ? Elle diminue, notamment grâce à des accords pragmatiques avec la Libye et la Tunisie. Tous les scénarios catastrophes ont été pulvérisés.
Cette réussite insolente provoque un retournement de veste spectaculaire dans les médias qui l’avaient condamnée. Le Figaro, hier méfiant, la qualifie aujourd’hui de “remarquablement modérée”. Seule la page Wikipédia française, comme un vestige d’une bataille idéologique perdue, s’accroche encore à l’étiquette “d’extrême droite”.
Mais la véritable bombe n’est pas là. La stabilité n’est qu’un prélude. Giorgia Meloni, désormais forte de ses succès et du respect mondial (le Time Magazine la qualifiant de “personnalité la plus intéressante d’Europe”), a décidé de passer à l’offensive. Elle en a assez des “jeux idéologiques” de Bruxelles. Elle l’a dit sans fard : l’Union Européenne est “géopolitiquement insignifiante”, incapable de répondre aux vrais défis, pendant que la Chine et les États-Unis étendent leur pouvoir.

Et maintenant, elle passe aux actes. Une rumeur, bien que démentie officiellement par Rome mais partagée avec enthousiasme par Donald Trump, a mis le feu aux poudres. Meloni planifierait un accord commercial direct entre l’Italie et les États-Unis. Un tel acte briserait net les règles commerciales de l’UE, qui veut que ce soit Bruxelles qui négocie pour les 27. Ce serait une attaque frontale contre la bureaucratie bruxelloise, une déclaration d’indépendance économique.
L’effet est immédiat. À Paris, on dit qu’Emmanuel Macron “bout de rage”. À l’inverse, Marine Le Pen, pourtant alliée idéologique, est surprise par l’audace. “Bien vu,” aurait-elle commenté, “pourquoi Von der Leyen devrait-elle décider de l’économie des pays souverains ?”
Pendant que Meloni agit, la France regarde. Et le contraste est douloureux. Le bilan de la “macronie” est dépeint comme un véritable naufrage. En sept ans de pouvoir, Emmanuel Macron a ajouté plus de 300 milliards d’euros à la dette publique. Les impôts explosent, la TVA ponctionne plus de 127 milliards d’euros, et les fiches de paie “fondent comme neige au soleil”. Le panier moyen a bondi de 22% en trois ans.
Pire encore est le bilan sécuritaire. En un an : +7% de tentatives d’homicide, +7% de violences sexuelles, +6% de trafic de drogue. Le système de retraite s’effondre, les usines ferment. La vidéo-source pose une question brutale : “Pourquoi nos dirigeants s’acharnent-ils à détruire la France ?” La réponse suggérée est cinglante : l’argent. Le système profiterait à une élite au détriment d’un peuple “tétanisé”.
C’est là que la stratégie Meloni prend tout son sens. Elle n’est pas seule. Elle tisse sa toile, non pas contre l’Europe, mais pour une “Europe des nations”. Elle planifie, avec une coalition de pays incluant le Danemark, la Pologne, l’Autriche, la Tchéquie et les pays baltes, une révision fondamentale de la Convention européenne des droits de l’homme. L’objectif : reprendre le contrôle de la politique migratoire, défendre les marges de manœuvre nationales. C’est une gifle monumentale pour les bureaucrates de Bruxelles, qui croyaient pouvoir tout surréglementer.
L’Italie envoie un signal que la France entend cinq sur cinq. “Nous décidons nous-mêmes. Nous protégeons nos citoyens. Nous sécurisons nos frontières.”

En France, la confiance est rompue. Seulement 34% des citoyens font encore confiance à l’UE, et un chiffre similaire au gouvernement. Le président Macron annonce des “virages” économiques ou migratoires, mais ne livre rien. La migration augmente, l’économie faiblit.
Dans ce vide, le Rassemblement National prospère. Il grandit parce qu’il aborde précisément les thèmes que Meloni a mis en pratique : souveraineté, sécurité, règles claires. Le “Front Républicain”, cette vieille alliance pour faire barrage au RN, est mort. Un président de conseil départemental (LR) l’a admis publiquement : le “Front” n’a fait que renforcer le RN, et il faut désormais “examiner les conditions pour une collaboration” pour enfin être “capable d’agir” sur la politique migratoire.
La France semble paralysée, enlisée dans une “crise de modernisation”. Des centaines de projets d’infrastructure sont à l’arrêt, bloqués par des recours environnementaux ou des décisions judiciaires. Le système social craque, supportant les coûts d’une immigration massive tandis que la population vieillit. Le président admet qu’il faudra payer plus pour les retraites et la santé. La France vit, non pas un automne de réformes, mais un “hiver de la désillusion”.
C’est une révolution. Giorgia Meloni montre qu’on peut se défendre, que les intérêts nationaux ne sont pas des “crimes” mais le “seul moyen de protéger un pays”. L’Italie agit. La Hongrie agit. Le message est clair : la France doit agir avant qu’il ne soit trop tard. Le combat n’est plus budgétaire, c’est un combat pour l’identité, le contrôle et l’avenir de l’Europe.

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