Dans les colonnes de Charente Libre, Laurence revient sur son aventure dans L’amour est dans le pré et révèle que son histoire d’amour avec Jean a finalement viré au cauchemar. Pas seulement en raison des moqueries dont elle a fait l’objet, mais car cela l’a mise dans une situation très compliquée avec son employeur…

Laurence restera sans aucun doute gravée dans les annales de L’amour est dans le pré. C’est justement le problème… Lors de l’épisode diffusé le 26 septembre dernier, la Charentaise a fait l’objet d’un baiser langoureux et passionné avec Jean, l’agriculteur pour lequel elle avait fait le déplacement, le tout sous les yeux de sa rivale Nathalie.

La scène est devenue tellement culte que même Julien Doré, téléspectateur assidu du programme présenté par Karine Le Marchand, n’a pu s’empêcher d’ironiser sur l’extrait en question. Mais voilà : la discrète Laurence aurait préféré que sa participation ne fasse pas tant de bruit. La raison ? Cela l’a mise dans une position très délicate vis-à-vis de son employeur…

Comme l’explique la principale intéressée dans les colonnes de Charente Libre, ce n’est pas tant son image mais les conséquences que cela a eu sur son travail qui la dérangent. En effet, cette agent de la fonction publique, affectée à la cantine d’une école maternelle après avoir livré des repas aux personnes âgées, est pointée du doigt par son employeur… car elle était en arrêt maladie au moment du tournage de L’amour est dans le pré.

Laurence était en arrêt maladie
“Elle aurait pu et dû être transparente”, lui reproche le maire de Saint-Yrieix, Jean-Jacques Fournié, qui précise toutefois que la salariée n’est pas dans l’illégalité. En effet, les textes de loi permettent à un agent malade de voyager sur une période courte. Le souci, est-il écrit dans sa convocation, c’est que sa “participation pourrait être considérée comme portant atteinte au fonctionnement interne des services : cela instaure parmi vos collègues un sentiment d’injustice”. En d’autres termes, les collègues de la participante, qui la remplacent, ne digèrent pas de la voir roucouler à la télévision pendant qu’ils croûlent sous le travail.

“Nous avons aussi considéré que son comportement pouvait porter atteinte à l’image de la collectivité et de la fonction publique puisque des personnes âgées avec qui elle était en contact se sont étonnées qu’un agent en arrêt puisse participer à une émission de téléréalité”, ajoute Jean-Jacques Fournier. De son côté, Laurence entend bien se défendre avec l’aide de son syndicat. Elle précise par ailleurs, contrairement à ce que pense son employeur, qu’elle n’a pas touché un centime pour le tournage de L’amour est dans le pré. Une expérience qu’elle ne tenterait pas à nouveau si la chance lui était donnée.

“Je suis dépassée. Si je pouvais remonter le temps, je ne referai pas cette émission. Ça m’a causé trop d’embêtements”, déplore l’intéressée, qui revient notamment sur la scène de son baiser avec Jean : “Quand nous nous sommes embrassés, les caméras étaient à vingt mètres. Je ne croyais pas que ça allait donner ça.” Quant à son histoire d’amour avec l’agriculteur, elle a accepté d’en donner le dénouement à nos confrères de Charente Libre, qui ont de leur côté préféré garder le mystère.

La Rochelle, le 19 juin 2025 – La participation de Laurence, une Charentaise discrète, à l’émission de téléréalité “L’Amour est dans le Pré” a viré au cauchemar, non seulement en raison des moqueries publiques, mais surtout à cause des graves répercussions professionnelles que son passage télévisé a engendrées. Ce qui devait être une quête amoureuse s’est transformé en un véritable casse-tête, la plaçant dans une situation délicate vis-à-vis de son employeur.

Laurence, sans aucun doute, restera dans les annales de l’émission, et c’est précisément là que réside le problème. Le 26 septembre dernier, un épisode a montré un baiser langoureux et passionné entre elle et Jean, l’agriculteur pour lequel elle avait fait le déplacement, le tout sous le regard de sa rivale Nathalie. Cette scène est devenue si emblématique que même des personnalités comme Julien Doré, téléspectateur assidu du programme présenté par Karine Le Marchand, n’ont pu s’empêcher de l’ironiser. Mais cette notoriété inattendue a eu des conséquences désastreuses pour Laurence.

Employée de la fonction publique, affectée à la cantine d’une école maternelle après avoir livré des repas aux personnes âgées, Laurence se retrouve aujourd’hui pointée du doigt par son employeur. La raison ? Elle était en arrêt maladie au moment du tournage de l’émission. Une décision que le maire de Saint-Yrieix, Jean-Jacques Fournier, juge “pas très très malin”, lui reprochant de ne pas avoir été transparente.

Bien que la loi autorise un agent en arrêt maladie à voyager pour une courte période, le problème soulevé par la collectivité est que sa participation à un programme télévisé est perçue comme “portant atteinte au fonctionnement interne des services” et instaurant un “sentiment d’injustice” parmi ses collègues. Ces derniers n’auraient pas apprécié de la voir “roucouler” à la télévision pendant qu’ils croulaient sous le travail. De plus, son comportement a été considéré comme pouvant nuire à l’image de la collectivité, notamment auprès des personnes âgées qu’elle côtoyait, étonnées de voir un agent en arrêt maladie participer à une téléréalité.

Laurence, de son côté, entend bien se défendre avec l’aide de son syndicat. Elle précise n’avoir touché “pas un centime” pour le tournage de l’émission, contrairement à ce que pourrait penser son employeur. Aujourd’hui dépassée par les événements, elle regrette amèrement sa participation. “Si je pouvais remonter le temps, je ne referais pas cette émission, ça m’a causé trop d’embêtement”, déplore-t-elle, ajoutant qu’au moment du fameux baiser avec Jean, les caméras étaient à vingt mètres et qu’elle ne pensait pas que la scène serait montrée ainsi.

Quant au dénouement de son histoire d’amour avec l’agriculteur, Laurence a bien voulu le confier à Charente Libre, qui a préféré garder le mystère pour les semaines à venir. Cette mésaventure souligne les risques inattendus de la surexposition médiatique, surtout lorsque des décisions personnelles se heurtent aux contraintes professionnelles.