Et si, au fond, c’était exactement ce qu’elle avait voulu ? Presque un an jour pour jour après le départ silencieux de Françoise Hardy, un parfum de mélancolie flotte encore dans l’air… mais aussi une étrange sérénité. Car contrairement à Johnny Hallyday ou Charles Aznavour, qui ont eu droit à des cérémonies nationales vibrantes et surmédiatisées, la muse discrète de la chanson française a tiré sa révérence dans un murmure, sans faste ni artifice, fidèle à son image. Pas d’hommages spectaculaires, pas de discours officiels, pas de grand show\… Et pourtant, elle était l’une des voix les plus emblématiques de toute une génération. Alors pourquoi cette retenue ? C’est Jean-Marie Périer, l’homme qui l’a tant aimée et photographiée, qui répond, dans les pages de *Gala*. Pour lui, ce silence n’est pas un oubli : c’est un choix. Françoise ne voulait pas de ces grandes messes collectives. Elle fuyait les projecteurs comme on fuit un piège, préférant l’ombre à la lumière tapageuse. Mais ce silence n’a rien d’un vide. C’est un recueillement. Car ceux qui l’ont aimée, vraiment, n’ont pas eu besoin de caméras pour lui dire adieu. Au crématorium du Père-Lachaise, ils étaient là. Anonymes, discrets, émus. Un dernier au revoir à celle qui, en chantant *Tous les garçons et les filles*, avait mis des mots sur les solitudes adolescentes. Et comme un clin d’œil venu d’ailleurs, la sono qui flanche en pleine cérémonie — un petit désastre technique que Françoise, avec son humour distant et son goût pour les choses imparfaites, aurait sûrement trouvé délicieux. Jean-Marie Périer, dans son témoignage pudique et tendre, rappelle que ce départ sans bruit, c’est peut-être le plus bel hommage qu’on pouvait lui rendre. Car Françoise Hardy n’était pas une idole tapageuse. Elle était une présence, une voix, un regard. Et elle continue de l’être, dans le cœur de ceux qui fredonnent encore ses chansons, seuls, quelque part, dans un coin de mémoire ou de silence.
Il y a un peu moins d’un an, Françoise Hardy nous quittait. Si Johnny Hallyday ou Charles Aznavour ont eu droit aux honneurs du plus haut sommet de l’Etat, l’interprète de “Message personnel” est partie sans bruit, et sans hommages grandiloquents. Dans “Gala”, un homme qui la connaît très bien explique pourquoi…
Françoise Hardy nous a quittés le 11 juin 2024, à l’âge de 80 ans, des suites d’une longue maladie. La disparition de l’icône de la chanson française a laissé sans voix ses admirateurs, qui n’oublieront jamais les refrains de Tous les garçons et les filles, Comment te dire adieu ou Message personnel. Mais, un peu moins d’un an après sa mort, peut-on dire que Françoise Hardy a eu l’hommage qu’elle méritait ? “Non, pas vraiment”, assure à Gala, dans le numéro paru ce jeudi 5 juin 2025, quelqu’un qui la connaît très bien : Jean-Marie Périer.
Le photographe star, qui a immortalisé les plus grands artistes, a partagé la vie de Françoise Hardy, de 1962 à 1966. Malgré leur séparation, ils étaient restés très proches. Et pour Jean-Marie Périer, qui a toujours une affection très profonde par l’inoubliable interprète de L’amitié, les hommages qui lui ont été rendus n’ont pas vraiment été à la hauteur de ce qu’elle était. “Mais Françoise est un peu responsable, assure-t-il toutefois à Gala. Elle n’en voulait pas.” Jean-Marie Périer assure malgré tout que le public n’a pas oublié la maman de Thomas Dutronc : il reçoit régulièrement “des messages de gens très touchés par sa disparition”. “Je n’oublie pas ceux qui se sont déplacés au crématorium du Père-Lachaise pour lui dire au revoir, glisse le célèbre photographe de Salut les copains à Gala. Ils portaient aussi le deuil de leur jeunesse.” Pour Jean-Marie Périer, c’était un moment “très émouvant”.
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“La sono a planté à plusieurs reprises”, lors des obsèques de Françoise Hardy
Jean-Marie Périer, célèbre pour sa “Photo du siècle”, prise le 12 avril 1966 pour le magazine Salut les copains, qui réunit 46 grandes stars françaises de l’époque, trouve, par ailleurs, que la cérémonie organisée au Père-Lachaise, “avec ses cafouillages“, ressemblait à ce qu’était Françoise Hardy. “Comme elle ne souhaitait pas de messe ni de discours, Thomas avait organisé un montage d’extraits d’interviews et de chansons, confie-t-il à Gala. La sono a planté à plusieurs reprises, ce qui, j’en suis sûr, a dû bien amuser la Grande”, le surnom qu’il donne à l’artiste.
Le 20 juin 2024, au Père-Lachaise, “tout le monde a fini par se détendre, poursuit Jean-Marie Périer. Françoise, qui détestait la pompe, n’aurait pas voulu autre chose.” Selon le photographe préféré des Yé-yés, qui est aujourd’hui âgé de 85 ans, l’interprète de Message personnel “ne cherchait pas à plaire”. Et des hommages grandiloquents, elle n’en voulait surtout pas.
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