C’est une confession qui résonne comme un coup de tonnerre dans le ciel de Nashville et de Memphis. À 79 ans, l’icône absolue de la country, Dolly Parton, a décidé de lever le voile sur l’un des chapitres les plus secrets et les plus douloureux de sa carrière. Une histoire de rêve brisé, de business impitoyable et d’un rendez-vous manqué avec le Roi du Rock and Roll, Elvis Presley. Préparez vos mouchoirs, car derrière les paillettes et les sourires légendaires de Dolly, se cache une cicatrice que le temps n’a jamais tout à fait effacée.
L’idole d’une petite fille des montagnes
Pour comprendre la portée de cette révélation, il faut remonter le temps. Bien avant de devenir la superstar planétaire que nous connaissons, Dolly Parton n’était qu’une petite fille pauvre des Smoky Mountains du Tennessee, grandissant dans une cabane d’une seule pièce avec ses onze frères et sœurs. Dans ce quotidien rude, la radio était sa seule fenêtre sur le monde. Et à travers les grésillements du poste, une voix faisait vibrer son âme : celle d’Elvis Presley.
“Sa voix ne ressemblait à rien de ce que j’avais connu,” confie-t-elle avec émotion. Elvis était son héros, son modèle. Il incarnait la preuve vivante qu’on pouvait partir de rien, du Mississippi profond, pour conquérir le monde. Dolly l’écoutait religieusement, rêvant secrètement de croiser un jour sa route, peut-être même de partager une scène avec lui. Elle ne se doutait pas que le destin allait exaucer son vœu de la manière la plus cruelle qui soit.
Le chef-d’œuvre de la rupture : “I Will Always Love You”

En 1974, Dolly Parton écrit ce qui deviendra l’une des plus grandes chansons de tous les temps : “I Will Always Love You”. Contrairement à la croyance populaire, ce n’est pas une chanson d’amour romantique, mais une lettre d’adieu respectueuse à son mentor, Porter Wagoner, dont elle voulait s’émanciper professionnellement. La chanson est un succès immédiat dans le milieu country, touchant les cœurs par sa sincérité désarmante.
C’est alors que l’impensable se produit. Le téléphone sonne. Au bout du fil, le management d’Elvis Presley. Le King a entendu la chanson. Il l’adore. Il veut l’enregistrer. Pour Dolly, c’est l’apothéose. Son idole, l’homme qui a bercé son enfance, veut poser sa voix de velours sur ses mots. “Je ne pouvais pas imaginer un plus grand honneur,” se souvient-elle. La date est prise, le studio réservé. Le rêve est à portée de main.
Le Colonel Parker et la condition inacceptable
Mais à Hollywood comme à Nashville, les contes de fées se heurtent souvent à la froide réalité des contrats. La veille de l’enregistrement, Dolly reçoit un appel du redoutable Colonel Tom Parker, le manager d’Elvis, connu pour sa poigne de fer.
La conversation tourne court. Le Colonel est clair : Elvis n’enregistre rien s’il ne possède pas au moins 50 % des droits d’édition (publishing) de la chanson. C’est la règle. C’est à prendre ou à laisser.
Pour Dolly, c’est un choc violent. Cette chanson, c’est son bébé, son héritage, l’assurance de son avenir et de celui de sa famille. Elle a travaillé trop dur pour céder la moitié de son âme créative, même au King.
Une nuit de larmes et une décision historique
Dolly Parton se retrouve face au dilemme le plus déchirant de sa vie. D’un côté, le rêve absolu d’entendre Elvis chanter ses mots. De l’autre, la protection de son œuvre. “Je suis rentrée chez moi et j’ai pleuré toute la nuit,” avoue-t-elle aujourd’hui. C’était une torture. Dire non à Elvis, c’était comme renier une part d’elle-même.
Pourtant, au matin, la décision est prise. Avec un courage inouï pour l’époque, surtout face à une industrie dominée par les hommes, Dolly dit NON. Elle refuse de céder ses droits. Elvis n’enregistrera jamais “I Will Always Love You”.
Le destin lui donne raison : L’effet Whitney Houston

L’histoire aurait pu s’arrêter là, sur un regret amer. Mais le destin est parfois facétieux. Des années plus tard, en 1992, une autre voix légendaire s’empare de la chanson. Whitney Houston, pour la bande originale du film Bodyguard, en fait l’hymne planétaire que nous connaissons tous.
Le succès est foudroyant. La chanson bat tous les records. Et parce que Dolly avait eu le courage de dire non au Colonel Parker, elle touche l’intégralité des droits d’auteur, une fortune colossale qui assurera sa liberté financière pour toujours. “Quand j’ai entendu Whitney la chanter, j’ai dû m’arrêter sur le bas-côté de la route pour ne pas avoir d’accident,” raconte Dolly. C’était la validation ultime de son sacrifice.
Un regret éternel empreint de douceur
Aujourd’hui, à 79 ans, Dolly Parton ne ressent aucune amertume, mais une douce mélancolie persiste. Elle se demande souvent, dans le silence de sa maison, à quoi aurait ressemblé la version d’Elvis. “Je peux presque l’entendre dans ma tête,” murmure-t-elle.
Elle a appris plus tard qu’Elvis avait chanté cette chanson pour sa femme Priscilla le jour de leur divorce, sur les marches du tribunal. Une anecdote qui serre encore le cœur de la star de la country.
Ce “non” n’était pas un rejet d’Elvis, mais une affirmation de soi. Dolly Parton a prouvé qu’on pouvait aimer ses idoles sans se perdre soi-même. Son histoire est une leçon magistrale de dignité et de vision à long terme. Elvis est parti trop tôt, emportant avec lui cette version fantôme de “I Will Always Love You”, mais grâce à la force de caractère d’une petite femme du Tennessee, la chanson, elle, est devenue éternelle.
Dolly conclut avec cette sagesse qui la caractérise : “Il fut mon inspiration, et d’une certaine manière, il fait partie de cette chanson pour toujours.” Une histoire d’amour musical inachevée, qui continue de nous bouleverser cinquante ans plus tard.

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