🎤 Un silence brisé avec pudeur

Après des mois de silence, David Hallyday prend enfin la parole pour exprimer sa vérité. Sans jamais citer le prénom de Laeticia Hallyday, il évoque avec dignité les blessures nées du conflit autour de l’héritage de son père, Johnny Hallyday.

⚖️ Un héritage contesté, mais pas pour l’argent

Surpris d’avoir été déshérité.

Il ne demande pas de biens matériels, mais le droit moral de gérer l’image et le patrimoine musical de son père, pour lui et ses trois sœurs.

« Un héritage, c’est la preuve qu’on a existé pour un parent », dit-il avec gravité.

🎶 Un lien fort par la musique

Ses premiers souvenirs : Johnny sur scène.

À 12 ans, il monte pour la première fois sur scène avec lui : un moment à la fois malaisé et fondateur.

Leur relation était nourrie par la musique, les discussions sur les filles, le sport, la vie.

👨‍👦 Une relation père-fils marquée par la distance mais l’amour

Il a grandi aux États-Unis avec une mère très protectrice, éloigné du tumulte français.

Johnny était souvent absent, mais à chaque retrouvaille, « c’était comme si on ne s’était jamais quittés ».

Johnny lui a dit qu’il l’aimait, surtout lors de ses dernières hospitalisations.

David se dit touché par ses regrets de père absent, et fier d’avoir chanté avec lui.

🏥 Le choc de l’hospitalisation à Los Angeles

Lors du coma artificiel de Johnny, David dit avoir été profondément troublé par la présence de tant de personnes « hors du cercle familial ».

Il a eu l’impression que son père lui échappait, alors qu’il ressentait qu’« il lui appartenait un peu ».

Il admet que cette période a compliqué les relations avec Laeticia.

💔 Un homme pudique mais profondément touché

Il se décrit, comme Johnny, très pudique.

Leur « je t’aime » n’était jamais public, toujours dans l’intimité.

Il évoque sans amertume, mais avec une grande douleur contenue, le fossé qui s’est creusé autour de son père.

🧠 En filigrane : un appel à la reconnaissance

David Hallyday ne réclame pas vengeance, mais justice symbolique : le droit pour les enfants de Johnny d’avoir leur place dans l’héritage artistique et affectif. Il ne veut pas qu’on oublie qu’il a été là, qu’il a aimé et été aimé.