Un matin ordinaire à Paris. Une valise posée dans l’entrée. Un silence de mort. Et une porte qui claque. À 36 ans, Bertrand Chameroy, le visage lisse et le sourire désarmant du paysage audiovisuel français, vient de quitter brutalement le domicile conjugal. Derrière lui, il ne laisse pas seulement un foyer brisé. Il laisse une femme dévastée, “Elodie”, et un tourbillon de secrets, de rumeurs et de trahisons qui éclatent enfin au grand jour.

Pour le grand public, Chameroy était l’un des rares à échapper aux scandales. Le gendre idéal, l’humoriste fin, presque irréprochable. Mais derrière les projecteurs, un scénario bien plus sombre se jouait. Ce départ n’est pas une simple usure amoureuse. Selon des sources concordantes, c’est le point culminant d’une série de “trahisons soigneusement dissimulées”, une “double vie” qui aurait conduit son épouse au bord du gouffre.

La femme que nous appelons Elodie, pour préserver son anonymat, ne serait plus que l’ombre d’elle-même. Dans un entretien exclusif, sa voix brisée témoigne du cataclysme : “Je vivais au milieu du mensonge. Cet amour n’existait plus, ou peut-être n’a-t-il jamais existé. Chaque jour, je le regardais s’éloigner sans comprendre pourquoi. Maintenant, je sais.” Ces mots froids cachent une douleur brûlante. “Il partageait son cœur ailleurs, ou peut-être même son corps.”

La détresse d’Elodie est telle qu’elle aurait été “internée brièvement dans une clinique privée du 16e arrondissement”. Le diagnostic : “dépression sévère”. Mais derrière les termes médicaux se cache la réalité d’une femme trahie, broyée par l’absence de réponses et le poids d’un soupçon devenu certitude.

Car ce qui a fait exploser le couple, ce ne sont pas des anonymes. Ce sont des noms que tout le monde connaît. Deux figures incontournables du PAF, deux personnalités aux antipodes l’une de l’autre, qui se retrouvent au centre d’un “triangle infernal” : Cyril Hanouna et Anne-Élisabeth Lemoine.

L’ombre de Cyril Hanouna plane, lourde et ambiguë. Des confidences filtrent sur des “dîners tardifs” entre les deux hommes, hors caméra, dans une “proximité troublante”. Des “échanges intenses” que des collaborateurs auraient surpris. La complicité à l’écran, visible dans “Touche pas à mon poste”, ne serait que la partie émergée de l’iceberg. Hanouna lui-même, interrogé, a joué la carte du flou, lâchant un “Bertrand, c’est un gars que j’adore et que je connais très, très bien”, accompagné d’un sourire entendu qui n’a fait qu’alimenter l’incendie.

La rumeur d’une liaison secrète entre les deux animateurs est ce qui aurait poussé Elodie à “craquer en direct”. Dans une vidéo devenue virale, elle raconte son “enfer”, suggérant à demi-mot l’existence de “messages supprimés” et d’une “tendresse étrange” qu’elle n’avait “jamais vue entre deux amis”.

Puis, il y a Anne-Élisabeth Lemoine. Presque en parallèle, une “étrange complicité naissante” se serait développée sur le plateau de “C à vous”. Loin de l’exubérance de Hanouna, cette relation serait plus feutrée, mais tout aussi dévastatrice. Des témoins parlent d’une “gêne perceptible” lorsque le nom de Bertrand est prononcé, d’un “regard fuyant” et d’une “sensibilité accrue”.

Le point de bascule ? Une soirée d’après-tournage où Bertrand et “Babeth” auraient “quitté les lieux en même temps”, disparaissant “plusieurs heures”. Quelques jours plus tard, Lemoine aurait été vue “en larmes dans les coulisses”. Un technicien confie : “Elle tremblait. Quelqu’un a évoqué le nom de Bertrand et son visage s’est figé.”

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L’humiliation suprême pour Elodie aurait été de croiser Lemoine lors d’une soirée parisienne. “Je ne savais pas qu’elle serait là”, raconte-t-elle, la voix étranglée. “Quand je l’ai vue, j’ai eu l’impression que tout tournait. Elle m’a regardé avec ce sourire… ce sourire de celle qui sait.” Ce regard aurait provoqué une “crise d’angoisse” en plein trottoir.

Face à ce double front, Elodie s’est effondrée. Elle partage même un enregistrement audio, d’une voix masculine semblant être celle de Bertrand, qui souffle à un interlocuteur inconnu : “Je ne peux plus continuer à mentir. Je ne ressens plus rien avec elle.” Un choc. La preuve finale qu’elle n’était plus qu’un obstacle dans la nouvelle vie de son mari.

Et Bertrand Chameroy, dans tout ça ? L’animateur, au centre de ce “Bertrand Gate”, s’est emmuré dans un “silence terrible”. Aucune déclaration, aucun démenti. Ce mutisme intrigue et blesse. Est-ce une stratégie de communication, un aveu dissimulé, ou la peur d’affronter une vérité trop lourde ? Pour Elodie, ce silence est “un aveu cruel”.

Des proches de l’animateur parlent d’un “tourment intérieur profond”. Bertrand serait “tiraillé” entre son image publique, ses “désirs personnels longtemps réprimés” et un amour conjugal qui s’étiolait. Il aurait “glissé dans un engrenage” qu’il ne maîtrise plus. “Le Bertrand d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier. Et peut-être ne l’a-t-il jamais été”, souffle un ancien collègue.

Sur les réseaux sociaux, le public se déchire. Certains crient au lynchage médiatique, d’autres exigent des explications. Le hashtag “#JusticePourElodie” fleurit, témoignant de l’empathie pour cette femme laissée “au bord du chemin”.

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Ce qui devait rester un drame intime est devenu un feuilleton public dévastateur. L’image du gendre idéal s’est fissurée, révélant un “visage caché” complexe et tourmenté. Loin des rires et des paillettes, l’histoire de Bertrand Chameroy est celle d’un homme de 36 ans qui, en cherchant sa vérité, a peut-être “volé la vie” de celle qui l’aimait. Elodie, elle, termine sa vidéo par un cri de guerre : “Il m’a volé ma vie, mes repères et peut-être ma santé mentale. Mais je ne le laisserai pas me voler ma voix.” Le miroir est brisé. Et l’histoire ne fait que commencer.