Il y a des émissions de télévision conçues pour une seule chose : faire sauter les verrous de l’intime et capturer l’émotion à l’état pur. “La boîte à secrets” est la maîtresse en la matière. Mais ce soir-là, ni la production, ni Faustine Bollaert, ni même le public ne s’attendaient à ce que l’invité principal, le roc d’énergie comique Arnaud Ducret, ne soit à ce point submergé. L’armure du showman, de l’acteur populaire, de l’homme qui vit à cent à l’heure, s’est fissurée puis a volé en éclats. La cause ? Quelques mots, une voix. Celle de son fils.
Arnaud Ducret, c’est d’abord un sourire, une gouaille, une présence physique qui remplit l’écran. Qu’il soit prof de sport dans “Les Profs” ou enchaînant les sketchs sur scène, il incarne une certaine idée de la force comique, un homme qui maîtrise les rires comme personne. Mais ce soir-là, il n’était plus question de maîtrise. Assis dans le fauteuil blanc de l’émission, il s’attendait à des surprises, à des souvenirs, à de la nostalgie. Il n’était pas préparé à une déclaration d’amour d’une telle magnitude.
La surprise vient de son fils, Oscar. L’adolescent n’apparaît pas en plateau, mais sa voix résonne, et chaque mot est un coup de poing d’amour en plein cœur de son père. Le message commence par planter un décor, celui d’une vie hors-norme, loin du pavillon et du “métro-boulot-dodo”.
“Je n’ai pas grandi dans une maison comme les autres”, commence Oscar. L’attention d’Arnaud Ducret est déjà à son comble, son regard fixé, comme s’il tentait de se préparer à l’impact. “Moi, j’ai grandi dans les loges, entre deux plateaux et dans les coulisses.”
En une phrase, le décor est planté. Celui d’un “fils de” qui aurait pu souffrir de l’absence d’un père célèbre, accaparé par sa carrière. Mais c’est tout l’inverse qui se produit. Le témoignage d’Oscar n’est pas une plainte, c’est un poème, une ode à un père qui a réussi l’impossible : être une star tout en restant un “papa”.
“Bon, j’avoue que dit comme ça, ça fait un peu Cluedo”, s’amuse le jeune homme, montrant qu’il a hérité de l’humour paternel. Puis il enchaîne, et c’est là que l’émotion d’Arnaud Ducret commence à déborder. “Et ça, c’est parce que tu m’emmènes partout avec toi. Et même quand tu es occupé, tu n’es jamais loin.”
Le comédien baisse la tête, sa lèvre inférieure commence à trembler. L’image est saisissante. L’homme qui fait rire des millions de Français est en train de perdre sa bataille contre les larmes. Son fils continue, enfonçant le clou de la tendresse, racontant ce père qui, malgré un emploi du temps de ministre, ne sacrifie jamais l’essentiel : “Quitte à faire des allers-retours juste pour me voir. Je crois que l’important pour toi, c’est de passer le plus de temps possible avec moi.”

C’est une chose d’être un père aimant. C’en est une autre de l’entendre, formulé avec une telle clarté par son propre enfant, sur un plateau de télévision national. La caméra, impitoyable et magnifique, ne lâche pas le visage d’Arnaud Ducret. Les larmes coulent maintenant sans retenue sur ses joues.
Oscar partage ensuite les détails de leur “truc à eux”, de leur jardin secret. “Tu me faisais rire. D’ailleurs, les ‘botages’ et les imitations, c’est un peu notre truc, non ?” Il évoque leurs classiques : l’imitation de “la goutte d’eau”, les scènes cultes des “Bronzés font du ski” qu’ils rejouent en boucle, les voix de doublage de séries américaines. Oscar livre même un exemple tordant : “Salut à tous, c’est Justice Spears, j’ai 14 ans et puis je suis inscrit à l’équipe de basket de Tford…”
À travers les sanglots, un rire s’échappe. Arnaud Ducret pleure et rit en même temps, un spectacle d’une humanité rare. Il est touché au-delà des mots.
Mais le coup de grâce, le détail le plus intime et le plus puissant, concerne leur passion commune pour le cinéma. “On a même tourné des films”, rappelle Oscar, avant de livrer cette confidence qui achèvera son père : “Et quand tu donnes le tien, mien aussi. Quand tu tournes la tête vers moi pour savoir si j’ai aimé… parce que… parce que ça compte pour toi.”
C’est trop. Pour Arnaud Ducret, cette simple phrase résume tout. Elle dit que l’avis de ce gamin, son fils, compte plus que celui des critiques, plus que le box-office. Le comédien est maintenant totalement effondré, la tête entre les mains, le corps secoué de sanglots. Il n’y a plus d’acteur, plus de star, juste un père bouleversé.
La voix d’Oscar conclut, avec la simplicité dévastatrice de l’amour pur : “Merci d’être tout ça. Je t’aime.”
Sur le plateau, le silence est total, avant que Faustine Bollaert, elle-même très émue, ne tente de reprendre la main. Mais Arnaud Ducret est ailleurs. Il lève la tête, le visage inondé, et lâche, dans un mélange de rire et de pleurs : “C’était gênant… des malades… Vous êtes des malades ! Là, WOU… alors là, franchement, vous êtes fous.”

Ces mots, “vous êtes des malades”, sont la plus belle des déclarations. C’est la pudeur d’un homme qui ne sait plus où se mettre, qui est submergé par une vague d’amour si forte qu’elle en devient presque “gênante”. Il reprend son souffle, s’essuie les yeux, et confirme ce que tout le monde a compris : “C’est… je suis content. Ça me fait plaisir qu’il dise ça.”
Ce moment de télévision restera. Il restera parce qu’il est vrai. Il a montré aux téléspectateurs l’homme derrière le masque comique : un père aimant, un “papa” dont la plus grande fierté n’est pas sa réussite professionnelle, mais cet lien indéfectible qu’il a tissé avec son fils, au cœur même du tourbillon de sa vie, dans les loges, les coulisses et les allers-retours juste pour le voir.
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