Benjamin Duhamel a fait sa rentrée ! Ce lundi 25 août, le journaliste a fait ses débuts sur les ondes de France Inter, où il est le nouveau visage de La Grande Matinale, suite à son départ de BFM TV, après cinq ans de bons et loyaux services. Pour l’occasion, le présentateur était l’invité de l’émission Quotidien diffusée sur TMC ce mercredi 10 septembre. Yann Barthès en a donc profité pour en savoir plus sur celui qui est issu d’une famille de journalistes expérimentés, étant le fils de Patrice Duhamel, journaliste et ancien directeur général de France Télévisions et de Nathalie Saint-Cricq, responsable du service politique de France 2. Après avoir rappelé qu’il avait travaillé pour RTL, LCI et BFM TV, l’animateur du talk-show a déclaré : «On vous connaît bien et en même temps on vous connaît peu», avant de demander à son interlocuteur : «Qui êtes-vous en trois phrases ?».

Benjamin Duhamel s’est alors prêté au jeu en révélant trois faits méconnus sur lui. Dans un premier temps, il a d’abord révélé son âge, sur lequel de nombreux médias font erreur. «J’ai 31 ans, contrairement à tous les articles qui disent que j’ai 30 ans et qui essaient définitivement de me rendre plus jeune. (…)», a-t-il lancé. Le journaliste a ensuite dévoilé être «un peu maniaque [en ce qui concerne] l’organisation» et adorer «la variété française et le karaoké (…)». Suite à ces confidences, Yann Barthès lui a posé la question suivante : «Il paraît que l’anxiété vous ronge ?». Ce à quoi le compagnon d’Agathe Lambret a répondu : «Oui c’est vrai ! (…)», précisant que cette émotion arrive «plutôt avant le direct» d’une émission qu’il présente.

Benjamin Duhamel évoque son stress avant les interviews

Face à Yann Barthès dans Quotidien, Benjamin Duhamel a alors levé le voile sur son anxiété. «J’ai souvent été frappé par des gens qui disaient : ’Olala, mais on a l’impression que tu as fait ça toute ta vie !’. Je leur dis : ’Mais vous ne vous rendez pas compte les états dans lesquels je me mets avant de faire des interviews’», a-t-il expliqué, avouant ensuite : «Je me ronge les ongles, je suis capable de ne pas dormir. J’espère que ça ne se voit pas trop quand je suis à l’antenne, mais en vrai, je suis comme ça oui». Une manière sincère pour le journaliste de rappeler que, derrière le calme apparent, l’anxiété peut faire partie du quotidien et ce, même sous les projecteurs.