D’après les informations du “Parisien” relayées ce 10 septembre 2025, Julien Cohen, ex-visage phare de l’émission “Affaire conclue” diffusée sur la 2, aurait été visé par plusieurs plaintes pour des faits de harcèlement et violences… Explications !

De 2017 à 2021, Julien Cohen s’est illustré en tant qu’acheteur dans l’émission Affaire Conclue auparavant présentée par Sophie Davant sur la 2. Très apprécié des téléspectateurs, l’intéressé défraye à ce jour la chronique comme l’ont rappelé les équipes du Parisien ce mercredi 10 septembre 2025. Actuellement en pleine procédure de divorce avec sa femme Karen Ohana-Cohen, Julien Cohen qui est à ce jour actionnaire de l’hôtel du Relais Fleuri, niché près d’Avallon (Yonne) traverse actuellement une période particulièrement délicate.

Depuis cet été, l’établissement serait tout bonnement fermé à cause du conflit qui l’oppose à ce jour à son ex-compagne qui en est la gestionnaire. Mais certains de ses employés semblent également le craindre. “J’ai très peur qu’il vienne, j’ai peur de ses réactions“, a confié l’une d’elles qui a décidé de rester contre vents et marées. Toujours selon nos confrères, Julien Cohen aurait “demandé au tribunal de commerce d’Auxerre la nomination d’un administrateur judiciaire“. Depuis juillet, son ancienne femme aurait aussi repris “le contrôle des lieux“, en licenciant notamment la directrice pour “fautes graves“. Karen Ohana-Cohen semble avoir mis à pied plusieurs salariés.

Julien Cohen rien ne va plus avec son ex-compagne : leurs employés plus divisés que jamais

Cette affaire n’est qu’une question de chiffres, et pas autre chose, a regretté la star qui assure que celle qui a partagé sa vie serait avant tout une Parisienne “oisive” prête à tout pour arriver à ses fins et qui “exècre” en prime “la campagne“. Côté coeur, celui qui fut dernièrement aux casting de The Island semble avoir retrouvé le sourire dans les bras d’une nouvelle compagne. Un bonheur qu’il prend désormais plaisir à afficher sur la Toile tout en continuant de soutenir ses salariés bourguignons. Certains d’entre eux auraient d’ailleurs créé un groupe WhatsApp baptisé “Team Julien” pour se rallier à “monsieur“.

Avant la grande rentrée de septembre, un mot d’ordre aurait circulé entre eux pour mettre des bâtons dans les roues de Karen Ohana-Cohen : Il ne faut pas travailler avec elle“. “Depuis six mois, mon patron était Monsieur Cohen, quand il m’a demandé de rester je l’ai fait”, a rapporté une employée licenciée qui a continué de se rendre l’hôtel malgré la fin de son contrat. Durant cette période, des réservations auraient été annulées accentuant ainsi l’accumule des factures. Autre détail frappant : le cahier de consignes de l’établissement aurait tout bonnement “disparu”, a glissé une autre “du camp de madame“.

Contacté par le Parisien, le parquet d’Auxerre a assuré avoir ouvert une enquête à ce jour confiée à la gendarmerie d’Avallon, à la suite de “plusieurs plaintes” déposées à l’encontre de Julien Cohen, dont certaines proviendraient… d’employés. La première pour des faits de violences, a été déposée par Karen Ohana-Cohen à Paris. Cette plainte finalement classée sans suite avait valu à son célèbre époux une garde à vue. Dans la région, les rumeurs vont bon train ! Aux yeux de certains, Julien Cohen serait accusé d’être “hautain” voir “imbuvable” quand d’autres ne tarissent pas d’éloges à son sujet en vantant “son énergie” et ses importants investissements dans le secteur.

Une délicate situation qui “laisse les salariés dans une grande détresse et précarité”

C’est un type malin avec un ego démesuré“, a lâché une “relation parisienne” du businessman. “Vous connaissez beaucoup de gens, qui impriment des billets de banque à leur effigie ?“. Plus discrète, Karen Ohana-Cohen semble échapper aux commentaires en tous genres que ce soit à Paris ou à Avallon. Brillant par son absence depuis plusieurs mois, elle aurait fixé plusieurs entretiens avec les salariés écartés… Avant de les annuler ou en ne s’y rendant pas. “La situation est extrêmement confuse, et laisse les salariés dans une grande détresse et précarité“, a regretté Anthony Kessler, cosecrétaire de Solidaires dans l’Yonne, qui a orchestré une conférence de presse de la “Team Julien“, le 3 septembre.

Avant que l’affaire n’éclate dans la presse, un commerçant a affirmé à nos confrères qu’il voyait souvent la petite Smart de madame” circuler sur la départementale. “Aujourd’hui c’est une femme qui a peur, qui a besoin de s’exprimer et qui a besoin d’être crue : elle subit depuis des années un véritable contrôle coercitif dont elle veut aujourd’hui se défaire. C’est ce qui est en jeu ici, affirme son avocate, Me Isabelle Pinto, qui a déposé une demande de protection auprès du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour la protéger. Aux dernières nouvelles, l’audience en référé devrait se tenir la semaine prochaine. Karen Ohana-Cohen raconte “un décalage” entre l’image publique quasi-parfaite qu’ils ont longtemps véhiculé et une réalité beaucoup plus sombre.

Des violences en tous genres rapportés par des témoins, les langues se délient !

Aux côtés de Julien Cohen, elle aurait vécu l’enfer. Son quotidien aurait principalement été marqué par des dénigrements constants suite une première tentative de séparation, en 2020. Plusieurs témoins auraient été “gênés” des nombreuses paroles humiliantes que le père de famille aurait eu à l’égard de sa moitié. En plus de violences physiques alléguées, s’ajouteraient des intimidations, menaces et insultes “quasi quotidiennes. En pleine tourmente, Karen Ohana-Cohen aurait affiché des traces de bleus suite à une altercation survenue en août dans le jardin du Relais Fleuri, raison pour laquelle elle se serait vu octroyer cinq jours d’ITT.

Des “d’intimidations proférées contre des gêneurs” auraient également été rapportés. Une autre plainte pour des menaces de mort aurait été déposée l’an dernier à l’encontre de Julien Cohen par l’une de ses voisines résidant à Bagnolet. “Il dit les choses, il est cash, mais on peut parler avec lui”, a assuré un brocanteur, locataire d’un de ses espaces de vente. Au printemps, la boîte mail professionnelle de Karen Ohana-Cohen – qui a décidé “de rompre tout contact” en novembre 2024 aurait mystérieusement été supprimée.

Il s’y trouvait 20 ans de mon travail et de ma vie, regrette-t-elle. “Ma femme n’a jamais géré mais elle a toujours été actionnaire à 50 % de mes entreprises. Quand on se sépare, alors qu’elle pourrait toucher la moitié du prix de chaque vente, elle refuse des ventes immobilières sur lesquelles on était associés. Elle veut me faire tout perdre“, a ajouté Julien Cohen pour sa défense. Quant à ses employés du Relais Fleuris, ils attendent la suite des événements puisqu’une audience aux prud’hommes est prévu pour la fin du mois. Affaire à suivre…