L’héritage d’un amour éternel : le jardin immense d’Anny Duperey et Bernard Giraudeau, s’étendant sur plus de 4 hectares et d’une beauté envoûtante, appartient désormais à Sara Giraudeau
Sara Giraudeau, que les téléspectateurs retrouvent ce lundi soir sur France 3 dans Le sixième enfant, ne porte pas seulement son propre parcours d’actrice. Elle est aussi l’héritière d’un pan d’histoire familiale profondément lié à la Creuse, là où sa mère, Anny Duperey, a façonné un domaine de quatre hectares durant près d’un demi-siècle. Ce lieu n’est pas une simple maison de campagne entourée d’un jardin : il incarne quarante-cinq ans d’efforts, de passion et de sacrifices financiers. Aujourd’hui, une page se tourne. Anny Duperey, lucide face aux contraintes de l’entretien, a choisi de transmettre ce domaine à ses enfants tout en continuant à y vivre et à le chérir, mais d’une manière différente, plus raisonnable.
L’histoire de cette propriété remonte aux premières années de gloire de Bernard Giraudeau. Avec son tout premier cachet de cinéma, il avait acquis cette maison à Châtelus-Malvaleix, un petit village de cinq cents habitants. C’est là que lui et Anny Duperey ont commencé à bâtir ensemble un univers à part. Lui était un pionnier, défrichant, inventant, imaginant. Elle, patiente, se chargeait de la culture et du soin quotidien. Quand leur chemin s’est séparé puis que Bernard est parti trop tôt, c’est seule qu’Anny a pris sur elle la responsabilité de préserver ce coin de paradis.
Mais entretenir un tel espace a un coût immense. Dans une interview accordée au Figaro, l’actrice a confié que « presque tous ses revenus y étaient passés ». Face à cette réalité, elle a pris la décision de réduire la taille des massifs de vivaces, de transformer certaines parcelles en pelouse, et surtout de céder la propriété à ses enfants Sara et Gaël. Un choix à la fois pragmatique et affectif, qui permet de limiter les dépenses tout en maintenant le domaine dans le giron familial.
Pourtant, rien ne prédestinait Anny Duperey à devenir jardinière. Née à Rouen, citadine jusqu’au bout des ongles, elle se désintéressait autrefois complètement des plantes. C’est en arrivant en Creuse que la passion est née. À force de mettre les mains dans la terre, de découvrir peu à peu les rythmes de la nature, elle a apprivoisé ce monde végétal et s’y est épanouie. Sur TF1, elle racontait que Bernard aimait les débuts, l’énergie de la création, mais que l’entretien quotidien ne l’attirait pas. Elle, en revanche, est restée fidèle, saison après saison.
Aujourd’hui, le jardin recèle encore de véritables trésors. Des rosiers innombrables se répandent sur les façades de la demeure et de l’ancien four à pain. Deux séquoias géants, plantés il y a trente ans, culminent désormais à plus de cinquante mètres, un exploit exceptionnel. Et au bord d’un chemin, un saule pleureur déploie sa silhouette élégante, comme un gardien bienveillant de cette terre. Chaque arbre, chaque fleur raconte une part de l’histoire familiale.
En choisissant de transmettre, Anny Duperey n’abandonne rien. Elle continue à habiter dans ce havre, à savourer sa beauté, mais désormais sans le poids écrasant d’une gestion totale. Le domaine devient une mémoire vivante, à la fois héritage de son amour passé avec Bernard et legs pour ses enfants. C’est aussi un lieu de ressourcement, où elle trouve toujours la paix intérieure et la joie simple d’être entourée de nature.
Anny Duperey hérite d’un surnom qu’elle assume avec tendresse : celui d’« actrice-jardinière ». Car derrière la comédienne reconnue et l’auteure respectée, il y a une femme profondément attachée à la terre, à ses racines et à cette maison nichée dans la Creuse, qui incarne pour elle un refuge, un socle, un pan entier de sa vie.
Cette demeure, c’est Bernard Giraudeau qui l’avait achetée, bien avant leur rencontre. Ensemble, ils y ont vécu dix-huit années d’amour, avant de se séparer en 1991. Pour Anny Duperey, ce lieu garde la mémoire de cette histoire fondatrice et continue d’être une part essentielle de son quotidien. Dans les confidences qu’elle a livrées au fil des ans, elle décrit avec une émotion sincère ce qu’elle appelle son « métier de luxe » : le jardinage.
Lors d’une interview accordée au Salon de l’Agriculture en 2015, elle confiait avec humour et fierté : « Comme j’ai un grand jardin, il n’y a rien chez moi qui fasse moins de 60 centimètres : les violettes, les pensées, sur deux hectares, ça ne se voit pas ! ». Elle parle de la terre comme d’une alliée, un miroir silencieux qui lui a permis de se reconstruire après les épreuves de son enfance marquée par la perte tragique de ses parents.
Son amour pour les animaux complète ce portrait de femme en harmonie avec la nature. Elle ne cache pas sa passion pour les chats et les poules, à qui elle a même consacré un ouvrage singulier : Le poil et la plume (Seuil, 2011). Ce manuel, à la fois drôle et tendre, est devenu une référence, tant il révèle sa sensibilité et son regard bienveillant sur ces créatures souvent méconnues.
La maison de la Creuse est bien plus qu’une simple résidence secondaire. Pour Anny Duperey, elle représente un pont vers le passé, une racine solidement ancrée après tant d’années de déracinement. Elle y trouve un équilibre vital, une « prise de terre », selon ses propres mots. Bernard avait entrepris les travaux lui-même, pièce après pièce, avec ses mains d’homme curieux et bâtisseur, tandis qu’Anny façonnait les quatre hectares du jardin avec patience et passion. Chacun y a laissé son empreinte, et ensemble ils y ont écrit une histoire indélébile.
Leur couple, qui s’était officialisé au Festival de Cannes en 1981, a marqué toute une génération. Parents de deux enfants, Gaël né en 1982 et Sara en 1985, ils ont longtemps partagé leur temps entre Paris et cette maison champêtre. Bernard, voyageur dans l’âme, aimait concevoir et bâtir, tandis qu’Anny, plus casanière, cherchait dans ces terres un ancrage, une continuité. Après leur séparation, elle décida de racheter la maison, la transformant en un véritable havre familial.
Ce refuge prend encore plus de sens lorsqu’elle évoque ses moments de solitude ou les périodes de doute. Pendant le premier confinement en 2020, elle était restée à Paris, dans sa maison de Montparnasse. Loin de la Creuse, elle a dû trouver d’autres échappatoires : la couture, la peinture, ou encore les échanges numériques avec ses enfants. « J’ai la chance incroyable d’être une manuelle », expliquait-elle, soulignant combien ses mains l’aident toujours à rester en mouvement, à garder un équilibre malgré l’angoisse ambiante.
Mais au-delà des passions, Anny Duperey fait preuve d’une force intérieure qui force le respect. Depuis plus de douze ans, elle lutte contre une maladie de la thyroïde et doit composer avec un traitement, le Levothyrox, qui lui provoque des effets secondaires difficiles à supporter. Elle ne s’en cache pas et s’est même faite la porte-voix de nombreux patients en France, interpellant directement les autorités sanitaires. Ses mots résonnent comme un cri de colère et de dignité : « Rendez-nous l’ancienne formule du Levothyrox ! Ou au moins laissez-nous le choix ». Derrière son combat personnel, elle défend une cause collective, celle de milliers de malades confrontés au même problème.
Aujourd’hui encore, à 75 ans, malgré les douleurs et la fatigue, elle continue de se tenir droite. Elle cultive son jardin comme on cultive un trésor, elle entretient ses liens familiaux avec tendresse, et elle poursuit son œuvre littéraire avec patience. Son « métier de luxe » n’est pas seulement celui d’une jardinière passionnée : c’est aussi celui d’une femme qui, malgré les tempêtes, a su transformer la terre en force, la nature en alliée, et sa maison de la Creuse en symbole d’amour et de résilience.
Ainsi, derrière les projecteurs qui braquent Sara Giraudeau, c’est une autre histoire, plus intime, qui se dessine : celle d’une famille liée à une terre, d’une mère qui a transformé son rapport à la nature et d’une transmission discrète mais essentielle. Dans ce village de la Creuse, loin du tumulte des villes, Anny Duperey poursuit son chemin, en harmonie avec ce jardin qu’elle a façonné et qui, à présent, appartient aussi à ses enfants.
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