Chassée “gentiment” par ses voisins du 16ᵉ arrondissement de Paris en raison du bruit causé par sa meute de chiens, Mylène Farmer a dû quitter son cadre de vie habituel pour trouver un nouveau refuge, plus éloigné du centre de la capitale. Selon le magazine Public, l’attachement de la chanteuse à ses compagnons à quatre pattes était trop fort pour envisager une séparation. La seule solution fut donc de déménager. Après plus de vingt ans passés dans sa célèbre villa de Montmorency, l’icône de la musique française a refermé un chapitre de sa vie pour en ouvrir un autre, sur les collines verdoyantes de Saint-Cloud.

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Là-bas, Mylène Farmer a trouvé un espace vaste de 2000 m², où elle peut savourer la tranquillité aux côtés de ses chiens sans craindre de froisser le voisinage. À 61 ans, la star la plus énigmatique de l’Hexagone suscite une nouvelle fois la curiosité en choisissant pour demeure une maison de maître datant du XIXᵉ siècle. À la fois ancienne et raffinée, cette bâtisse se niche au cœur d’un écrin de verdure, à l’écart de l’effervescence parisienne. Ce n’est pas seulement un lieu de résidence, mais aussi un espace où l’artiste peut retrouver son équilibre, nourrir son inspiration et continuer à préserver cette singularité que ses admirateurs ont toujours chérie.

 

Photo à titre d’illustration

Photo à titre d’illustration

 

Saint-Cloud est depuis longtemps considéré comme l’une des banlieues les plus prestigieuses et paisibles de l’ouest parisien. Situé à seulement une dizaine de kilomètres du centre de la capitale, l’endroit offre une atmosphère totalement différente du rythme effréné de Paris. Niché sur des collines douces, Saint-Cloud est célèbre pour son immense parc et ses étendues verdoyantes, où l’on peut flâner sous l’ombre des chênes, des châtaigniers et des pins centenaires. Depuis de nombreux points élevés, le regard embrasse la capitale tout entière, avec la tour Eiffel qui se dresse à l’horizon, rappel constant que Paris n’est jamais loin, sans pour autant en subir la pression étouffante.

 

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Là-bas, Mylène Farmer a trouvé un espace vaste de 2000 m², où elle peut savourer la tranquillité aux côtés de ses chiens sans craindre de froisser le voisinage. À 61 ans, la star la plus énigmatique de l’Hexagone suscite une nouvelle fois la curiosité en choisissant pour demeure une maison de maître datant du XIXᵉ siècle. À la fois ancienne et raffinée, cette bâtisse se niche au cœur d’un écrin de verdure, à l’écart de l’effervescence parisienne. Ce n’est pas seulement un lieu de résidence, mais aussi un espace où l’artiste peut retrouver son équilibre, nourrir son inspiration et continuer à préserver cette singularité que ses admirateurs ont toujours chérie.

 

Photo à titre d’illustration

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Saint-Cloud est depuis longtemps considéré comme l’une des banlieues les plus prestigieuses et paisibles de l’ouest parisien. Situé à seulement une dizaine de kilomètres du centre de la capitale, l’endroit offre une atmosphère totalement différente du rythme effréné de Paris. Niché sur des collines douces, Saint-Cloud est célèbre pour son immense parc et ses étendues verdoyantes, où l’on peut flâner sous l’ombre des chênes, des châtaigniers et des pins centenaires. Depuis de nombreux points élevés, le regard embrasse la capitale tout entière, avec la tour Eiffel qui se dresse à l’horizon, rappel constant que Paris n’est jamais loin, sans pour autant en subir la pression étouffante.

 

 

La beauté naturelle de ce lieu se mêle à la noblesse de ses villas anciennes, de ces maisons de maître bâties entre le XIXᵉ et le XXᵉ siècle, qui confèrent à Saint-Cloud une aura aristocratique singulière. C’est depuis toujours un lieu de prédilection pour les élites, les artistes et ceux qui recherchent une vie discrète tout en restant proches du centre.

 

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Ce mélange d’élégance et de sérénité est précisément ce qui a séduit Mylène Farmer : un territoire où la nature, l’histoire et la quiétude s’entrelacent, assez proche de Paris pour garder le lien, mais suffisamment éloigné pour lui offrir la paix qu’elle a toujours recherchée. Mylène Farmer demeure l’une des artistes les plus mystérieuses de France, mais derrière cette aura de gloire se cache une femme d’une grande sensibilité, profonde et débordante d’amour.

 

Elle a souvent insisté sur le fait qu’elle était très pudique, c’est-à-dire discrète, peu encline à exposer sa vie privée. « Je n’aime pas me mettre en avant, je suis assez pudique dans ma vie privée », a-t-elle déclaré d’une voix douce mais ferme. Ce n’est pas seulement de l’humilité, mais aussi le reflet de sa nature de nature solitaire – tournée vers la solitude, introvertie, une personne qui trouve le bonheur dans des plaisirs simples comme dessiner, nager, regarder des films, ou simplement s’asseoir auprès de ses compagnons à quatre pattes.

 

 

L’amour qu’elle porte aux animaux est aussi profond que celui qu’elle consacre à la musique. Farmer a un jour confié que si elle n’était pas devenue chanteuse, elle aurait voulu être vétérinaire et ouvrir un refuge pour s’occuper des animaux abandonnés. Cette confidence n’a surpris personne, car depuis toujours elle vit entourée de ses chiens, qu’elle considère comme des compagnons indispensables. Ce sont ces instants rares qui révèlent une Mylène Farmer du quotidien – douce, généreuse et entièrement dévouée.

 

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À 61 ans, Farmer conserve un univers à elle, silencieux et empreint de réflexion. Elle redoute la perte, la séparation, et a avoué que sa plus grande peur est la mort de ceux qu’elle aime : « La mort des gens que j’aime. C’est l’abandon ultime. » Pour elle, c’est la forme la plus extrême d’abandon, une blessure qui ne cicatrise jamais. C’est justement à partir de cette peur que Farmer devient plus indulgente et plus tendre dans sa manière d’être, tant envers les autres qu’envers la vie elle-même.

 

 

Dans le documentaire L’Ultime Création, elle a également révélé un cauchemar récurrent – « cauchemar récurrent » – où elle monte sur scène mais le public n’est plus là. Cette peur d’être oubliée, isolée comme une ombre effacée, la hante jusque dans son sommeil. Mais au lieu de s’y noyer, Farmer en a fait un moteur : à chaque apparition, elle brûle de toute son énergie, offrant au public des prestations enflammées, imprégnées d’une émotion sincère.

 

La beauté naturelle de ce lieu se mêle à la noblesse de ses villas anciennes, de ces maisons de maître bâties entre le XIXᵉ et le XXᵉ siècle, qui confèrent à Saint-Cloud une aura aristocratique singulière. C’est depuis toujours un lieu de prédilection pour les élites, les artistes et ceux qui recherchent une vie discrète tout en restant proches du centre.

 

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Ce mélange d’élégance et de sérénité est précisément ce qui a séduit Mylène Farmer : un territoire où la nature, l’histoire et la quiétude s’entrelacent, assez proche de Paris pour garder le lien, mais suffisamment éloigné pour lui offrir la paix qu’elle a toujours recherchée. Mylène Farmer demeure l’une des artistes les plus mystérieuses de France, mais derrière cette aura de gloire se cache une femme d’une grande sensibilité, profonde et débordante d’amour.

 

Elle a souvent insisté sur le fait qu’elle était très pudique, c’est-à-dire discrète, peu encline à exposer sa vie privée. « Je n’aime pas me mettre en avant, je suis assez pudique dans ma vie privée », a-t-elle déclaré d’une voix douce mais ferme. Ce n’est pas seulement de l’humilité, mais aussi le reflet de sa nature de nature solitaire – tournée vers la solitude, introvertie, une personne qui trouve le bonheur dans des plaisirs simples comme dessiner, nager, regarder des films, ou simplement s’asseoir auprès de ses compagnons à quatre pattes.

 

 

L’amour qu’elle porte aux animaux est aussi profond que celui qu’elle consacre à la musique. Farmer a un jour confié que si elle n’était pas devenue chanteuse, elle aurait voulu être vétérinaire et ouvrir un refuge pour s’occuper des animaux abandonnés. Cette confidence n’a surpris personne, car depuis toujours elle vit entourée de ses chiens, qu’elle considère comme des compagnons indispensables. Ce sont ces instants rares qui révèlent une Mylène Farmer du quotidien – douce, généreuse et entièrement dévouée.

 

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À 61 ans, Farmer conserve un univers à elle, silencieux et empreint de réflexion. Elle redoute la perte, la séparation, et a avoué que sa plus grande peur est la mort de ceux qu’elle aime : « La mort des gens que j’aime. C’est l’abandon ultime. » Pour elle, c’est la forme la plus extrême d’abandon, une blessure qui ne cicatrise jamais. C’est justement à partir de cette peur que Farmer devient plus indulgente et plus tendre dans sa manière d’être, tant envers les autres qu’envers la vie elle-même.

 

 

Dans le documentaire L’Ultime Création, elle a également révélé un cauchemar récurrent – « cauchemar récurrent » – où elle monte sur scène mais le public n’est plus là. Cette peur d’être oubliée, isolée comme une ombre effacée, la hante jusque dans son sommeil. Mais au lieu de s’y noyer, Farmer en a fait un moteur : à chaque apparition, elle brûle de toute son énergie, offrant au public des prestations enflammées, imprégnées d’une émotion sincère.