Sept ans après la mort de Johnny Hallyday, Laeticia Hallyday vit un moment douloureux : “Au milieu du chaos”

La demeure de Marnes-la-Coquette, longtemps empreinte des souvenirs de Johnny Hallyday, change enfin de mains sept ans après sa disparition. Sur Instagram, Laeticia Hallyday a confié l’émotion de ce départ, un déménagement chargé de souvenirs qu’elle a vécu entourée de sa famille et de ses amis.

Il y quelques mois, à Los Angeles, le quartier élégant de Pacific Palisades a été la scène d’un incendie d’une violence exceptionnelle. En quelques heures seulement, plus de 1 000 hectares sont partis en fumée, forçant des milliers d’habitants à quitter précipitamment leur foyer. Le cadre idyllique a soudain pris des allures de fin du monde, enveloppé d’un ciel opaque et d’une odeur de brûlé, tandis que maisons et souvenirs disparaissaient dans les flammes. Au milieu de ce chaos, Laeticia Hallyday et ses filles Jade et Joy ont vu leur havre californien disparaître. Leur maison, qui incarnait des années de moments précieux, n’a pas résisté à l’avancée du brasier. Ce lieu de vie, véritable témoin d’un quotidien ensoleillé, s’est éteint en quelques instants, emportant avec lui une part intime de leur histoire familiale.

Laeticia Hallyday confrontée à la disparition de sa maison

Laeticia Hallyday a vu disparaître bien plus qu’une maison lors de l’incendie de Pacific Palisades. Sur Instagram, elle partageait sa douleur avec des mots poignants : « On a tout perdu… Il ne reste plus rien. » et « J’ai vu notre maison partir en cendres, impuissante face aux flammes qui ont tout emporté. » Ce lieu incarnait un véritable renouveau après le décès de Johnny en 2017 et représentait un espace où elle et ses filles avaient pu panser leurs blessures et reconstruire leur quotidien.

Dans ses confidences, la photographe souligne l’importance émotionnelle de ce foyer : « Ce n’était pas qu’une maison… C’était notre refuge, notre renaissance après le chaos du deuil. » Entre ces murs, elles avaient trouvé la force de surmonter l’absence et de créer de nouveaux souvenirs. La quinquagénaire confie que tout s’est envolé avec l’incendie, emportant « une part de son âme » ainsi que les instants précieux partagés avec son défunt époux, laissant derrière elles un vide difficile à combler.

Laeticia Hallyday perd une autre maison

Après l’incendie qui a détruit sa maison à Los Angeles, Laeticia Hallyday s’est séparée d’un autre lieu chargé de souvenirs : la villa de Marnes-la-Coquette. Sept ans après la disparition de Johnny Hallyday, cette demeure emblématique, baptisée La Savannah et dernier refuge du rockeur, a enfin trouvé acquéreur. Sur Instagram, la veuve partageait l’émotion de ce déménagement : « Au milieu du chaos, des cartons et des adieux douloureux… », dévoilant la nostalgie qui accompagne ce tournant de sa vie.

Pour traverser ce moment délicat, la veuve du Taulier a pu compter sur le soutien de ses proches, notamment Sandrine Etna, pilier de son association La Bonne Étoile. Profitant de l’anniversaire de cette dernière, elle lui adressait un message chaleureux : « Parce qu’au milieu de tout ce tumulte, c’est important de dire merci à ceux qui nous font du bien @sandrineetna. Merci pour votre présence de tous les jours. On vous aime très fort. »

Une demeure vendue tardivement

Après sept années sur le marché, la maison de Johnny Hallyday a finalement trouvé acquéreur en juin 2025, bien en dessous du prix initial espéré. Selon François Vignolle du groupe M6, repris par Gala, alors que les héritiers visaient 35 millions d’euros, la villa se serait vendue pour seulement 8 millions. Avec ses 1 000 m² habitables, huit chambres et quinze pièces, ainsi que des équipements attrayants comme une piscine, un court de tennis, une cave à vin et un home cinéma, la demeure restait pourtant en besoin de nombreux travaux.

Aujourd’hui, Laeticia Hallyday partage sa vie entre sa villa Jade à Saint-Barthélemy et les États-Unis. Bien qu’elle ait envisagé de quitter Los Angeles pour Miami, elle continue de résider dans la Cité des Anges afin que sa fille cadette puisse suivre ses cours au lycée français. Ce choix montre combien les attaches familiales et éducatives restent déterminantes dans ses décisions de vie.