“Qu’il aille sur place !” : L’Uppercut Glacial de Bardella qui Met K.O. David Guiraud en Direct

“S’il veut défendre les terroristes du Hamas, et bien qu’il aille sur place.” La phrase tombe comme un couperet. En direct. Brutale, glaciale, et d’une efficacité politique redoutable. Sur le plateau survolté de “Touche Pas à Mon Poste”, Jordan Bardella ne débat pas ; il exécute. La cible, absente mais omniprésente, est le député La France Insoumise, David Guiraud.
Ce n’est plus un simple échange d’arguments sur le conflit israélo-palestinien, une thématique qui fracture déjà la société française à un niveau incandescent. C’est une mise à mort symbolique, une disqualification morale en prime time. Bardella, avec une précision chirurgicale, vient de transformer un débat politique en un procès en lâcheté, piégeant son adversaire dans ses propres contradictions. Le “match”, comme le conclut la voix off de la vidéo, est terminé. L’uppercut final a été donné, et l’”incendiaire de salon” a été K.O. debout.
Pour comprendre la puissance de cette séquence, il faut rembobiner. Tout commence loin de Paris, sous le soleil de la Tunisie. David Guiraud, en vacances, est filmé dans un “salon feutré”. Le décor est important. Il est détendu, confortable. C’est de là qu’il lance ses accusations, qualifiant l’action d’Israël de “nettoyage ethnique” et affirmant que des responsables politiques français ont “gobé tous les éléments de langage de la propagande d’un état colonial”. Il va même jusqu’à reprendre l’argumentaire du Hamas sur les “boucliers humains”, suggérant qu’Israël pourrait être l’auteur de cette pratique.

Ces propos, en soi, sont une ligne rouge pour une grande partie de la classe politique. Mais c’est le décalage entre la gravité des accusations et le confort apparent de celui qui les prononce qui va créer l’ouverture parfaite pour son adversaire. Guiraud ne le sait pas encore, mais il vient de tendre le bâton pour se faire battre. Il s’est lui-même dépeint comme l’archétype du “guerrier de salon”, le révolutionnaire en pantoufles.
L’embuscade est dressée sur le plateau de TPMP, une arène médiatique où la nuance est souvent la première victime. Jordan Bardella a vu les images. Il a préparé sa réplique. Et elle ne se situe pas sur le terrain de la géopolitique. Bardella refuse de débattre du fond, du “nettoyage ethnique” ou de la “colonisation”. Sa stratégie est bien plus habile : il va requalifier l’orateur.
Immédiatement, il ne décrit pas Guiraud comme un adversaire politique qui se trompe, mais comme un porte-parole de l’ennemi. “C’est la propagande des terroristes islamistes du Hamas qu’on massacré des civils”, assène-t-il. Le ton est donné. David Guiraud n’est plus un député de la République, il est la voix de la “barbarie”.
C’est là que Bardella introduit son arme morale, un élément de langage qui va devenir central dans la communication de la droite et du centre : les “43 minutes d’images”. Il fait référence aux vidéos des massacres du 7 octobre, récupérées par l’armée israélienne et sur le point d’être diffusées à l’Assemblée Nationale par sa présidente, Yaël Braun-Pivet.
“J’espère que monsieur Guiraud sera cette semaine à l’Assemblée nationale quand madame Braun-Pivet va diffuser les 43 minutes d’images”. Le piège est diabolique. Il sous-entend que si Guiraud a pu tenir de tels propos, c’est parce qu’il n’a pas vu. Il est déconnecté de l’horreur. Bardella, lui, se positionne comme celui qui sait, celui qui a eu le courage de regarder. “Moi je vais vous dire, je les ai regardé. C’est un choc des mondes entre la civilisation et la barbarie”.
La fracture est posée. D’un côté, la “civilisation” (Bardella, ceux qui ont vu les images, ceux qui défendent Israël). De l’autre, la “barbarie” (le Hamas, et par extension, ceux qui, comme Guiraud, en reprennent la “propagande”). C’est une simplification binaire, mais en direct, à une heure de grande écoute, elle est d’une efficacité foudroyante. Il n’y a plus de place pour un “en même temps”. Guiraud est sommé de choisir son camp.
Ayant posé ce cadre moral indiscutable, Bardella peut alors porter l’estocade. Il revient à l’image initiale de Guiraud, celle du confort tunisien. Il le dépeint comme un “incendiaire de salon”, un homme qui parle de loin, “bien au chaud”, mais qui n’est pas prêt à assumer les conséquences de ses paroles. “Mais c’est pas monsieur Guiroot qui va aller en première ligne”, raille-t-il.
Et puis, l’uppercut final. Le défi suprême. Celui qui boucle la boucle et expose la prétendue hypocrisie de son adversaire. “S’il veut défendre les terroristes du Hamas, et bien qu’il aille sur place et qu’il soit courageux au point d’aller au bout”.
C’est un coup de maître rhétorique. Bardella ne demande pas à Guiraud de se taire. Il ne lui demande pas de s’excuser. Il le met au défi d’aligner ses actes sur ses paroles. Puisqu’il semble si solidaire de cette cause (ainsi requalifiée par Bardella), qu’il prenne un billet d’avion et aille se battre. Le sous-texte est clair : “Tu n’es qu’un parleur. Tu n’as aucun courage.”
La conclusion, décrite par le narrateur comme d’une “cruauté chirurgicale”, achève l’humiliation. “Et là, je pense qu’il y aura un peu moins de monde à l’aéroport”. C’est le rire sarcastique qui accompagne le K.O. Bardella imagine la scène : le révolutionnaire de salon, soudain confronté à la réalité du front, se dégonflant piteusement.

Politiquement, la séquence est dévastatrice pour David Guiraud et, par extension, pour La France Insoumise. Elle cristallise en quelques secondes le reproche majeur fait à LFI par ses détracteurs : celui d’une complaisance, voire d’une connivence, avec l’islamisme radical, doublée d’une déconnexion totale des réalités, préférant la posture idéologique au pragmatisme.
Jordan Bardella, en revanche, sort de cet échange en position de force absolue. Il s’est posé en défenseur de la “civilisation”, en homme d’État qui regarde l’horreur en face, et en bretteur politique impitoyable qui expose les “impostures” de ses adversaires. Il n’a pas eu besoin de débattre des subtilités du conflit ; il a simplement gagné la bataille de l’image et du courage.
Ce clash télévisuel est symptomatique d’une ère politique où la communication l’emporte sur le fond. L’objectif n’est plus de convaincre, mais de détruire. Il ne s’agit plus de gagner un argument, mais de “mettre au tapis” son adversaire. Dans cette arène, Jordan Bardella a prouvé qu’il était un combattant redoutable. David Guiraud, lui, est resté à quai, piégé par l’image de son propre confort, réduit au silence par un uppercut verbal lancé à des milliers de kilomètres. Fin du match.
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