La stagiaire : Pourquoi Michèle Bernier (Constance) et Antoine Hamel (Boris) ne se tutoient toujours pas ? On a la réponse !

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Le mardi 9 septembre à 21h10, France 3 diffuse un nouvel épisode de La stagiaire. De quoi nous pencher sur l’éternel vouvoiement entre les deux personnages phares de la série, le juge Delcourt et Constance Meyer.

Série qui n’en finit plus de faire des émules, La stagiaire continue de dérouler sa dixième saison sur France 3. Ce mardi 9 septembre, à 21h10, on aura droit au troisième épisode de ce tome, intitulé Amour fantôme. Réalisé par Alexandre Pidoux, il comptera sur les présences de Philippe Lelièvre, Nicolas Marié, Géraldine Loup, Soraya Garlenq, Cyrielle Voguet, Justine Dubus, mais aussi et surtout Michèle Bernier et Antoine Hamel. Deux derniers cités dont les personnages de Constance Meyer et de Boris Delcourt se vouvoient toujours… Mais pourquoi donc ?

La stagiaire : une enquête complexe au centre de l’épisode du soir

Ici, tout commencera avec l’assassinat d’une jeune femme. La victime répond au nom de Séverine Larcher, une médiatrice familiale sans histoires. Une enquête particulière pour Boris et Constance, qui feront face à un dossier très complexe, les embarquant aux confins de la psyché humaine. Dans le même temps, Barth, lui, croisera la route d’une jeune SDF, Lola, qu’il invitera aux Tamaris. Enfin, Solène, rentrée de voyage à l’improviste, verra Boris lui mentir. En effet, pour sauver son couple, ce dernier racontera qu’il a enfin terminé son livre…

La stagiaire : Constance et Boris se vouvoient toujours et ce n’est pas près de changer !

La stagiaire : La stagiaire : Photo Michèle Bernier, Antoine Hamel - 20 sur  62 - AlloCiné

Entre affaire judiciaire et aventures relationnelles, cet épisode de La stagiaire ne renie pas ses bases. Encore une fois, le juge Delcourt et Constance Meyer communiquent en se vouvoyant. Une signature de la série, sur laquelle est revenue l’interprète de Constance, Michèle Bernier, au micro de Télé-Loisirs “Il faut que cela reste comme ça ! Cela permet de garder la distance nécessaire par rapport à leur position hiérarchique, de souligner aussi leur pudeur ainsi que leur amitié, pleine de respect. Ils font attention l’un à l’autre. En plus, cela n’est pas vraiment dérangeant. Ce petit vouvoiement, c’est un lien très particulier entre eux. Et il faut le conserver.” Même son de cloche chez Antoine Hamel, qui ne souhaite pas passer au tutoiement : “Il y a une pudeur entre eux. Le vouvoiement en est un signe. C’est aussi une marque de respect. De Boris envers la femme qu’est Constance, son statut, son expérience. De Constance vis-à-vis de Boris pour les mêmes raisons. Je trouve cela beau.”