L’Indignation Brute d’un Tribun : Quand Éric Dupond-Moretti Défend l’Honneur de Brigitte Macron Face à la Calomnie Mondiale

Le plateau d’une émission de radio ou de télévision se transforme rarement en arène de plaidoirie, un espace où la justice, la morale et l’éloquence se rencontrent pour affronter la bassesse du monde. Pourtant, c’est exactement ce qui s’est produit le 2 décembre 2025 lorsque Éric Dupond-Moretti, ancien Garde des Sceaux, avocat au verbe d’or et à la réputation de titan des prétoires, a littéralement laissé éclater une colère qu’il était impossible de feindre.

Interrogé sur les ondes de France Info au sujet des actions juridiques envisagées par le couple présidentiel contre la diffusion de rumeurs ignobles visant Brigitte Macron, Dupond-Moretti n’a pas livré une simple déclaration de soutien politique. Il a déversé un véritable tonnerre de révolte, une indignation électrique qui a transcendé le débat technique pour s’élever au rang de manifeste moral. Dès les premiers mots, le ton était donné : il ne s’agissait pas de politique, mais de la défense de la dignité humaine, attaquée par ce qu’il n’a pas hésité à qualifier de « cette saloperie ».

L’Abjection au Service de la Destruction

La nature des attaques contre la Première Dame est au cœur de cette indignation. Les rumeurs, centrées sur son identité biologique et des insinuations grotesques, ne sont pas de simples ragots. Pour l’avocat, elles constituent des « armes de destruction médiatique ». Elles ne visent pas son rôle public, mais tentent de « salir sa personne, d’attaquer sa féminité, sa condition de mère, son humanité même. »

Dans un paysage médiatique saturé de commentaires et d’opinions superficielles, la voix grave de Dupond-Moretti a résonné comme un marteau frappant l’enclume de l’injustice. Il a imposé une autorité morale, rappelant avec force que derrière chaque mensonge, il y a une personne réelle, une citoyenne, une épouse, dont l’honneur est bafoué. Ce que subit Brigitte Macron est, selon lui, non seulement « scandaleux », mais « profondément abjecte ».

Loin d’être un simple buzz, cette campagne de diffamation est une machination orchestrée. Dupond-Moretti a retracé le chemin sinueux et malveillant de la calomnie, depuis ses origines obscures auprès d’un « prétendu journaliste » et d’un « médium douteux » en France. Le poison a ensuite été récupéré et exporté. Il a pointé du doigt un certain Poussard, une « personnalité d’extrême droite liée à Soral », qui a servi de courroie de transmission vers l’international.

La Route du Poison : De l’Europe à Candace Owens

C’est le relais pris par l’influenceuse américaine Candace Owens, proche de Marion Maréchal Le Pen, qui a transformé un murmure malveillant en un « tsunami de diffamation » mondial. Cette analyse stratégique a permis de mettre en lumière la mécanique implacable de la désinformation moderne : un mensonge, aussi invraisemblable soit-il, s’il est amplifié par des voix influentes et des réseaux idéologiques, finit par s’imposer comme une réalité alternative dans l’esprit de millions de personnes. Dupond-Moretti a dénoncé avec une précision chirurgicale l’itinéraire de cette calomnie, montrant qu’elle est loin d’être spontanée. Elle est le fruit d’une stratégie « planifiée » et d’un « calcul froid » visant à diviser et à choquer.

Face à cette « machination », le couple Macron a choisi la voie légale. Éric Dupond-Moretti n’a pas seulement approuvé l’initiative ; il l’a embrassée avec un enthousiasme teinté de gravité. « Ce n’est pas seulement faisable », a-t-il martelé, « c’est nécessaire et c’est même urgent. » Chaque mot de l’avocat semblait frapper un coup décisif, franchissant le seuil du simple commentaire juridique pour toucher à l’émotion brute. Le visage sévère, les yeux brillants d’une flamme rare, il a transformé l’interview en un véritable acte de résistance.

Le Plaidoyer pour la Dignité Humaine

Ce qui rend l’intervention de Dupond-Moretti si marquante, c’est sa capacité à contextualiser cette attaque dans un cadre moral et éthique supérieur. Il a clairement distingué la critique politique légitime de l’agression personnelle : ces insinuations ne sont pas de la satire, elles ne sont pas un débat d’idées ; « ce sont des coups portés à l’intimité, à la dignité humaine. » Elles sont utilisées pour « manipuler, à détruire pour des motifs idéologiques et politiques. »

L’avocat s’est positionné non comme un simple technicien du droit, mais comme un défenseur de l’honneur, un porte-voix contre l’injustice. À un moment, sa voix s’est même brisée sous le poids de l’indignation, évoquant le courage d’une femme, « une épouse, une mère », attaquée de la sorte simplement parce qu’elle occupe un rôle public. Il a magnifié la force nécessaire pour « ne pas céder au désespoir » et continuer avec « dignité, avec force. »

Son discours a tenu l’auditoire en haleine, alternant la gravité du fond et la fulgurance de la forme. Il ne s’agissait pas seulement d’une défense juridique, mais d’un véritable plaidoyer moral, chaque phrase vibrant d’une intensité dramatique digne des plus grandes plaidoiries du palais de justice. Il a élevé le débat sur le plan de la « morale publique, de la responsabilité sociale et de la dignité humaine. »

Un Colosse de la Parole Face à la Barbarie de la Rumeur

L’intervention d’Éric Dupond-Moretti est rapidement devenue un « spectacle de justice en direct. » Il a orchestré le récit de cette bataille médiatique comme un metteur en scène, faisant monter la tension à chaque phrase, transformant ses mots en armes contre le mensonge. « Nous ne parlons pas simplement de rumeur », a-t-il martelé, « nous parlons d’une campagne systématique visant à détruire la réputation et l’intégrité d’une femme. »

"Un intérêt politique" : Éric Dupond-Moretti accuse l'extrême droite  d'alimenter les rumeurs transphobes contre Brigitte Macron

Sa colère était une manifestation d’une indignation réfléchie, alliée à une profonde empathie pour la victime. En défendant Brigitte Macron, il défendait un principe fondamental : la vérité et la dignité ne peuvent jamais être sacrifiées sur l’autel du sensationnalisme ou de l’idéologie. Il a averti des dangers plus larges : « Ce que nous voyons ici dépasse Brigitte Macron. Il s’agit d’un précédent dangereux pour toute personne publique. » Il a rappelé que si la société ne riposte pas face à ces mensonges, la « folie de la rumeur » ne s’arrêtera jamais.

Le tribun a fait preuve d’une maîtrise stratégique remarquable, alternant habilement l’émotion brute et les arguments juridiques précis, étayant chaque dénonciation par une logique implacable. Il a transformé le récit en une fresque vivante de la justice moderne, où l’avocat n’est pas seulement un intervenant, mais un héros du verbe et de la raison. Il s’est adressé directement aux auditeurs, les exhortant à la vigilance : « Il ne s’agit pas d’un simple fait divers… il s’agit de montrer que la justice, même à distance, peut atteindre ceux qui cherchent à semer le mensonge et la division. »

Un Appel à la Responsabilité Collective

Alors que l’entretien avançait, Dupond-Moretti prenait de plus en plus d’ampleur, son regard incandescent et sa voix grave imposant une présence magnétique. Il a dénoncé le cynisme derrière ces manipulations : « Il s’agit de stratégies planifiées, de calculs froids visant à exploiter les émotions à diviser et à choquer. » La réponse doit être « ferme, rapide et sans compromis. »

Son intervention restera mémorable pour la démonstration magistrale du rôle que peut jouer un avocat dans la société contemporaine. Tel un phare dans la tempête, Dupond-Moretti a transformé l’indignation en force et la colère en justice. En retraçant l’origine de ces rumeurs et leur récupération par des activistes extrémistes, il a dévoilé la mécanique implacable de la désinformation : « Un mensonge, s’il est répété suffisamment fort et suffisamment longtemps, finit par s’imposer dans certains esprits comme une possibilité crédible. » C’est précisément cela qu’il faut combattre.

La lutte contre la désinformation, a-t-il conclu implicitement, n’est pas un combat abstrait. C’est un devoir collectif, un impératif démocratique et, par-dessus tout, une responsabilité morale. L’ancien Garde des Sceaux, en défendant l’honneur de Brigitte Macron, a en réalité rappelé à tous que la dignité et la vérité ne sont pas des concepts négociables et qu’elles ne peuvent jamais être sacrifiées aux visées partisanes ou à la curiosité malsaine. Son explosion de colère fut le cri nécessaire d’un homme d’État et de justice contre la barbarie médiatique, un cri qui restera gravé dans les mémoires comme un vibrant plaidoyer pour l’humanité face au cynisme.