🔥 Explosion médiatique : Nagui claque la porte aux extrêmes avec sa phrase percutante « Les extrêmes n’auront jamais ma voix, ni mon silence » 😱 ! Dans un contexte où les débats s’enflamment sur tous les fronts, l’animateur choisit de prendre position publiquement 🤔. Ses mots interrogent, créent le buzz, et déclenchent réactions et polémiques sur les réseaux sociaux 💥. Que voulait-il vraiment dire ? Une déclaration politique ? Un message citoyen ? Ou simplement sa philosophie personnelle ? Les fans et critiques sont divisés, chacun interprète à sa manière 😳 👉 Découvrez toutes les réactions dans le 1er commentaire 👇👇

INTERVIEW. Il cartonne avec « N’oubliez pas les paroles », sur France 2, et « La Bande originale », sur Inter. Mais, derrière le show et l’animation, Nagui a des convictions qu’il entend bien défendre.

À63 ans, il reste l’animateur incontournable de France 2, celui qui, dit-on, assure près de 25 % de la pub de la chaîne avec l’audience de N’oubliez pas les paroles, son rendez-vous ludique et musical. On le retrouvera également le 1er janvier prochain pour animer un show qui récompensera les grands succès de l’année, une idée de lui. Le ludion bondissant et créatif de l’audiovisuel, qui vient de fêter les 30 ans de Taratata, reste surtout un producteur exigeant qui valse avec des horaires de dingue. Et garde toujours sa liberté de parole.

Nagui : Je vis cela comme une chance formidable. Au départ, j’avais signé pour quatre émissions, on a quasiment improvisé… Sur les trente dernières années, on a accueilli 1 500 artistes pour 4 800 chansons interprétées !

Il y a eu parfois des galères, comme ce jour où Lenny Kravitz, mécontent du son, a détruit toute sa loge, porte et lavabo compris. Est-ce votre pire souvenir ?

C’est surtout quand Bruce Springsteen m’a posé un lapin… Je suis un fan absolu, je le convaincs de venir, on avait organisé ensemble l’émission, on monte le décor, tout le monde est prêt… Et, le matin, la maison de disques m’annonce qu’il ne viendra pas parce que sa femme veut profiter de Paris en solo avec lui. Bon, j’espère le recevoir quand même un jour…

Quand Jean-Jacques Goldman me sauve la mise en faisant la 2e émission alors que les artistes se défilent. La chaîne voulait me remplacer par un feuilleton… Je lui passe un coup de fil, il refuse. « Prends un Américain, me dit-il. Il suffit de faire un chèque et de lui payer l’avion. » Mais je n’ai pas de budget. Deux jours plus tard, il me rappelle : « Bon, tu n’as toujours personne ? Si je viens seul avec ma guitare, ça te suffit ? » Et il fait venir en plus Carole Fredericks du Texas et Michael Jones, qui était en vacances à la montagne. Et là, tu pleures en te disant que c’est le plus beau signe d’amitié qu’on puisse t’offrir.