Maxime Chattam est actuellement en promotion de son nouveau livre “Prime-time”. Dans un entretien accordé à “Télé Loisirs”, l’écrivain a dévoilé comment Faustine Bollaert, sa femme que le public peut retrouver à la présentation des émissions “Ça commence aujourd’hui” et “Héros” sur France 2 et RTL, avait changé sa vie.


Faustine Bollaert et Maxime Chattam vivaient une belle histoire d’amour, commencée en 2010 par un coup de foudre « pendant une émission de radio » sur Europe 1, avait raconté l’animatrice de Ça commence aujourd’hui dans Salut les Terriens. L’auteur de best-sellers avait immédiatement conquis le cœur de celle qui l’interviewait. Et de cette belle rencontre sont nés deux enfants, Abbie, en 2013, et Peter, en 2015, après un mariage en 2012.

À en croire le magazine Voici, après quinze ans d’amour, Faustine Bollaert aurait commencé un nouveau chapitre de sa vie, dont l’écrivain ne ferait pas partie.

Nouvelle vie

Celle qui recueille tous les jours des confidences bien souvent douloureuses sur le plateau de Ça commence aujourd’hui se prépare à une rentrée chargée. Outre Mieux dans ma tête – Parlons santé mentale sur France 2 et l’animation de Héros sur RTL, elle va reprendre les rênes des Enfants de la télé.


Dans leur maison de Chantilly, dans l’Oise, où grandissent tranquillement les enfants du couple, la très active animatrice de 46 ans se sentait bien, mais a éprouvé le besoin de se « rapprocher de Paris pour pouvoir gagner ce temps précieux » qui lui manquait, comme elle l’avait expliqué dans Le Journal des femmes. Faustine Bollaert avait également exprimé son envie de « réaliser quelque chose pour le simple plaisir de le faire ».

Pour ne pas flancher face aux témoignages bouleversants des personnes qu’elle accueille dans Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert avait précédemment confié qu’elle avait recours à un thérapeute, en plus du soutien de Maxime Chattam pour retrouver un peu de sérénité. Aucun des deux n’a pour l’instant commenté l’annonce de leur rupture, que ce soit pour la confirmer ou l’infirmer.