😱 Eddy Mitchell, 83 ans, brise le silence : la guerre secrète, les trahisons et les non-dits du clan Hallyday enfin dévoilés au grand public.

À 83 ans, Eddy Mitchell n’a plus rien à perdre. Le vétéran du rock-français, compagnon de route de Johnny Hallyday depuis des décennies, s’installe face à la caméra, front découvert, voix grave, yeux lourds de secrets. Et annonce : « J’en ai trop vu, trop entendu. Aujourd’hui, je dis les choses. »
L’annonce fait l’effet d’une bombe dans l’univers feutré de la chanson française : un témoin historique, un ami fidèle, met fin à son silence et ouvre le livre des comptes.
Depuis la mort de Johnny en décembre 2017, les ombres ont plané sur le nom « Hallyday ». Héritage, succession, famille déchirée, entités financières. Tandis que les unes marchaient sous les projecteurs, d’autres restaient en coulisses. Eddy Mitchell observe, écoute, patiente. Jusqu’au jour où la colère l’emporte. « Cette histoire d’héritage, ça m’a écœuré. Johnny ne méritait pas ça. » Il parle de ce qu’il appelle “le business” derrière l’homme qu’il considérait comme un frère.
Là commence sa confession, brutale, sans filtres. Il n’appelle plus ça « le clan Hallyday », mais “la guerre des ombres”.
Il évoque d’abord Johnny – le mythe, l’icône, mais aussi la victime silencieuse d’un système qui voulait faire de lui une marque. « Il reste un mythe, mais aussi beaucoup de mensonges autour de lui. » Il détaille comment, peu à peu, l’homme-aux-guitares est devenu produit, packaging, succession. Il parle d’hommages annuels, de coffrets “inédits”, de documentaires à répétition. « On dirait que plus personne ne se souvient de l’homme, seulement du produit. »
Puis vient la mise en cause publique de Laeticia Hallyday. Il la qualifie sans détour de “celle qui a trahi l’esprit du rock”. Pas d’invective facile, mais une accusation lancinante : « Elle a aimé Johnny, je ne le nie pas. Mais elle a aussi aimé ce que Johnny représentait. Et ça, ce n’est pas la même chose. »
La phrase claque. Elle résonne comme un aveu tardif. « Elle a transformé Johnny en marque commerciale. Il n’est plus un artiste, c’est devenu un business. »
Eddy parle de cette métamorphose, non pas comme d’un jugement moral, mais comme d’une perte : de sens, d’amitié, d’humanité.
Entre les lignes, on devine les années d’amitié, les nuits de tournée, les blagues dans le bus, les riffs hurlants, les foules en délire. Eddy Mitchell ne veut pas être seulement celui qui raconte la chute. Il veut témoigner du sommet – et de ce qu’il est devenu.
« Johnny, c’était mon frère. On a fait les 400 coups ensemble. On a partagé la scène, la route, la folie. Voir tout ça réduit à des querelles d’argent, c’est insupportable. »

La discussion glisse vers ses liens avec les enfants de Johnny, Laura Smet et David Hallyday. Eddy se montre plus tendre, plus apaisé. « Ils ont été dignes. Ils ont voulu défendre la mémoire de leur père, pas son argent. Je les comprends. »
Ce contraste sert à souligner ce qu’il estime comme la vraie perte : l’héritage artistique face à l’héritage financier.
Et puis, la sentence finale. Il ne veut plus de contact avec Laeticia. « Non. Et je n’en veux pas. On n’a plus rien à se dire. »
Le silence, enfin, est rompu. Les non-dits brisés. Il a choisi. Il a parlé.
Dans un monde où tout s’affiche, tout se raconte, tout se vend, la parole d’un homme qui n’a plus rien à prouver sonne comme un coup de poing. Eddy Mitchell ne pleure pas. Il n’en appelle pas à la pitié. Il revendique la vérité tardive mais libre.
« Je ne veux pas mourir avec des non-dits. Je préfère dire ce que j’ai vu, ce que j’ai ressenti. Johnny méritait mieux que tout ce cirque médiatique. »
Et quand il évoque la dernière fois qu’il a vu son ami, quelques semaines avant sa disparition ? Il se souvient d’un sourire, d’un verre de whisky, d’un vieux blues partagé. Il n’a rien dit. « On n’avait pas besoin de mots. »
Les mots sont venus après. Ils sont lourds. Ils sont vrais.
Alors aujourd’hui, sa voix tremble parfois, mais elle ne flanche pas. Il sonne comme l’article final d’un dossier que beaucoup ont tu pendant trop longtemps. Il sonne comme la fin d’un mythe – ou plutôt, le début d’une autre vérité.
« Ce qu’il a laissé, c’est une énergie. Une flamme. Pas des coffres-forts. »
Il sourit, en rappelant les années de scène avec Jacques Dutronc et Johnny au sein du trio Les Vieilles Canailles. « Sur scène, on s’amusait comme des gosses. C’était vrai, sincère, vivant. Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on veut effacer ça derrière des contrats. »
Et enfin, il conclut : « Parfois, je me dis qu’il doit rire, là-haut, en voyant tout ce bazar. Johnny détestait les disputes. Il aurait dit : “Laissez tomber les conneries, jouez du rock’n’roll.” »
Puis il rit doucement, avant d’ajouter : « C’est ce que je continue de faire, moi. Jouer, chanter, vivre. C’est ma manière à moi de lui dire merci. »
Dans un dernier souffle de sincérité, le rocker de toujours pose ses lunettes, redresse le micro. Il ne cherche plus à plaire, ni à être aimé. Il cherche à dire vrai. Et dans un monde saturé d’apparences, la voix d’Eddy Mitchell résonne comme un ultime cri de vérité.
À 83 ans, il ferme la boucle. Ou peut-être en ouvre une nouvelle — celle d’un héritage qui ne se compte pas en millions, mais en guitares, en riffs, en cœurs ouverts.
Et qui pourrait bien déranger.
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